La fille aux dragons

Chapitre 18:La Mer d'argent

(Point de vue d'Aria )
Je suis face à la mer,elle est bien calme,je peux resentir son énergie. Je ressents quelque chose qui m'attire comme me l'avait dit Aslan.
Je sais comment je vais rentrer dedans j'aurais juste à chanter ma chanson de mes ancètres:https://youtu.be/rSaQd4j0PGs
Je commençai à chanter quand je ressentis une force invisible qui fit voler mes cheveux et mes ailes.

Quand je fit un pas la mer s'écarta et je vis toutes les statues de beaucoup d'innoncents.
Plis j'avançais dans la mer plus mon pouvoir augmentait....Je sentit une présence familière...Ce fut l'esprit de ma mère.

Elle me dit:
-Ma fille que tu as grandit...tu es devenu une merveilleuse femme et une fantastique soeur et amante.

-Maman(reniflant) je suis si heureuse de te voir...mais que fait tu là je pensait que tu étais partit pour toujours.

-Et bien un certain Aslan m'a dit que tu aurais besoin de moi pour te guider dans ta quête.

-Attends tu savais que le collier de grand mère était la depuis toujours et tu m'a rien dit pourquoi?

-C'était pour te protéger mon enfant et comment vas Luna?

-Elle va bien mais j'ai peur pour elle car ses pouvoirs se développent mais surtout car elle est très proche de cette sorcière.

-Ma puce, ta soeur est forte croit moi ... maintenant écoute moi,il va falloir que tu trouve la pierre bleu turquoise et quand tu la verra tu pensera fort à ce que tu veux réellement et si les gardiens acceptent ta propositions ils te laisseront passer pour prendre la couronne.

-D'accord maman...sache que je t'aime fort maman.

-Moi aussi ma puce.

Je me mis à regarder attentivement autour de moi.Je recherchais cette pierre magique.

Plusieurs heures passèrent,je commençais à fatiguer mais je ne voulais pas partir si prêt du but.

J'allais rentrer quand je vis une lumière étincelante vers ma droite...la pierre était là.
Je m'avançai tout doucement et je vidai mon esprit...je me dit : je voudrais protéger mon royaume d'une malédiction...je serais prête à y laisser ma vie contre celle de ces pauvres personnes .