Chapitre **3**

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Hello les petits potos ! Bien ?

Allez, go pour le chapitre 3, un peu 🔥🔥... Mais rien qu'un peu, hihi 😇

J'espère que tout le monde va bien, mamie vous fait des bisous. A toutiiii😘😘

***

L'accord avait été... sauvage. Brutal. Mais ça avait été carré. Fort.

A peine dans mon appartement, je m'étais senti plaqué contre le mur. Ses mains s'étaient très vite aventurées sous l'épaisse couche de mon sweat. Puis elles étaient descendues vers le bas de mon ventre. Pleines d'assurances, elles avaient déboutonné mon jeans. Et tout aussi sûres d'elles, elles s'étaient glissées sous le tissu de mon caleçon.

Maéva avait pris les rênes pour le début de « notre fin de soirée », le temps de se découvrir et de se retrouver sur mon plumard. Puis j'avais repris le dessus et j'avais commandé l'union charnelle. Elle avait été réceptive, et répondait en faisant parler son corps, tout en obéissant au mien. Ses hanches suivaient le rythme imposé par mon bassin impatient. Sa poitrine se soulevait lorsque j'allais et venais en elle, parfois brutalement, parfois plus doucement. Ses yeux s'étaient fermés au moment où elle était venue. Son râle, discret au patio, avait été plus marqué au moment de jouir.

Je m'étais écroulé sur sa poitrine gourmande, expirant de manière saccadée contre sa peau brûlante. Ses tétons étaient encore tous durs et pointés vers le plafond. Ils m'avaient brièvement donné envie de recommencer mais Maéva bougea dans le lit, m'invitant silencieusement à me relever. Elle avait pesté :

-          Tu me les as jeté où, mes sous-vêtements ?

Dans un élan de courage, je m'étais levé et partis à la recherche de sa lingerie en dentelle fine qui lui seyait parfaitement. Enfin, du peu que j'avais eu le temps de m'en apercevoir. Je les lui avais ramenées et elle s'était empressée de les enfiler. J'avais ensuite fouillé mon appartement en bordel monstre et mis la main sur un sachet éventré de Snickers mais pas vide. Ouf, je pouvais respirer !

-          Je crois que je vais gratter des points, je triomphai en me laissant tomber à côté de son corps charnu mais si plaisant.

Je lui offris le paquet ouvert et sa main, aussi impatiente qu'avec mon corps, plongea dedans et en ressortit avec deux barres chocolatées.

-          Gourmande !

Elle ricana et croqua un bout du Snickers.

-          Je chais, elle se défendit la bouche pleine.

Elle offrit un regard presque désolé à l'attention de son corps.

-          Tu sais pas manger, wech, je la charria en lui retirant du bout du doigt du caramel collé sur son menton.

Ses yeux se levèrent vers le ciel. La voir se recouvrir le visage de chocolat et de caramel, me donna une envie de sale, je débordais d'énergie pour un second round. Mais elle en décida autrement alors qu'elle fourra la fin du snickers dans sa bouche :

-          Je dois y aller.

C'était si inattendu que j'en avais perdu ma langue. Levée, elle termina de se rhabiller en silence. Elle se baissa pour attraper sa besace et s'approcha de moi :

-          Désolée, mais je... j'ai... c'est mieux comme ça. On s'appelle !

Après un dernier baiser appuyé, elle disparut de ma chambre. La porte d'entrée claqua. J'étais de nouveau seul. Je me sentais de nouveau bien con. J'avais pas pour habitude de rester dix plombes à faire des papouilles à mes conquêtes d'une nuit, mais ce n'était pas les filles qui y mettaient un terme en général. Les rôles venaient de s'inverser, je n'étais pas prêt pour ça.

BunkoeurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant