JADE

Chapitre n°32

Je t'aime dans le temps.
Je t'aimerais jusqu'au bout du temps.
Et, quand le temps, sera écoulé.
Alors, je t'aurai aimée.
Et rien de cet amour,
Comme rien de ce qu'il a été,
Ne pourra jamais être efficacé.

Jean d'Ormesson.
Un jour, je m'en irai,
Sans avoir tout dit.

_Un regard nostalgique pour le paysage qui défilé sous mes yeux, les oreilles emporter par la voix délicate du chanteur du groupe Puggy.

Les paroles de When you know raisonne dans l'habitacle du véhicule.

Le coucher de soleil, a laissé place à la nuit noir, les lumières de la ville pour seul rempare contre cette obscurité redoutable qui pourrait tous nous avalé d'une seul et même bouché.

-Bon, souffle une voix masculine à mes côtés, Tu vas me dire pourquoi tu tire cette tronche ? Il coupe le son de la radio.

Je roule des yeux, avant de lui lancer un regard peut ou moin amicale. Jordan est assis à mes côtés, il conduit son pick-up, lunette de soleil sur le nez, une main sur le volant, et l'autre accoudé sur l'ouverture de la fenêtre.

-Allée Jade, il me tape l'épaule, dit tout, à ton super pote !

-Je n'ai pas envie d'en parler. Je tranche, reportent mon regard ailleurs.

-Roh.... Il lâche dans un souffle. Sérieux, moi qui suis si gentil, suivie d'un de ses mains sur le cœur. Qui t'ai amené avec moi, pour te sortir de ta grotte. Ça, tu vois, sa fait partie de mes super qualités. Tu savais ? Mais oui, bien sûr. Tu sais ! Un petit clin d'œil. Voir l'homme formidable que tu as devant toi. À quelle point, je suis super attachant, et je rajouterais fantastique et... À oui, aussi-...

Je le regarde comme si il était devenu un étranger, venu d'une autre planète.

-C'est moi qui t'ai suivie, pas l'inverse ! Je crache.

-Oui et j'aimerais savoir, ma belle, quel diable tu avais à tes trousses pour m'accompagner dans une mission, comment dire, des peut ingrates. Me sourit-il de toutes ses dents, en pointent du doigt l'arrêt du véhicule, ou des pack de bière, paquet de chips et diverses choses recouvre les sièges. Ce qui annonce encore une soirée mouvementé.

-Oh putain, boucle-la. Je le coupe.

-Ok, si tu me dis le pourquoi, tu fait cette tête, alors que tu es avec l'homme le plus beau et intelligent de la terre. Et célibataire ! Il déplace ses lunettes de soleil sur le haut de son crâne.

-Non. Je répond, avec une bouche qui tire sur une grimace pour m'empêcher de rire.

-Non ? Me demande-t-il. Je rêve ou tu insinue que je suis moche, p'tite cervelle ? Il me lance un regard faussement noir.

-Bien-sûr que si tu es beau, mais-... Il me coupe et je comprends mon erreur. Merde... Je laisse échapper. Et je jette un œil par ma fenêtre.

-Ah, tu l'avoue enfin que je te plaît !!! Je grince des dents, tout en le fixant. Ok, nous allons devoir jouer. Il frotte son menton.

- Nous ? Jouer ? Non, mais je rêve. Je tape ma tête avec ma main. Je suis avec un gamin.... Je tape ma tête sur l'appui tête.

- Oui, moi, Il ce pointe du doigt. Et tout ceux qui habite dans ma tête. Il s'ensuit un clin d'œil

-Tu es lourd, Jordan. Je roule des yeux, fatigué.