Chapitre n°19

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Ne me secouez pas,
Je suis pleins de larmes. . .
Citation : Henri Calet

Point de vus Axel :

_Après avoir croisé la route de ce putain, d'enculée de flic, j'ai repris la grande avenue.

Il ne nous à pas suivie, a t'il compris le message ?

J'en doutes.

Je sais une choses, avec les flic, il faut s'attendre a tout.

Nous arrivons enfin devant un bar, je garde ma moto, Jade ce redresse.

-On est arriver ? Je la détail dans le rétroviseur.

- Dis, je suis vraiment obligée de te suivre dans cet endroit miteux ?

- Oui, m'dame. Je répond en levant la main sur mon front, comme pourrais le faire un milliardaire, Pas le choix.

Je sens ses bras, coulé le long de mes côtes, ses mains frôle mes hanches dans une symple caresse, elle se dégage de moi.

Elle pause pied à terre, en ce tournant vers moi, pour me jeté un regard noir.

- Enleve ton sourire de con, tu veux.

Je ne lui répond pas, je mets la béquille, accompagne ma moto légèrement sur le côté pour la déposé sur celle-ci.

Dans un mouvement souple, je soulève la jambe pour la passer au dessus de la selle et enfin mettre les deux pieds à terre.

Face a Jade, qui me scrute de sont regard persan, je me place à sa auteur, légèrement penché, toujours noyé dans ses prunelles.

J'avance les mains vers elle, désireux de la toucher a nouveau, ou juste effleuré sa peau.

Nos visages, ne sont, qu'à quelques centimètres l'un de l'autre.

J'approche mes mains de l'attache du casque, qui est encore fixé sur sa tête.

A quelque millimètres, de l'attache, mes doigts sont arrêté part une tape sur mes mains, puis un mouvement de recule de sa part.

-Bas les pattes. Je sais le défaire. Dit elle les dents serres.

Cette nana, me dépasse... Je souffle.

- Comme tu veux... Je laisse coulé un long et profond soupir. Tu verras, un verres ne te fera vraiment pas de mal. Je lâche agacé. Pff, les nanas toutes les mêmes... Je lâche d'un ton lasse.

Je réveille immédiatement une réaction chez Jade.

- Je ne suis pas une de tes potiche, Axel ! Je sais utiliser mes 10 doigts et mon cerveau ! Surtout, quand c'est question de moto ! Elle avance un pas vers moi, détache sont casque et le colle, d'une main ferme, sur mon torse pour appuyer ses dires.

Un petit sourire au coin, prend naissance sur mes lèvres, je la regard, avec mon regard le plu charmeur.

- Oh ? Mais arrête ça ! Les mains sur les hanches, avant de faire demi-tour pour prendre la direction de la porte d'entrée du bar. Tu me soule !

- Allée... Arrivé a sa auteur, je ne peux m'empêcher de lui tape l'arrière de la tête avec ma main, On vas boire, copine !

- Je croyais que tu avais faim... Elle laisse échapper a haute voix, roulant des yeux.

Je lui lance un regard, cette fille, vraiment, je sais pas ce qu'elle me fais. C'est vraiment étrange, le sentiment que je peux ressentir en sa présence.

JADE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant