Un amour de chien

Un belle étranger

PDV: Mary

J'ai mal, j'ai mal à la tête. C'est comme si on était en train de me donner des coup de poêle dans la face. Mon coeur battait normalement, heureusement pour moi. Mon estomac était sur le point d'imploser. J'avais la nosé. Je n'avais pas encore ouvert mes yeux que je me sentait déjà affaiblie. J'ouvrit lentement mes yeux pour enfin savoir pourquoi je ne me sentais pas bien. La première chose que j'ai remarqué, après la lumière du soleil qui aggraissait ma rétine, ce sont les deux bouteille de vin totalement vide devant moi. Et puis j'ai remarqué que ce n'était pas mon lit mais plutôt la table de ma cuisine.

Je poussa la chaise et je me leva. Je me retenu à la table à mange sinon je me serait manger le sol en pleine face. Je fit un bond en essayant d'atterrir sur le canapé. Mais au lieu de ça, mon pied s'est prit après une des chaise et je m'écrasa lamentablement au sol. Ça fait un mal de chien. Autant à l'orgueil que physiquement. Mais ça fonctionna donc très bien pour me dégriser et pour me réveiller. Je me tira jusqu'au divan pour me remettre du choc corp contre sol. Je réussi à monter sur le canapé et m'allonger. Juste le fait de pouvoir être sûr une matière plus confortable que le bois me rendit heureuse.

Près d'une heure de repos plus tard, je me leva et enfila ma veste. Et partit à la recherche de mon gros nounours préféré. Il était dehors depuis déjà 24 heures. C'était déjà 24 heures de trop sans accompagnateur. Je prit mon téléphone et ma bouteille d'eau pétillante puis partit. Je refit les endroits de hier. Mais toujours aucune trace de Wylson.

Il restait encore un endroit que je n'avais pas chercher. Alors, j'emprunta le petit bois qui menait jusqu'au grand parc. Je fit le tour du parc à plusieurs reprise mais malheureusement pour moi, encore moins un signe de vie de Wylson. Prit d'un vent de panique, j'alla m'assoir sur la fontaine qui se trouvait en plein milieu du parc. Je regarda autour de moi, je remarqua un étrange homme. Mais je ne pû en voir plus car je tomba dans les pommes. Ce qui a eu pour effet que je tombe dans la fontaine, c'était hors de tout doute à cause de cette foutu canicule.

Quand je rouvrit les yeux j'était allongé sur le sol. Cet étrange homme que j'avait remarquer, me fesait le bouche à bouche. Je me releva d'un coup sec. Et le regarda plus en détail cet étrange personnage qui m'avait sauvé la vie. Il était grand au cheveux long et blanc. Il était vêtu d'un costard cravate. Je ne pû m'empêcher de m'interroger sur la nature de plusieurs lacérations sur les mains et sur le cou.

M- Merci beaucoup, vous m'avez sauvez la vie.
?- Derien Mary, ça m'a fait plaisir.
M- Tu es un abonnés ?
?- Non, je ne suis pas un abonné, je suis ...
M- Oui, tu es ?
?- Non rien laisse tomber, très chère.
M- Je ne sais pas comment te remerciez.
?- Mais tu n'es pas obligé.
M- Non j'insiste, je vous invite à boîte une bière chez moi.
?- D'accord si tu insiste.

Accompagné de cet inconnu, je rentra à la maison. Finalement arrivé, je remarqua que mon invité n'avait pas l'air à l'aise. Il s'installa à la table à manger tandis que j'allais chercher deux bières. Les deux en main j'alla m'assoir en face de lui. Il semblait intrigué par quelque chose derrière moi. Mais quand je regarda, je ne remarqua rien de spécial. Je me retourna vers l'inconnu.

M- Pourrais-je savoir ce que vous regardez comme ça?
?- Tu as une très belle cuisine.
M- Merci.
M- Avec tout ça, je ne sais toujours pas votre nom.
?- Je m'appelle Wyl... William.
M- Et bien enchanté William.

On commença alors à parler de tout et de rien. En réalité, je parlait et il écoutait passionnément ce que je lui racontait. Deux bière plus tard, je ne put m'empêcher de mettre le sujet sensible sur la glace.

M- Dit-moi William, d'où te viens ces lacérations?
W- Et bien Ryry, je marchait dans la rue quand soudain je perdu connaissance. Et puis je me réveilla, plus de 24 heures plus tard, à deux rue du parc avec ces lacérations.
M- Et tu n'as aucun souvenir de ce 24 heures là?
W- À part peut-être une douleure insupportable, non rien du tout.
M- Bon, il commence à se faire tard. Ce fut un plaisir de te rencontré William. Mais malheureusement, toute bonne chose on une fin. Et c'est maintenant l'heure de se dire adieu.
W- Et bien en faite, je pourrais te demander un service ?
M- oui, que puis-je faire pour toi très cher.
W- Je n'ai pas réellement d'appartement, serais-ce possible de pouvoir dormir ici le temps que j'en trouve un?
M- Et bien, je n'ai pas vraiment de place surtout avec mon coloc. Mais il n'est pas là cette semaine donc tu pourrais resté.
W- Merci mille fois, promis je me ferai petit tu ne me remarquera pas.

Donc la soirée se termina par un souper spaghetti et pain à l'ail. Et comme désert une chocolatine (Ou bien pain au chocolat comme vous préférez. Mais bon j'habite au Québec donc Chocolatine). On a beaucoup rit et balancé des conneries. L'heure d'aller se coucher arriva rapidement. William prit le divan. Et puis moi je garda mon petit lit douillet. Allongé dans mon lit, en fixant le plafond, je me surpris à me dire que William était plutôt beau garçon. Et puis en plus de ça il est à l'écoute et il a un sens de l'humour très semblable au mien. Mais je me reviens rapidement à l'observation des fissure dans mon plafond en me disant que c'était insensé et que je ne le connaissait pas encore assez. Quelques minutes de parfaite observation de mon plafond je ferma les yeux et tomba dans les bras de Morphée ainsi que dans un trou terriblement profond.
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PDV: ???

Je rentrait dans le laboratoire après une bonne journée de travail. Il fesait noir comme pas possible. Je ne réussissait même pas à voir mes mains. Pour mieux voir, j'alla allumé la lumière. Quelle ne fut pas ma surprise de voir cette enfoiré de fidèle Mathieu dormir sur son bureau.

Pour me venger de son incompétence, je prit un verre d'eau pour le réveiller. Mais en m'approchant de lui, je m'apercu que la salle de test était ouverte. Je lança le verre sur Mathieu et alla voir la salle de test. Je rentra dans une colère monstre quand je m'apercu que mes sujet s'était échappé de leur cage.

《Boss, je suis désolé. Je vous jure que je vais arrangé ça. 》déclara t'il en se tenant le côté droit de la mâchoire. Quelque trou peu profond avait apparu suite au contact du verre.
《Bordel Mathieu, tu n'avait qu'une seul mission et tu n'as pas réussi. Cependant, vu que tu es mon allié le plus précieux, je te donne à côté de ce jour une nouvelle mission. Trouve Wylson et Oka et fait moi un rapport de leur nouveau entourage.》

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Je sais que ça à prit beaucoup de temps avant que le chapitre sorte. Mais j'était entrain d'élaborer la suite de cette histoire.