L'avertissement du directeur

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Le brouhaha de grande salle s'intensifia encore lorsque le plat disparu des longues tables de chaque maison, remplaçait par le dessert.
Tonks s'empara d'une part de moelleux au chocolat, avide. Elle l'a fourra dans sa bouche et l'avala presque instantanément. Puis elle attrapa une part de tarte à la fraise et refit de même. Norbert lui jeta un regard en bier à trois places de là.

Ils étaient rentrés tout les sept ensemble dans la salle peu avant la répartition des premières années et s'étaient dépêchés d'aller s'asseoir sous le regard plein de reproches de McGonagall. Lupin et Black s'étaient précipités à leur table. Après un bref « à tout à l'heure » Leta et Norbert s'étaient séparés pour rejoindre leur place respective. Luna et Severus se sont aussi dépêchés de s'installer et Tonks avait rejoints ses amis Poufsouffle qui l'attendait en rigolant elle leur avait alors servi son plus beau sourire et s'étaient jointe à leurs fou rire, bien que la disparition de son chat l'avait bouleversé et même un peu déprimé, elle décida de ne rien en laisser paraître devant ses amis.

Elle était à présent en train de se goinfré de pâtisserie et autre sucrerie. Norbert jeta un regard à la table des Serpentard, Leta était dos à lui et n'avait pas franchement l'air de s'amuser, à côté d'elle Severus lui jetait de temps à autre des regard noir, furieux d'avoir été obligé de se mettre à côté de la jeune fille, faute de place.
Norbert soupira tout en attrapant une pomme en guise de dessert.

Nymphadora devait en être à sa huitième part de gâteau lorsque le dessert disparu à son tour signe que la dîner de début d'année touchait à sa fin.

Les élèves commencèrent à se lever mais le rappel à l'ordre du directeur les firent se rasseoir. Le silence était à présent quasiment complet sur la grande salle et chacun se demandé pourquoi Albus Dumbledore leur avait demandé de rester assis. Sirius et Remus se regardèrent intriguées, attendant la suite.

Le vieil homme rompit le silence pour prendre la parole :

«Bonsoir à tous, commença t'il sous l'œil étonné des élèves car le célèbre directeur leur avait déjà fait un discours de bienvenue, je sais que je vous ai déjà souhaité la bienvenue avant de manger avec un rappelle des règles de sécurité concernant la vie à Poudlard mais ce que j'ai à vous dire maintenant ne concerne pas directement notre école, c'est plutôt un avertissement que j'ai à vous donner. »

Il fit une pause de quelques instants, scrutant le visage de ses jeunes protégés mais la seule réaction qu'il y vit fut l'incompréhension, personne ne comprenait ou leur directeur voulait en venir.

« Vous savez peut être déjà que ces temps ci son sombre, plusieurs meurtre de sorcier et sorcières ont était commis et cela n'arrête pas d'augmenter, les victimes sont de plus en plus fréquentes et parfois même des familles entières assassiner. Le ministère enquêter déjà sur toute les pistes possibles, il se trouverait que dans l'après-midi, l'assassin ou les assassins ont frappé fort en s'infiltrant dans le ministère et faisant une trentaine de victimes. Mais le plus troublant était que toute les victimes avaient un point commun: elles appartenaient à des familles de sang pur. Le ministère s'est rendu compte que tout les meurtres mystérieux des deux dernières semaines visaient les familles de sang pur. »

Il refît une pause scrutant cette fois le visage de ses enseignants assis autour de lui. Puis il reprit, la voix pleine d'émotions:

« Cette après midi, parmi les trente victimes se trouvaient malheureusement les familles:
Avery,Croupton,Flint et ...Abbot. »

A la mention du dernier nom, il y eut un gémissement sonore à la table des Poufsouffle. Et une jeune fille a quelques places de Norbert fondit en larmes. Le brouhaha repris mais loin d'être joyeux comme précédemment, il était à présent inquiet et désolé. La première année Hanna Abbot pleurer maintenant à chaude larmes.

Chacun s'inquiète pour sa famille et ses amis. Norbert lança un regard inquiet à Leta : Lestrange était l'une des familles de sang pur la plus connu.

Dumbledore redemanda le calme tendit que le professeur Chourave accompagné la jeune Abbot à l'infirmerie.

« Vous pourrais lire tout cela plus en détail demain dans la gazette du sorcier. Maintenant vous pouvez regagniez vos dortoirs. Dans le calme s'il vous plaît! Ajouta t'il en voyant que les élèves reprenaient leur discussion. »

Dès qu'ils en eurent l'autorisation, Norbert se leva rapidement pour se diriger vers Leta pour voir comment son amie réagissait à la nouvelle. Et il ne fut pas surpris lorsqu'il ne discerna sur son visage aucune réaction particulière. Elle se contenta de marmonner des réponses vagues au interrogation inquiète de son meilleur ami.

De son côté Tonks essayer tant bien que mal de rassembler ses idée. Elle n'était pas une sang pur car son père était né moldu mais sa mère en revanche courait peut-être un danger car elle faisait partie de la plus puissante famille de sang pur de Grande Bretagne : les Black. Sa mère Andromeda était une cousine de Sirius Black.

Sirius lui était sous le choc. Il savait que quelques choses n'allait pas. Ses parents et sa famille s'était inquiétée tout l'été, ils disaient qu'ils étaient tous en danger. Sirius savez que lui et son frère ne risquait rien à Poudlard. Mais ce n'était pas le cas de leur parents et bien qu'il détestait au plus au plus au point ces sang pur ayant un penchant pour la magie noire, ils restaient sa famille et il ne souhaitait pas leur mort.

Tous les élèves regagnèrent donc leurs dortoirs dans un silence inhabituel.
Sous le regard attentif des professeurs qui essayaient d'encaisser la nouvelle en silence . Une ride s'était formé sur le front de Minerva, signe qu'elle était contrariée. Elle se tourna vers Albus assis juste à ses côtés.

« Vous étiez obligé de leur annoncer ça maintenant ? le questionna t'elle.

-Vous préfèreriez peut être que ces jeune gens l'apprennent dans la gazette du sorcier, Minerva?

-Vous avez raison mais ils ne vont pas dormir de la nuit, lui reprocha t'elle, vous auriez pu annoncer ça avec plus de tact et de douceur.

-Croyez moi ma chère, que je l'ai annoncer avec le plus de tact et de douceur que la situation me le permettait, attendais un peu de voir les horreurs sans tact ni douceur qu'ils écriront dans la gazette. »

McGonagall soupira, il avait raison, la gazette ne les ménagerait pas. Mais certain élèves étaient au bord des larmes en sortant de la salle.
Peut-être vaudrait t'il mieux interdire l'arrivée du journal pour quelques jours à Poudlard.

La Prophétie Des Sept Héros Où les histoires vivent. Découvrez maintenant