Chapitre n°18

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Quand la force,
De ce battre,
N'y est plus.
Il faut trouver l'espoir !


Point de vus jade :

_Mes bras sont enroulées autour de la taille de Axel, je sens les légères accélérations de sa moto.

Douce, puissantes...
Les différents sensations que je peut ressentir, ravive mon corps.

Pour un t'a-de-bout, c'est plutôt pas mal !

Oui, je dois bien l'avouer.

Ma tête ce pause, d'elle même, comme elle, pouvait en avoir l'habitude à l'époque, sur le dos musclées de Luc.

Axel, n'a pas la même musculature, sont dos, ses bras, ou encore ses jambes, sont beaucoup plus fin.

Il est muscles, mais part certains endroits, la forme de ses muscles sont beaucoup moins dessinées.

Les lumières de la ville, dance sur le haut de ses bras, mon regard ce perd dans cette contemplation de jeux d'ombres.

Je prendre le temps de les admirées, ma tête bien ancrée dans ses omoplates. Je lève les yeux pour voir le paysage défilé, à une allure modérer.

Le casque de Axel, n'a pas de visière, je peut sentir le vent sur mon visage, il chasse mes larmes, qui perles aux coins de mes yeux, il me pique aussi les yeux.

Je peux apercevoir brièvement aux coin des rues, les passants, mené une vie "normal", que je surprenant à idéalisé.

Un peut.

Juste, un petit peut. . .

Je crois bien ne n'avoir jamais ressenti de sentiment de sécurité totale avec quelqu'un, ou alors je perd la tête.

Ça doit être ça, la fatigue, parle pour moi.

Mais, j'ai le sentiment d'être abandonnée, même avec ce corps chaud, près du mien, je ne sens pas la chaleur émané de sont corps.

Alors, j'enroule de toutes mes forces mes bras, autour de sont abdomen.

Je le s'en retenir une inspiration, en sentent mes mains passées sous sa veste en cuir, celle-ci est ouvert, mes doigts ce faufile sur sont t-shirt, touchant la texture douce du coton.

Je ferme les yeux, Axel reprend une respiration normal, sont ventre gonfle, puis ce dégonfle, une sensation agréable envahi mes membres, je me détend, les battements de sont cœurs viennent a mon oreille.

Créent une Hypnose légère, qui prend possession de mon cerveau.

Quant, soudain, sous mes doigts, les muscles de sont abdomen bloque, sa respiration symbolise, un nouveau un silence.

Surpris tous les deux, je réouvre les yeux pour chercher la cause, et réalise bien vite, que mes doigts s'enfonce dans la peau de sont ventre, mes ongles dans sa chair, malgré le bout de tissu.

- Désolé. Je murmure en tentant de retiré mes mains, mais une des paume chaude de Axel, interrompe mon mouvement.

- Tu peux les laisser, mais évite les ongles, Jade.

Mes yeux évite les siens, qui me transperce à travers le rétroviseur.

J'ai toujours été une personne solitaire, à l'école déjà, les autres enfants ne jouait pas avec moi.

Quant, j'arrivais vers un groupe d'enfants, pour jouer avec eux.
Il me trouvais soit un rôle stupide, comme être ; Je ne sais plus trop...

Un passant dans leurs histoire, ou simplement, ils avais la franchise de me dire, de ne pas jouer avec eux.

JADE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant