Chapitre 19 : Une page se tourne

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Point de vue Hunter

Plus jamais je mettrais de costume !
Avec les garçons, c’est-à-dire Shark, Shawn, Rick et moi nous sommes en costumes grâce aux filles.

Elles ont réussis a se faire inviter par ses trois imbéciles et comme ils cherchaient des serveurs nous avons postuler.

De cette manière, l'intrusion était déjà faite ! Les filles ne sont pas encore arriver et nous avons pas pus les voir se préparer.

Après avoir parler avec Abigail on a convenu que mon père nous rejoindra plus tard. Étant un ancien membre de l'organisation le fait de le voir pourrait mettre en l’air tout notre plan.

Je dirais d’un sens, qu'elle n'a pas tord.

Je voyais Rick derrière le bar préparer les boissons à la demande des invités tandis que Shark et moi nous nous baladons entre eux, un plateau de champagne à la main à les proposer à longueur de temps.

C’est alors qu’on vit les filles entrer aux bras de leurs cavaliers.

Mickaella a garder pour le coup ses cheveux lâchés et ondulés, elle porte une robe bordeaux dénudé aux épaules s’arrêtant au début des genoux à l'avant et légèrement plus longue à l’arrière.

Alek quand à elle, a une robe rouge arrivant à mi-cuisses avec un décolleté, ses cheveux blond était lâché également mais aussi couper lui arrivant désormais aux épaules.

Puis vint le tour d'Abigail, sa robe couleur vert d'eau est en bretelle arrivait, elle aussi, à mi-cuisses avec comme particularité d'avoir un voile de la même couleur pour rajouter de la longueur, ses cheveux attacher et boucler mettait en valeur ses yeux qui ressortait avec la robe.

Je me fit gentiment bousculer par Shark qui ajouta d’un air amusé.

- Ferme la bouche Hunter et concentre toi.

Je ne pouvais m'empêcher de la contempler alors qu'elle s’approcha de notre cible principale, il lui fit un baise main et je dû lutter pour ne pas m'approcher d'avantage.

Deux heures, voilà deux heures de passer et la « fête » battait son plein, même si je voyais les filles s'ennuyer de pieds fermes ne pouvant pas faire faux-bons de leurs cavaliers.

Tout les invités, même les retardataires, étaient présents se qui revient à une bonne centaine de personnes, si je n'avais pas confiance en Abigail et aux autres je dirais que c’est une mission suicide.

Je vis Shark s'approcher de moi et me dire à voix basse.

- Ton père va pas tarder, les filles sont armés alors t'en fais pas pour elles, tu devrais passer par derrière pour faire en sorte que personne ne puisse s’échapper.

Je tourna la tête et vis le drone commencer à filmer partout dans la maison, avant que qui que ce soit ne pose la question, Roméo lança "que c'est tout à fait normal, il s'agissait d’un souvenir pour cette soirée qui sera mémorable. "

Quel imbécile !

Avec les garçons nous étions déjà prêt lorsqu’un coup de feux se fit entendre. Tout le monde semblaient paniquer face à cette entrée soudaine de mon père, même les filles jouaient à la perfection leurs rôles se cachant derrière les italiens.

En parlant de mon père je le vis arriver en simple jeans et veste en cuir avec autour de sa taille… des grenades ?!!!

Je le vis en lancer quelques unes dans l’assemblée après les avoir dégoupiller et aussitôt exploser des membres volaient en travers de la pièce arrachant aux victimes des cries d'agonies et repeignant les murs.

On pouvait tout de suite voir le sang se reprendre sur le sol à cause des membre amputés et les veines ou artères se vidant progressivement du sang de leurs propriétaires.

Que le carnage commence.

Rick sorti du bar deux mitrailleuses et commença lui aussi a tirer à travers la foule d'abord uniquement dans le plafond puis sur eux, en loupant beaucoup au passage.

Les filles qui avaient leurs armes attacher à la cuisse tira sur les garçons avant de commencer à se protéger face aux ennemis derrière des poteaux ou des murs et tirant lorsque leurs chargeurs étaient vidés.

Nos ennemis avaient eux aussi de bon moyens de défense et nous mîmes beaucoup de temps avant de réussir à leurs tirer dessus, d'abord un bras ou une jambe avant de les achever.

Les cris d’agonie et de douleur s’estompèrent peu à peu avant de laisser place à un grand silence.

Seul Alejandro n'a pas été touchés, mais ce n'est qu’une question de temps.

Pendant que Shark et Alek placèrent une chaise au milieu de la pièce virant quelques cadavres aux passages.
Rick pointa son arme sur l'homme pendant que Mickaella lui attacha les poignets et Abigail les chevilles.

- Bien, commença mon père. Pour commencer pourquoi m'avoir envoyé en prison ?

Voyant que la réponse tarda à venir Rick, avec toujours l'arme à la main, lui fit un coup de crosse sur la joue, lui faisant cracher du sang.

- Tu … n'obéissait plus… on t'a remplacer… mais c’est pour ça… tout ses morts ?!!

Cette fois c’est Abigail qui s'approcha, elle pris une chaise et s'assied face à lui.

- Tu me reconnais ? Lança t'elle.
- Tu es la prostituta (prostituée) de Roméo, je savais que des jolies filles comme vous trois avaient rien a faire avec eux.
- Je m'appelait Nora, mes parents n'ont vendus pour de la drogue a mes cinq ans, ça te rappelle quelque chose ?

Il l'a regarda quelques minutes, aperçue son tatouage puis enchaîna :

- Ses yeux… oui je me souviens, tu t’ai enfuis avant même accomplir ton premier contrat… une triste perte d'ailleurs… tu allais me rapporter gros.

Et c’est ainsi qu’il expliqua, avec beaucoup de fierté dans la voix, ses choix quand à la prostitution infantile ; le marché est quasi inexistant et une petite vierge peut rapporter plusieurs milliers d'euros en fonction du client.

Bien que le visage d'Abi et d'Alek demeurent impassibles, tous eurent des têtes choqué à l'exception de Rick qui pressa de temps en temps la gâchette, le viseur face à Alejandro.

- Tu n'es qu’une pourriture aux même titre que tous ceux qui participaient a ça, ce n’était que des enfants et tu leurs a gâché leurs innocences avec cette perversion, tu mérite ce qui va t’arriver.

Elle se leva tandis que Rick lui tira dans la jambe avec un léger sourire sur les lèvres, arrachant un crie de la bouche d'Alejandro, on commença à prendre la route de la sortie en esquivant les cadavres un peu partout.

Alors qu’on alla passer la porte du mouvement derrière nous se fit entendre, on eut pas le temps de comprendre quoique ce soit qu’une douleur au niveau de ma poitrine gauche irradiait tout mon corps.

Quelques pas de plus puis des explosions simultanés se firent entendre avant que tout mon monde s’écroule.

L'un de nous est touché.

L'enfance gâchéeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant