Katarina elle descendit de sa voiture elle m'embrasse.
Je sentis le sol se dérober sous mes pieds.
- Vania je n'en ai pas fini avec toi...
Sur ceux elle se dirigea vers l'entrée de la piscine.
Je paye rapidement mon entrée avant de filer dans les vestiaires, d'enfiler mon maillot deux pièces en 3 secondes et de partir à la recherche de ma blonde.
J'avais du aller vraiment vite car elle n'était pas encore sortie des vestiaires.
Je m'installe sur un transat en plein soleil afin de bronzer un peu.
Je me met de la crème quand quelqu'un m'interpella.
- Excusez- moi, est ce que se transat est libre?
Je tourna la tête au son de cette voix mélodieuse à mon oreille, pour répondre.
Quand je me rendis compte qui avait posé la question je restai figée.
C'était encore elle, Katarina.
Je revins sur terre.
- Mais tu raconte quoi assis toi ma belle...
Je crois que mon état de choc total l'avait amusée car elle se mit à rire.
Elle prit donc place à côté de moi.
Je sentis d'ici le parfum de sa peau, une odeur sucrée qui excitait mon odorat.
Je n'osais plus bouger, et pourtant j'avais cette terriblement envie de regarder son corps, ou du moins les parties qui n'étaient pas cachées par son bikini.
-Non de dieux Vania, contrôle toi et arrête de penser comme une obsédée me criait mon esprit.
- Comment voulez vous rester calme avec ce qui s'était passé entre nous...
Moi je ne le peux pas...
Je fus couper par sa voix si douce dans les sombres pensées...
- Alors comme ça vous êtes seule?
- De quoi parlait-elle!!!
- Seule là tout de suite???
Où dans ma vie???
Cela dépend de la définition que tu donne au mot seul.
- Je veux dire par là que vous passez votre après midi seule au bord d'une piscine...
- Je ne suis pas seule, tu es là!!!
- C'est juste.
Et la j'enleva mes lunettes de soleil pour la regarder dans les yeux.
Elle me fit un grand sourire qui me fit fondre.
- C'est vrai tu as raison.
C'est alors qu'une idée me vint à l'esprit.
- Désolée, je reviens dans 5 minutes je dois aller au wc.
- Ok vas-y, je t'attends. »
J'espérais qu'elle me dise qu'elle souhaitait y aller aussi, on aurais pu tenter quelque chose.
Tant pis, une prochaine fois.
Je me dépêche d'aller faire ce que j'avais à faire pour la rejoindre au plus vite.
J'ouvris la porte des WC et me retrouva nez à nez avec elle, son bras posé en travers de la porte m'empêchant de sortir.