My life with the members of B.A.P [HIATUS]

Chapitre 6 : Zico's time ?

A ce moment-là, je fis la chose la plus stupide qui soit... partir en courant.

Ce dû les choquer, vu les yeux exorbités du maknae. Mais je m'en fichais légèrement.

Je sortis de l'appartement et courru je-ne-sais-où dans cette ville que je connaissais à peine.

Sans m'en rendre compte, je m'étais retrouvée dans un de ces quartiers... peu fréquentable...

Je m'arrêtais à bout de souffle. Ce corps n'était pas du tout sportif.

- Tss... elle est quoi la vraie couz' ? Allergique au sport ?! hurlais-je sans vraiment m'en rendre compte, tellement j'étais exaspérée.

Je me passais nerveusement une main dans les cheveux. Comment j'allais expliquer ma réaction aux autres ?

Alors que je soupirais en voyant que le ciel s'assombrissait, un homme qui devait avoir la quarantaine m'aborda :

- Hey, tu prends combien de l'heure ? il accompa sa question d'un sourire malsain ; et sinon, t'as pas de l'héro' ?

...

Hein ?

Je le dévisageai - à vrai dire, personne ne m'avait jamais demandé ça, et personne ne m'avait jamais pris pour une vulgaire... prostituée.

- Je ne fais... pas ce métier là..., commençais-le plus calmement possible.

- Il faut bien un début à tout, ricana-t-il en me tirant dans une ruelle étroite et anormalement sombre.

Il tira sur mes cheveux et me poussa contre un mur.

Je retins un cri de surprise en comprenant ce qui allait m'arriver. J'aurai sûrement dû crier, mais j'étais paralysée.

L'homme se rapprocha de plus en plus de moi ; lançant des regards pervers à mon décolleté.

J'essaie de me débattre mais il passa une main sous son haut, remontant vers mon soutien-gorge. Il allait d'ailleurs le détaché quand une voix se fit entendre :

- Elle a pas l'air d'apprécier, il me regarda un instant, barre-toi.

L'homme obéit devant le regard noir qui lui était adressé et mon "sauveur" s'avança.

- Zico.

Je hochais rapidement la tête et essayais de lui répondre :

- Mee... ma voix se bloqua dans ma gorge et mes jambes se dérobèrent.

Je lui lança un regard désolé et articulais un faible "Merci...".

Il me prit dans ses bras - façon à princesse - et sortis de ce quartier si inquiétant. Je ne cherchais pas à protester, je ne ressentais pas le fait qu'il soit mal-intentionné, il sentait si bon et... je préférais remettre à plus tard ma confrontation avec les B.A.P.

Zico ne me posa pas de questions. Il était habillé comme en plein hiver, bien que ce ne soit que le mois de septembre, et il avait de grosses lunettes de soleil sur le bout du nez.

Il m'amèna devant un grand immeuble, qui devait juste être construit. Il entra et pris l'ascenseur.

Les étages défilaient devant mes yeux et nous nous arrêtions au 10ème. Il sortis et me posa à terre pour chercher ses clefs et les faire glisser à l'intérieur de la serrure.

J'aurais voulu lui hurler que c'était trop tôt pour une quelquonque liaison, mais je savais qu'il ne m'avait pas porté jusqu'ici pour ça.

Il me fit signe de rentrer, ce que je fis.

L'appartement était spacieux, le séjour était lumineux, un immense canapé en cuir blanc y trônait en maître. Il faisait face à un écran plat et une table basse se trouvait au milieu.

Il m'ordonna de m'asseoir sur le canapé et se dirigea vers une autre pièce avant d'en ressortir avec une tasse de thé et des biscuits.

Il me tendit un cookie, m'invitant à le manger. Je le pris et l'examina sous toutes les coutures.

Après tout, ce n'était pas parce qu'il m'avait sauvé qu'il était "bon", non ?

Mais sous son regard interrogateur, je le croquai à l'extrêmité.

Wow!

C'est le meilleur cookie que je n'ai jamais mangé!

- Il est délicieux! m'exclamai-je, les yeux pétillants.

- Merci, répondit-il en esquissant un sourire.

Il re-disparu de la pièce, alors que je continuait à manger.

Bizarrement, bien que la pièce soit assez vide, que je ne connaissais Zico que depuis quelques minutes et qu'il soit presque muet, je n'avais pas peur.

Pas peur. J'avais comme le pressentiment qu'il ne me ferait rien. Était-ce parce que je n'avais pas confiance en moi ? Ou parce que j'avais trop confiance en lui ?

Et puis, en y repensant... Zico était aussi le nom d'une de mes idoles... avec un nom pareil, impossible qu'il soit mal-intentionné. Pas possible. Niet. Nada.

Je haussai les épaules et continuai à manger mon cookie, en plus, IL CUISINAIT DIVINEMENT BIEN.

Pour autant que ce soit lui qui ai cuisiné...

La ferme, la conscience!

...

J'espérais au plus profond de moi que personne ne puisse lire dans mes pensées et finis mon cookie.

Je lorgnai alors sur cette divine assiette de cookie, pouvais-je en reprendre un ? ... Ou pas ?

Raaah!

Je gonflai mes joues, tel le hamster renié que j'étais, et commençai à jouer avec une mèche de mes cheveux.

J'entendis des pas revenir dans la pièce mais n'y prêta pas attention, ce devait sûrement être Zico qui rev'nait... n'est-ce pas ?

Je tournai la tête, afin de m'en assurer. 'Faut dire que si un violeur en série c'était introduis, l'aurait fallu que je me défende. Et puis si c'était Zico qui était en fait un violeur en... STOP.

Respire...

Inspire...

Expire...

Inspire...

Je tournai la tête vers le nouveau venu...

Expir-

- HYA! P.O. OPPAAAAAA!

~♥♡♥♡♥~

BBC, Follow me! ~ Nililli Mambo.

BON. Premièrement, je m'excuse de l'attente, mais j'avais une panne d'inspiration, pas énormément de temps et... et... ^.^''''

1. [...'Faut dire que si un violeur en série c'était introduis, l'aurait fallu que je me défende. Et puis si c'était Zico qui était en fait un violeur en... STOP. ...] ~ Ce passage est tiré d'une chose qui m'arrive souvent... faire des conclusions attives et avoir peur qu'on puisse lire mes pensées... XD :BonneAInterner:

2. {... - HYA! P.O. OPPAAAAAA! ...} ~ Aurais- je oublié de préciser qu'Elisa n'était pas seulement fan de B.A.P... ? =3