Chapitre 3

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Bonjour à tous voici le chapitre 3, j'espère qu'il sera à la hauteur de vos attentes.

Je saisie le carnet de marc pour vérifier ce qu'il a écrit tout en l'observant se lever de son fauteuil. Marc est un homme grand, il doit faire environs 1m95 pour un corp entièrement musclé du peu que sa chemise laisse percevoir. Comme à son habitude ses long cheveux blond son relevé dans un chignon fait comme à son habitude à la va vite, lui donnant ainsi un style simple et branché. Ce qui dégage magnifiquement bien son visage mettant en valeur : ses yeux gris bleu, sa barbe bien taillé et entretenu, ses lèvres fine rosé et ses pommettes saillante. Le col droit de sa chemise ne cache pas le bout d'un tatouage fait en couleur qui ressemble à une tête d'ours qui rugis mais le tatouage semble descendre sur son torse et son épaule gauche. Marc finit par faire craquer son cou en m'adressant un bref regard intense comme s'il m'intimait silencieusement d'arrêter de l'observer. Je toussote en rougissant honteuse d'avoir été pris la main dans le sac, je détourne le regard sur le carnet en suivant rapidement les lignes écrites du bout de mon stylo. Mais je ne manque pas de rapidement relever les yeux pour le regarder marcher dos à moi. Sa carrure est légèrement imposante même de dos il semble dégager une certaine présence dangereuse.

Marc se rapproche d'un bureau ou l'on peu voir un poste d'ordinateur allumer et des piles de dossiers qui s'amoncelle en une tour instable menaçant de s'effondrer à tout moment. D'un geste habile il retient la pile en appuyant sa main gauche tatouer d'une ancre de bateau sur un fond de boussole de navigation. Puis rapidement il décroche le téléphone de la base, le coince entre son épaule gauche et son oreille pendant qu'il tape de la main droite le numéro de mon père.

Il pousse un soupire en décortiquant la pile de dossier du regard tout en gardant la mâchoire serré. Mais rapidement il se tourne vers moi et me fais signe de lire et de signer le document avec plus d'attention. Je soupire en haussant le regard d'un air de défie ce qui fait naitre dans son regard une certaine insatisfaction que je prenne à la légère cette déposition.

Il est tellement concentré sur moi qu'il sursaute lorsqu'il entend la voix de mon père.

« Echange téléphonique entre Zac Morton et Marc »

- The Coffee Forest, Morton à l'appareil. Résonne une voix au ton bourrue.

- Zac c'est Marc, je suis au poste Tango Charlie avec Louise et son chien... Il n'a pas le temps de finir qu'il est coupé par mon père. J'ai le plaisir de l'entendre jusqu'ici tellement il parle fort et d'une voix paniqué.

- Quoi !!! Que s'est-il passé ?! Elle va bien ?! Mon père est complétement paniqué limite dans une exagération de son rôle parentale.

- Du calme Zac... Elle va bien, elle a réussi à échapper à cette bête sauvage en se tapant le meilleur sprint de sa vie et j'ai pus calmer sa crise de panique et je l'ai conduit à la cabane en lieu sûr. Dit-il en me regardant avec un air de fierté sur moi.

- Une bête sauvage... Je pense que je vais mettre en place des tours de garde sur le terrain et faire en sorte que Louise ne soit pas toute seule sur le terrain. Dit-il du tac au tac comme s'il comprenait le sous-entendu de Marc.

- Mmh... Il serait préférable effectivement. Peux-tu venir ici pour la récupérée au poste. Car je ne veux pas quelle reste toute seule on ne sait jamais avec ses crises.

- Très bien, j'arrive d'ici une dizaine de minute.

« Fin de l'échange téléphonique entre Zac Morton et Marc »

Depuis mon fauteuil j'ai pu entendre leur conversation car papa parlait toujours assez fort au téléphone bien que j'avais plus l'impression d'être traitée comme une petite fille. Ce qui a vraiment le don de m'agacer car je déteste les sous-entendus comme ils le font. Mais le regard noir que je lance à Marc n'a pas l'air de l'atteindre au contraire cela le fait sourire. Il revient vers moi en gardant son grand sourire puis me tends la main pour récupérer le carnet que j'ai signée et va le poser sur son bureau en bazar ou s'amoncelle sont travail en attentes. Il revient vers moi avec une boîte de pharmacie qu'il tire de son tiroir de droite dans son son bureau. Il s'installe sur la table basse en face de moi posant la boîte sur la table à coter de lui alors qu'il commence par attraper ma jambe droite qui est écorcher. Il relève mon bas de legging avec beaucoup de douceur et commence à observer mes écorchures.

- Les écorchures sur ta jambe droite ne semblent pas être très profonde. Il commence à vaporiser du désinfectant sur du coton puis délicatement l'applique sur ma jambe pour retirer le sang séché pour finir par faire un bandage.

Je ne dis rien son toucher à une effet hypnotique sur moi, comme un anesthésiant. Mon esprit se concentre sur lui son toucher, son visage, sa chaleur et son odeur que j'adore.

Il continu de me soigner avec autant de minutie qu'un vrais médecin, bandant les dernières égratignures. Un fois son œuvre finis il caresse ma joue droite pansé avec un air songeur.

- Marc.... Son visage est si près du mien que je peu presque l'embrasser mais je me retiens car je ne souhaite pas briser se lien invisible entre nous.

- Mmh... Je ne pense pas que ce soit une bonne idée que tu reste toute seule avec ton chien au studio. Dit-il songeur en continuant de caresser ma joue.

- N'importe quoi ce n'est pas un loup quelque soit la taille qui va me faire peur et puis c'est un animal comme tu le dis, il ne va pas rentrer chez moi par la fenêtre ou entrer chez moi comme un être humain. Je dis en rigolant mais cela ne semble pas l'amuser.

- Comme tu dis c'est un animal sauvage qui te considère comme une proie maintenant. Donc s'il a réussi à faire une victime tu te doute bien qu'il n'a pas réellement peur des être humains. Grogne-t-il en soupirant puis passe la main dans ses cheveux défaisant ainsi ses cheveux qui se libère en cascade de chaque côté de son visage comme un voile d'or.

- Marc... Papa a dit qu'il va demander à des amis chasseur de passer de temps en temps et puis je ne risque rien je sais me défendre. Je réponds du tac au tac en passant mes doigts sur le dos de sa main qui me caresse ce qui a pour but de déclencher un grognement de sa pars alors qu'il finit par attraper et jouer avec une mèche de mes cheveux.

- Je pense vraiment à poster une patrouille en bas de chez toi pour guetter au cas où.

- Je t'assure c'est bon... Je n'ai pas le temps de finir que je suis coupé par un bruit de porte violement ouverte mettant ainsi interne à la proximité entre moi et Marc.

Mon père fait irruption dans la grande pièce et se précipite vers moi, sans perdre de temps Marc s'était éclipsé vers son bureau pour laisser la place à mon père. Ce dernier commence par me faire un câlin en me serrant fortement contre lui en m'affublant d'un nombre incalculables de questions sur mon état.

Louise et la réserve d'Alaska tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant