Sad End.

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Précédémment :

Il fallait que je sorte de là, c'était un cauchemars. C'est pas possible...

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Avant que je ne parte avec les enfants, Bellamy vient me voir :

- Tu m'évites Princesse ? Me demande-il.

Je recommençais à retaper sur ma jambe avec le stresse, ce qu'il ne remarqua apparemment pas comparé à un certain pilote, à deux pas de lui discutant avec Raven.

- Non, je-je veux seu-seulement ren-rentrer chez mo-moooi et que-que ta soe-sœur a-arrête de me do-donnez des o-ordres...

- Clarke ça va, me demande à nouveau celui-ci tandis que mon nouvel ami arriva à notre hauteur avec Raven.

- Ou-oui, ça-ça-ça va.

- Clarke, inspire, expire, tu te souviens ? Inspire, expire, me dit Miles en arrivant près de moi, Raven sur les talons demandant ce qu'il se passe et Bellamy le regardant en mode mais de quoi tu te mêles ?

- Inspire, expire, le suivais-je tout en exécutant ce qu'il me disais de faire.

Je recommençais plusieurs fois avant de faire ma tête de, qu'es ce que vous avez il ne s'est rien passé du tout. Miles et Raven repartirent, Bellamy me parlait d'Echo, Echo et encore Echo, j'allais très clairement faire une crise, si il continuait à me parler de sa vie sur l'anneau avec elle, c'est à la limites si il me donnait des détails sur sa vie sexuel... Je monte dans la voiture lorsque les enfants sont prêt, surprit :

- Clarke sérieusement, tu vas bien ? Quand t'arrive, tu nous tiens au courant par radio, me dit Bellamy.

- C'est bon ! J'ai pas besoin d'un deuxième père ! crachais-je sans le vouloir.

- Tu sais quoi Clarke, tu abuse ! Je te parle depuis tout à l'heure tu m'écoute pas alors que quand je t'ai retrouvé tu demandé juste à crever et toi tu me crie dessus ! En plus de ça tu m'ignore toute la journée, qu'es ce que j'ai fait ? Je peux savoir ?! S'énerve-t-il

- Tu as qu'à arrêtait de me parler de ta vie sexuel avec cette... cette... avec Echo ! Peut-être que je crierait moins ! M'énervais-je en retour.

- Je te comprends pas Clarke. Hier tu semblait heureuse que je sois de retour et là tu m'évite explique moi !

- Peut-être que si tu passais pas ton temps à bécoter l'autre traîtresse d'Azkeda je t'éviterais pas espèce d'abrutis finit ! Hurlais-je

- Tu sais quoi Clarke, commença-t-il énervé que je parle d'Echo comme ça. Je te sais vivante depuis deux jours même pas et c'est bien la première fois que je me dis que ça aurais été mieux si tu étais morte, me cracha-t-il en colère.

Il me tourna le dos et s'en alla, suite à ses paroles tandis que je dis simplement à Miles qui s'était absenté le temps qu'on discute que j'avais besoin de lui pour faire les visites aux enfants. Les mots tournées dans ma tête. J'essayais tant bien que mal de cacher ma crise, ça parlait à tout va dans ma tête, je m'accaparais à essayer de refouler les larmes qui venait et j'essayais de penser à autres choses.

Avant de partir j'avais déjà mis un point d'honneur sur nos maison avec Octavia, personne n'y va personne n'y touche, en partant de chez moi j'avais même mis une pancarte sur la porte avec écrit Clarke Griffin dessus et avait fait pareille pour l'habitation de mon ami. Raven nous accompagna, elle allait faire la visite avec les enfants et Miles. En arrivant en fin d'après-midi, j'orientai les enfants, Raven et Miles vers l'école où j'avais installé des dortoirs pour qu'ils installent leurs affaire pour après venir manger, les dortoirs ? Je ne sais pas qu'elle raison stupide mon cerveau m'ait parvenu à ce moment là pour que j'en fasse.

Une fois hors de vu, je commençais à courir, courir le plus vite possible avant que mes amis ne se rendent compte de ma disparition, avant que Miles ne se rende compte de ce que je comptais faire. Trois heure plus tard j'étais en haut de la plus grande falaise. J'avais pris mon enregistreur, enfin ma « radio », Miles n'avait pas deviné ce que c'était mais bon, soit. Je faisais une dernière entrée.

- Sa-Salut. Je t'-t'ai retrouvé hi-hier. Respire, Inspire. Ok je recommence, Bellamy, je t'ai retrouvé il y a deux jours, je t'ai supplié de me tuer. Tu ne l'as pas fait mais maintenant tu viens clairement de me dire que tu le regrette. Comme tu devrais le savoir après tout mes enregistrements si j'ai survécut jusque là c'est pour toi et pour personne d'autre, tu me donnais la force... Jusqu'à aujourd'hui. Je ne serais plus jamais un frein pour toi et pour ton avenir, comme je l'ais dit il y a maintenant neuf jours, je vais enfin mettre fin à ma trop longue existence de souffrance. J'attendrais le levé du soleil, ce serait le meilleur moment, magnifique paysage, dans quelques heures la lune sera au plus haut et trois heure après ça vous pourrez tous admirait mon corps tombé de la falaise, le rouge de mon sang se mélangera avec l'eau du lac. Pour la dernière fois de ma vie, je dirais ces mots, je t'aimais, je t'aime et même si tu me hais, je t'aimerais. Je ne dirais pas puissions nous nous retrouvez parce que la dernière chose que tu veux c'est bien me revoir alors je dirais simplement adieu. »

J'éteignais la machine et commençais à chantonner en attendant que la nuit tombe complètement, elle tomba assez rapidement, je commençais à chantonner la même chanson que j'avais chanter lorsque j'avais du tuer l'un des nôtres qui me suppliait de l'achever. Comparé à Bellamy j'avais ce qu'on appel, "les couilles de le faire."

- Arrête de penser à lui, de toute façon il y a plus rien pour toi ici, ta mère te regarde de haut, tes amis t'aime mais ne t'approche pas plus que ça, ils sont passé à autres chose, Miles a Raven pour s'occuper de lui, et Bellamy me déteste. En plus jamais j'aurais put vivre avec Octavia en dictateur, c'est bon, je préfère sautée. Tu as bien raison ! Chut, c'est moi qui parle là. J'espère juste que Raven et Miles n'arrive pas à temps pour m'empêcher de sauter. Ce serait trop bête ! Riais-je de se rire aussi maladif psychologiquement que sadique.

Je battais des pieds dans le vide en rythme en bougeant la tête de loin on aurait put dire que j'avais des énorme problème comportementaux.

- Mais bon, j'allais pas la joué à la yandere non plus ? Quoi que ça pourrait être drôle, riais-je encore, alors que le soleil commençais à se lever et que j'entendais des cris près de moi, des cris qui disaient genre : « Clarke fait pas de conneries »

Je me retournais vers le paysage tandis que les voix se rapprocher, je me levais et me mis au bord de la falaise levant les bras pour faire comme dans un des livres que j'ai lu, le titanic. Dommage qu'il n'y ait pas l'homme de ma vie derrière moi, de toute manière il me déteste. Le paysage était parsemé de reflet orangé, les sapins étaient magnifique, l'eau de la rivière au loin n'avait jamais était aussi calme. Je fermais les yeux pour m'imprimer l'image dans mon esprit. Je recommençais à chanter mais en bien plus fort tandis que les voix étaient bientôt distincte.

Je me retournais vers les trois personnes venant d'arriver de derrière les arbres toujours les bras levé, Monty, Miles et Bellamy. Je souriais une dernière fois à mes amis :

- Clarke s'il te plaît, ne fait pas ça, tente Miles.

- Tu sais très bien ce que je comptais faire avant que votre foutu vaisseaux n'arrive. Au moins je n'aurais pas souffert bien plus que nécessaire. REGARDE OU J'EN SUIS BORDEL ! J'AURAIS DU SAUTER A LA SECONDE OU TU POUVAIS A NOUVEAU MARCHER AVEC TES FOUTU BÉQUILLE ! Criais-je à Miles. ET TOI POURQUOI TU NE M'AS PAS ACHEVÉ QUAND JE TE L'AI DEMANDE, TU REGRETTE DE PAS L'AVOIR FAIT ! BIEN ! JE N'AI PLUS RIEN A PERDRE DEPUIS LONGTEMPS ! TU N'AURA PAS LE LOISIR DE ME TUER BELLAMY MAIS DIT TOI QUE D'UNE CERTAINE MANIÈRE TU L'AURA FAIT EN PRONONÇANT SES MOTS TOUT A L'HEURE ! Et toi Monty... Je suis désolé que tu doives subir ça, tu as été un super ami pour moi depuis le tout début. Je suis désolé.... Soufflais-je.

Je me retournais et faisais le dernier pas qui me séparait de la liberté, je riais comme une folle, ce que je suis en réalité. J'étais libre. Ce que je ne savais pas c'est que Miles avait donner ma lettre d'adieux à Bellamy mais ça maintenant cela n'avait plus d'importance. Je n'ai rien sentis. Je suis morte quelques secondes après avoir été plongé dans l'eau. Au moins j'ai put profiter du paysage. Le froid m'a submergé il me faisait du bien tandis que je voyais tout mon sang s'échapper de mes multiples blessures tandis qu'avant de sombrer, je murmurais : Puissions nous nous retrouvez.

Seule (the100 Bellarke)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant