la poupée de porcelaine

L'arrivée

nous nous réveillons à l'aube ,de mauvaise humeur je jette deux trois couteaux qui vont s'enfoncer dans dans l'écorce d'un arbre . Je lève la tête et je renifle comme un jeune chiot l'odeur de la forêt ,je remarque que la veste de Cato est encore sur mes épaules et me protège du froid, de la brume du matin. Je lève la tête vers le soleil de l'arène déjà aveuglant .

Soudain je me rappelle d'un autre matin ,d'un autre soleil moins vif et artificiel. Je me rappelle.

/flash back/

Cachée derrière mon arbre,

j'observe le soleil ,j'ai les yeux qui pleure mais ce n'est pas qu'a cause du soleil aveuglant de Septembre.

Aujourd'hui j'entre au centre de formation des carrières,

c'est à dire l'enfer.

Mes parents, le directeur qui essai de ne pas exploser de rage et deux trois instructeurs me cherche,durant la visite du centre, en voyant tant d'armes ,de façon de tuer je me suis enfoui dans le park, j'ai entendu ma mère m'excuser auprès du directeur , mon père gronder et j'ai couru comme une folle pour me cacher derrière ce châtaignier.

Je les regarde me chercher ne sachant que faire. C'est une voix qui me sort de mes réflexions .

-Tu compte rester là à contempler l'écorce, poupée ?

je me retourne ,c'est un grand garçon blond ,d'environ mon âge,qui affiche un large sourire moqueur qui vient de me parler aussi familièrement "poupée" non mais je rêve !! je vire au rouge et je lui hurle de dégager mais a cause de ce crétin les adultes m'entendent et me gronde ,ma mère me prend par la main et me tire vers le centr mais avant je me retourne le garçon et toujours la avec son grand sourire moqueur ,il me dévisage et chuchote

-poupée de porcelaine

Quel crétin !

Je me laisse faire par ma mère et bientôt on arrive à la porte ,j'essaie d'apercevoir encore le garçon mais il a bel et bien disparu .

Durant la visite je pense à lui sans même écouter ce que dit le directeur

Qui est t' il ? est ce qu'il est comme moi ,il vient d'arriver au centre ?

Je lui donne pas plus de neuf ans, non mais pour qui se prend t'il pour m'appeler "poupée de porcelaine"avec son air moqueur la !

Mais malgré tout je ne peux pas m'empêcher de le trouver très mignon ,même très beau.

-Clove dépêche toi ,tu a pris ta valise?

- Oui maman!!

en vérité ma valise est prête depuis longtemps .

-On t'attend dans la voiture ! hurle mon père.

C'est d'aujourd'hui je rentre au centre, en enfer.

Dans la voiture mes parents me gronde plus qu'il me donne leur soit disant conseil,je n'écoute plus depuis un bon bout de temps déjà ,je regarde par la fenêtre et je ne peux m'empêcher de penser au garçon ,je ne sais pas si je veux le revoir .

Je n'est pas le temps de me torturer l'esprit plus que sa que la voiture s'arrête ,je sort et va rejoindre la foule d'enfants dans la cour.

Les instructeurs nous compte et font ou plutôt essai de faire l'appel avec le brouhaha constant des parents on ne s'entend pas.

Les élèves sont pour la plus par silencieux et stressé mais certains sont a l'aise et lance même quelques regards arrogants .Les instructeurs n'auront pas grand chose à leurs apprendre propos de notre soit disant supérieurité au autres district ,j'ai mal à la tête on m'attribue une chambre et je m'effondre sur mon lit.

Il est 14 h je suis encore sur mon lit c'est l'arrivée des garçons ,on entend le grand brouhaha de tout à l'heure .Je regarde ma chambre et la à l'opposé de mon lit ce trouve ...UN AUTRE LIT. Il n'a jamais était question de partager ma chambre avec quelqu'un ,je trépigne de rage ne m'aperçoit même pas qu'une instructrice est rentré dans la chambre ,elle est brune avec de larges épaules et elle a l'air dure et sévère des instructeurs

-Bonjour je suis Bonny et voici celui avec qui tu vas cohabiter

Et la derrière elle se tient

LUI

je manque de m'évanouir .Il est la avec ses cheveux blond et son grand sourire moqueur .

Et sur ses lèvres je lis :

poupée de porcelaine