Chapitre n°34

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Chapitre non corrigé.

Un jour,
tu l'auras enfin trouvé, ton double.
L'autre moitié de toi.
Celle qui finit de combler.
Les petites cases, qui te manquaient.
Inconnu

Point de vus jade :

_Dans les bras de cet homme, la sécurité m'enlace. Il arrive à me couper du monde en une seul étreinte. Je parvient difficilement à entendre les pas pressé de Anthony, notre président, qui se rapproche.

Quand celui-ci arrive à notre hauteur, il se stop, je relève mon visage, du coin de l'œil, je le surveillée, toujours sa veste en cuir sur le dos, il me devisage avec inquiétude, une grimace au visage.

Collé au torse de Axel, je sens ce dernier resserrer ses bras autour de moi.

-Comment vas tu ? Le tond de sa voix dévoiles l'inquiétudes, ses yeux me détails de la tête aux pieds.

J'ouvre la bouche, puis la referme.

Comment je vais ?

C'est bien ça le problème, je n'en sais rien !

Ce n'est pas que la faute de cette horreur : La tête d'un innocent, décapité, qui roulent sur le planché de ma chambre.

Des jours, non, des mois, que je ne peut poser de réel sentiments sur se que je resens.

Je suis perdu,

J'ai perdu ma boussole.

Anthony, dois savoir lire dans mes pensées depuis le temps, il se redresse et fait face à Axel.

-Tu en prend soin. Cette nuit, je te la confie. Le tond de sa voix est beaucoup trop neutre pour laisser place au doute, qu'il me confie à reculons.

Je replonge la tête dans l'obscurité pour retrouvé sa chaleur réconfortant, lorsque la main de Anthony vient toucher ma tête, en signe d'affection.

Entre ses pectoraux, son parfun me rend ivre, il apaise mon âme. Il arrive à calmer mes pensées, aussi sombre soit-elle. Sa voix vibre.

- OK. Pas de soucis.

Peut importe ce que Axel peut me faire, je reviens toujours vers lui.

Qu'elle stupidité, je manque cruellement de volonté.
Ou alors, peut être que j'ai tout simplement besoin de quelqu'un.

Pour ne pas être seul.
De nouveau.
Combler mes blessures, et pourquoi pas, au passage, réparé les fissures.

Anthony, tape amicalement sur l'épaule de son amis avant de rentré dans ma chambre et dit refermé la porte.

La voix d'Arone s'introduire dans mon esprit.

Poupée...

-Allée, vient avec moi Jade. Me murmure avec gentillesse Axel, me sortant de mon angoisse.

Je le laisse me guider jusqu'à la porte de la chambre qu'il occupe. L'ouverture de celle ci, fair pivoter mon regard vers elle, dévoilent une ambiance neutre, seul sont parfum masculin me rappelle que s'est sa chambre.

Nous entrons, il me relâche, referme la porte derrière nous. Il part dans la salle de bain.

Je reste plante là, mon visage tourne pour faire le tour de la chambre.
Son lit est propre, la chambre est ranger. Tout est au carré, tout est ordonné.

JADE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant