Chapter V

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- Ecoute, j'aimerai énormément t'aider, crois moi mais personne n'y croira, tu devrais choisir quelqu'un qui te ressemble d'aventage, ou alors quelqu'un dont le physique s'intègrera à leur monde, en d'autre termes, n'importe qui sauf moi. 

A ces paroles, Rebecca paru rassurée, elle s'exclama donc pleine d'assurance :

- Parfait, si tu es d'accord, c'est parfait. Je vais te transformer, tu verras. Bon il faut que j'y ailles, j'ai un rendez-vous dans quelques minutes. On se voit ce soir. Bisous ma belle, encore merci. 

Elena regarda la jeune blonde s'en aller. Elle avait une démarche si nonchalente. Après quelques minutes, elle s'en alla également. Le reste de sa journée se déroula comme d'habitude. Le lendemain matin, elle mit son nouveau chemisier blanc, et un pantalon coupé droit, qu'elle avait pris soin d'acheter la veille afin de paraitre sous son meilleur jour auprès de ses nouveaux collègues. A 9h, elle arriva à son travail et commença à suivre Katherine Keller, qui avait pour mission de former Elena afin que celle ci puisse reprendre son poste après son départ. A sa grande surprise, Katherine se montra très gentille et compréhensible avec elle. Les autres employées féminines semblaient ne pas apprécier Elena et ne manquait pas un seul instant pour le lui faire remarquer. Peut-être ne l'aimaient-elles pas car bientôt le aurait la chance de pouvoir s'occuper de l'un des hommes les plus puissant au monde. La journée passa vite, et elle rentra chez elle, contente de sa première journée de travail. Elle n'avait pas eu à rencontrer M.Damilo et cette situation lui convenait parfaitement. Le lendemain, mardi, la journée se déroula de la même façon. Mercredi arriva et Katherine du faire ses aurevoirs à tout le monde.  En effet, elle ne reviendrait pas avant plusieurs mois. Elena prit donc la relève. Elle s'intalla sur le bureau de Katherine, en face de celui de M.Damilo, qui se trouvait tout en haut du building. Ce dernier possédait un étage entier pour lui. Lorsqu'il lui intima de venir dans son bureau, elle fut à la fois impatiente et effrayée car c'était la première fois qu'elle allait le rencontrer en personne. Peut-être était il un grand séducteur, incapable d'une quelquonque constance, mais c'était également un homme extrêment intelligent, après avoir repris l'entreprise familiale, il l'a agrandie, a dévéloppé les filières et l'a rendu plus puissante que jamais. Les magazines le décrivait comme un homme autoritaire, impitoyable en affaire et en amour, sans coeur. Il était égalament qualifié comme étant "l'homme de fer et de glace", dont il ne vaut mieux pas attirer la colère. Après quelques appréhensions, elle finit par rentrer dans le bureau de son nouveau patron.           Elena fut ébahie lorsqu'elle rentra dans le bureau. Quelle lumère, quel espace.. Pourquoi aurait-elle été étonnée ? Après tout, Andreas Damilo avait les moyens, pourquoi n'aurait-il pas eu un bureau aussi luxueux, avec une terrasse offrant une vue panoramique sur New York ? Fascinée malgré elle, Elena analysa chaque détail du bureau, elle franchit la portre vitrée et avança sur le parquet sur la pointe des pieds. A cette hauteur et avec cette vue, New York ressemblait plus à une photographie, avec les gratte-ciel flamboyant et le ciel d'un bleu éclatant. Elle regarda le vaste espace inondé de lumière. Les meubles étaient peu nombreux, juste le stricte néccéssaire cependant ils étaient de bon goût et raffinés. Tout était en acajou et en cuir tandis qu'au milieu se trouvait un somptueux tapis d'époque. Au mur se trouvraient quelques peintures qui, sans aucun doute devaient valoir des millions. Elle était tellement fascinée par la décoration du bureau qu'elle ne oublia presque l'homme qui s'y trouvait. Lorsqu'elle leva les yeux et l'aperçu, Elena cru défaillir. Elle avait eu tord de croire qu'elle ne tomberait pas sous le charme de son patron, à vrai dire, il était impossible de ne pas tomber sous  son charme. Avec ses cheveux d'un brun époustouflant, ses yeux d'un bleu de glacier étaient plus clairs qu'un bleu de printemps. Avec sa bouche à la fois arrogante et attirante, il émanait de cet homme une aura de sensualité et d'attraction. Il était grand, très grand. Son regard était hypnotique et Elena cru bien s'y perdre. Elena sentit les battements de son coeur battre la chamavde. Quelle idiote.. Cet homme était incroyablement attirant, sa virilité ne faisait aucun doute. Ses  cheveux de jais étaient lissés en arrière,pour avoir vu des photos de lui, Emma se doutait qu'il était séduisant miq les clichés pris par les journalistes ne lui rendaient pas justice. Pourquoi fallait-il qu'un homme aussi parfait soit arrogant, égocentrique, autoritaire et versatiles ? Il suffisait de voir la façon dont il traitait les femmes qui sortaient de sa vie plus vite encore qu'elles n'y étaient entrées.  Il fallu quelques secondes à Elena pour se rendre compte qu'il la jaugeait du regard. Hébétée, elle eu toutes les peines du monde à reprendre ses esprits lorsqu'il s'adressa à elle : 

Au piège de la tentationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant