les étoiles

'*3*'

Je suis devant chez moi, j'attends mon taxi. Pour mes parents il était hors de question de m'accompagner à l'université enfin surtout pour ma mère. Elle m'a dit que si j'allais à cette université je devais me débrouiller seule et que j'allais être le honte de la famille; bien sûr quand elle m'a dit ça elle était bourrée; mais cette fois la elle ne c'est pas excusée.

Mais je sais que mon père va m'aider à payer mon loyer et va me donner de l'argent de poche donc je ne m'inquiète pas. Quand mon taxi arrive mon père cour pour m'aider à mettre mes valises dans le coffre et me dire au revoir.

-Tu sais chérie, ta mère t'aime beaucoup et elle te soutient.

-C'est pour ça qu'elle est ivre le jour de mon départ alors qu'il n'est que huit heure du mat? je sais très bien que je lui fais honte et que je la déçois énormément; mais je sais aussi qu'elle m'aime à ça façon. Tu sais papa je ne suis plus une petit fille et c'est d'ailleurs pour ça que j'ai décidé de choisir moi même mon université.

- Je suis fière de toi tu sais,.... je t'aime; il me dit en entourant mon visage avec ses mains et en posant sont front contre le miens

- Je sais, moi aussi je t'aime; je lui dis en murmurant.

Il dépose en bisou sur mon front puis je monte enfin dans le taxi qui commençait à s'impatienter.

Je mets mes écouteurs et tout en regardant par la fenêtre, je me demande comment sera mon nouveau chez moi et comment sera ma colocataire. Je sais simplement que ce sera une fille de mon âge. Et pour mon logement je sais qu'il sera petit avec le strict minimum, avec des douches communes, pareil pour les toilettes et qu'il y a une sorte de restaurant ouvert quasiment H24 où je vais devoir manger mais ce n'est pas obligatoire.

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Une fois arrivé, je suis un peu stressée et je dois prendre mon courage à deux mains pour avancer jusqu'à l'accueille de l'université.

C'est une dame plutôt âgée qui m'accueil avec c un grand sourire. Elle me donne ma clé de chambre, me donne mon emploi du temps, m'indique le lieu de restauration et m'indique le chemin que je dois emprunter pour me rendre à ma chambre.

Je dois marcher pendant au moins quinze minutes pour y arriver. Sur le chemin je croise beaucoup d'étudiants et souvent ils me regardent de haut en bas. Je les ignore et accélère pour arriver le plus vite possible à ma chambre.

Quand je la trouve enfin je pousse un long soupir de soulagement.

Avant d'ouvrir je respire un bon coup et me motive.

Après tout peut-être que ça ne sera pas aussi horrible que ce que j'imagine.