Chapitre n°35

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Chapitre non corrigé...

Mais, tu sais ce qu'on dit ?
L'amour n'est jamais plus beau.
Lorsque celui ci est impossible.

Point de vus Jade :

_Le claquement de l'eau qui s'entrechoque entre nos peaux, couvre le bruit de nos respiration érratique dans la pièce. Les douces  mains de Axel se balade entre la chute de mes reins et le haut de ma nuque, le long de mon dos se couvre de délicieux frissons, ceux qui pourrait apaisé n'importe qu'elles âmes abîmés.

Il fait glisser le bout de ces doigts sur mon cuir chevelu, pour intensifier notre échange. Doucement il me sert un peut plus fort, sa langue s'introduite dans ma bouche, pour danser sans aucunes limites avec la mienne, nos baisés n'était pass de simple échange de salive, il était la seul chose en se moment même, capable de m'aider.

Un bruit dans la chambre se fit entendre, mais nous n'y prêtons guère d'attention.

Trop occupé...

Axel gémis qu'en le côté de mes fesses touche son entre jambes, déjà bien gonflé. Je tente de trouvée une position confortable, si je peut dire.

Mais, dans une baignoire, la choses se révéle être difficile. Sa main vient toucher mon ventre, quand mon fessiers glisse une nouvelle fois le long de sa jambes, m'éloignent de lui.

- Ne bouge pas. Il me murmure, d'une voix bourré de désir.

Il enroule son bras autour de ma taille et me presse contre lui, j'ouvre les yeux, qu'en je ne sans plus ses lèvre touché les miennes.

-C'est compliquée de ne pas bouger. Je murmure, le regard planté dans ses yeux.

Un sourire vient se dessiner sur ses lèvres.

- J'avoue. S'était presque comme un chuchotements entre mes lèvres.

Fût sa seul réponse, il fonça de nouveau sur mes lèvres, le bruit sonneur de ce baiser se fit entendre, un fort gémissement m'échappe.

Après, quelque bruits sonneur de nos éclaboussure, de nos mains qui prennent plaisir à se découvrir, et de nos baisés enflammé, il attrape mes hanches avec force et je me retrouva sur lui, mes jambes de part et d'autre de ses hanches.

- Une chance que tu sois fine. Il mord la peau de mon cou pour m'arracher des petits hurlement, qui meurt dans le creux de mes lèvres.

Il prononce ses mots en même temps que ses dents croque l'intérieur de mon cou, il viens placer une main sur ma bouche pour atténuer le sons qui en sors. Son autre main, elle, devient impatient, fonce sur mon sien sans attendre, une fois le '' but '' accomplie, ses doigts s'empresse de pétrir avec empressement le galbe de mon sien.

- Je crois... Il commence sa phrase, sans pouvoir la terminer.

Nous avons peut de place dans cette baignoire bon marché, mais elle est suffisamment grand pour que mon intimité ce colle à la sien.

Mon corps commence à prendre les commande, celle que je pensais perdu à tout jamais. Celle du désir.

Je commence à bouger mon bassin, d'avant en arrière, j'entends Axel lâché quelques grognements, avec ardeurs, j'accentue mes mouvements et le rythme de nos échanges.

Nos bouches se rencontrés de nombreux fois, souvent avec violence, avant de se défaire avec tendresse pour mieux se retrouver, avide de plus.

Ce qui aide à ne pas pensée...

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