Chapitre n° 24

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Une femme qui connaît
Sa valeur,
Ne mendi pas,
L'amour.
Inconnu

Point de vus jade :

_Il était hors de question qu'on me dicte ma conduite !

Je ne suis pas un gentille petit toutou, qui obéi au doigt et à l'œil.

Non !

Assise encore dans le bac à douche, je me redresse sur mes deux jambes, essuie mon visage avec la serviette avant de la noué autour de ma taille.

Je m'attardes quelques minutes devant le miroir au dessus du lavabo. Avant d'ouvrir celui-ci pour prendre une compressé, du désinfectant et un pansement afin de soigner ma plaie.

Je ferme la porte miroir du placard et regarde attentivement ma plaie en la désinfectant à l'aide de la compresse imbibé de produit.

Ce qui est bien quand on sort avec un biker c'est que ce genre de plaie, deviennent facilement insignifiant.

La plaie est propre, net.

Mais légèrement profondes.

Je reouvre le placard pour récupéré des strips, que je décolle de leurs support pour les colles un à un sur ma plaie afin de l'aides à ce refermer.

Il n'en faut pas moins d'une dizaine pour la refermé correctement.

Je couvre le tout d'un pansement. Je range les affaires dans le placard et balance le reste dans la poubelle.

Je sors en vitesse de la salle de bain, bien décidé à allée jusqu'au bout de mon idée.

J'ouvre les portes de mon placards, mon regard est attiré, juste un instant sur les vêtement de Luc, parfaitement range et plié à leur place.

Tout est à sa place.

Mon côté à moi, est vide, on pourrait y faire la poussière sans problème.

Je n'es jamais eu grand choses en matière de vêtements. Le basiques pour sortir et les vieux vêtement de Luc pour la mécanique.

Mais là, je me rend compte à quelle point, je me suis laissé complètement allée, dépassé...

Ma dernière machine remonte à ?

Le manque de vêtements à me mettre sur le dos devient crucial.

Je redresses mes cheveux humides sur le haut de mon crane en un chignon flou, tout en observant le peut de vêtement qu'il me reste.

Ils sont éparpillés de par et d'autre, un short, une culotte et un soutif.

Je ne vais pas allee loin comme ça.

J'attrape le tout et décide de pique un t-shirt à Luc.

Je jette les vêtement sur le lit, ma serviette de bain tombe au sol.

Je passe mes sous vêtements en un éclaire, puis le short et enfin le vêtement que je redoute le plus...

Quant je passe ma tête à l'intérieur du t-shirt, l'odeur de Luc me donne un lège tourni.

Comme pour me rappeler que tu n'es plus là.

Le tissu caresse la peau de mon visage, me renvoyant des images de lui et moi dans mon esprit, ce qui me provoque de multiples frisson.

Une fois le tissu passé, je m'assoie sur le lit attrape une vielle pair de chaussettes qui traîne sur le côté et je les enfiles.

JADE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant