Le Reveil

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Holly,

Je me réveille d'un sommeil profond, j'ai la gorge et les lèvres sèche, je suppose être dans une chambre d'hôpital à la vue des perfusions collés a mon bras. A côté de ma tête un bipe régulier retentit, laissant une atmosphère lugubre dans la piece. La salle dans la quelle je me trouve n'est constitué que du lit que j'occupe ainsi que d'appareils médicaux et un canapé placé devant moi appart ces objets, je suis seule. Je décide donc de sortir de ce lit pour me risquer à faire quelque pas, j'arrache les perfusions et pose un pied puis l'autre au sol.
    J'ai comme l'impression que mes muscles se sont ramolli lorsque je me relève du lit j'ai le sentiment que la gravité m'écrase de tout son poids, m'obligeant à m'accrocher au mur pour progresser dans mon ascension. Arrivé à la porte je suis épuisée, je pose ma main sur la poignée et pousse la porte.

   Devant moi se présente une multitude de gens, des hommes et des femmes en blouse blanche s'active dans les couloirs. Tous le service est en ébullition, autour de moi je vois des familles et des patients, certains pleures et d'autres rient. Je ne sais pas pourquoi mais je ne me rends compte que maintenant que je ne suis vêtu que d'une simple robe en papier, celle qu'on donne au patient. Je m'avance dans le couloirs et j'arrive a récupéré certaine informations nous somme le 9 juin 2008 et il est 15h00 passé, d'après la pancarte nous somme dans l'aile médical des comateux. Malgré ces informations un trou béant reste ouverts au fond de moi. Avant que je n'ai pu continuer ma réflexion une dame m'arrête les yeux écarquillés.

- Mrs.Lewis, ho mon dieu, vous êtes réveillé ! Il faut que vous retourniez dans votre chambre, je vais appeler le médecin.

- Mrs.Lewis ?

Sans me laisser continuer ma phrase l'infirmière me pousse jusqu'à ma chambre. Une fois dans mon lit, elle s'éclipse aussitôt. Quelque minutes plus tard le présumé médecin d'environ 30 ans entre en trombe dans la chambre suivi d'une orde d'étudiants. Apparemment je suis un beau spécimen. Il commençe à m'examiner sous toute les coutures sans même se présenter, se comportement m'irite.

- Dr. Pourriez-vous faire votre job avec plus de tac s'il vous plaît, je ne suis pas une vulgaire poupée.

Mon ton fut plus cinglant que voulu mais il eu quand même l'effet escompté car le principal concerné se rendent compte de sa bêtise s'éloigna de quelque pas de moi un peu rouge.

- Excusez moi Mrs.Lewis je ne me suis même pas présenté, je suis le dr. Wismon et je suis sous votre charge. Vous êtes dans un état végétatif depuis 3 ans alors votre réveille si soudain ma quelque peu pris au dépourvu.

- Attendez, sa veux dire quoi, je suis dans le coma depuis 3 ans et pourquoi diable m'appeler vous Mrs.Lewis !

Ho, non soudain dans mon esprit une lumière s'allume l'évidence même, j'ai perdu la mémoire. Je ne me rappelle de rien, ni mon nom, ni mon prénom et ni mon âge.

- Mrs. Je sais que c'est choquant mais c'est la réalité vous avez été retrouvé, dans cette état à quelques mètres de votre lycée. À l'époque vous aviez 14 ans..

- Donc j'ai 18 ans, dr.Wismon je ne me souviens plus, de rien, avant mon réveille tout est sombre dans ma tête, il n'y a rien.

  Ma déclaration reste suspendu dans l'air quelques minutes qui paraissent duré une éternité. Je me décide dons a briser ce silence devenu trop pesant.

- J'avais de la famille ?

- Oui, et vous en avez toujours, un père et deux frères mais je crois qu'il n'y ai un léger problème à leur sujet.

- Lequel ?

- He, bien voyez-vous les chances que vous aviez de vous réveillez était tellement fine que nous avons proposé a votre famille de données vos oranges pour aider d'autres enfants et votre père a accepté. L'opération devait avoir lieu la semaine prochaine, et je crois que le père a déjà annoncé la nouvelle à vos frère.

- Quoi ! Si je comprends bien la famille dont je n'ai plus aucun souvenir a tiré un trait sur moi et donc je n'ai plus nul par ou aller.

- Oui et non, vous êtes majeur alors rien ne vous empêche de quittez l'hôpital et de tourner une page sur votre ancienne vie et pour ce qui est du logement l'hôpital s'en occupe. Maintenant je pense que vous devriez vous reposer.

    Sur ces mots le médecin parti me laissent seul avec mes interrogations. Dans me tête je fais le point, d'un côté les choses que j'ai oublié et de l'autre se don je me rappelle encore. Je n'ai plus nom, prénom, famille, amie. Tout se qui touche à ma vie sociale a disparu. Mais je me rappelle encore très bien comment faire des mathématiques ou alors lire et écrire.
  Une chose attire mon attention, je n'ai aucun mal a déchiffrer les informations noté sur la machine qui est directement relié à mon corps et je suis quasiment sûr qu'on apprend pas cela au lycée, peut-être que j'ai suivi un cursus différents il y a trois ans. Après trois heures de réflexion intensive, je m'endors exténuée.

Mon deuxième refletsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant