Chapitre 1 : Le début de la fin

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Voila je vais commencer l'histoire de notre résistance à partir de notre retour de la station alliée Rijskaya. Nous revenions de cette station sans Artyom mon amis d'enfance qui avait disparut durant la première nuit avec un certains Bourbon. Il m'avait dit qu'un certains Hunter lui avait dit d'aller à Polis pour dire à quelqu'un pour sauver le métro, oui j'ai pas écouter tout ce qui m'a dit dans le wagon avant que l'on arrive dans cette station.

Le commandant de la station Soukhoï qui est aussi le père adoptif d'Artyom nous avait rassemblé à notre retour avant même que l'on ait eu le temps d'aller se reposer dans notre. Du moins je voulait surtout aller retrouver ma sœur et ma mère.

Cependant l'air grave du commandant nous dit qu'il y avait un gros problème. Il nous dit :

- Soldats je ne vais pas vous mentir on est vraiment dans la merde jusqu'au cou.

On se regardaient entre nous et certains se chuchotèrent quelques chose l'air étonné et inquiet :

- Taisez vous on a vraiment pas de temps à perdre putain. Les noir arrivent en groupes de plus en plus gros et ils arrivent de plus en plus souvent. Je doit vous dire que je m'excuse mais allez devoir aller tout de suite dans l'avant poste vers la sortie du métro. Vous dormirez la bas.

Je le regardait avec des yeux écarquillés, nous il ne pouvait pas nous demandé cela.

- Non monsieur s'il vous plait pas la bas ces bêtes sont horribles elles vous terrorises et vous détruit de intérieure s'i...

- Je ne vous ai pas demandé votre avis mais c'était un ordre! on est dans la merde jusqu'au bout vous devez aller replacé les soldats qui sont actuellement au poste ils y sont depuis que vous êtes parti chez nos alliés. DONC MAINTENANT EXECUTION !

- Laisser moi au moins revoir ma famille s'il vous plait ! supplia mon camarade Boloïskov

- Tu m'as pas entendu j'ai dit non vous allez au poste directement !!! lui répliqua notre supérieur

- Pourquoi vous vous n'y allez pas monsieur ! lui demandât son subordonné

- Boloïskov vous resterez au front durant une semaine au lieu de trois jours et moi si je ne vais pas au front c'est parce que j'ai une station à gérer !!! Le prochain qui ne rejoint pas l'avant poste tout de suite il restera au front durant deux mois.

Étrangement après cette menace tous le monde s'exécuta et on traversa la station en seulement dix minutes.

Seulement lorsque l'on vit les soldats que l'on devait remplacer faillit les fusiller en croyant que c'était des zombies. Vraiment même lorsque on ne dort pas durant pas durant trois jours on ne devient pas ainsi, personne ne devient comme cela. Les yeux enfoncés dans leurs orbites, extrêmement maigres et des énormes cernes sous les yeux mais le pire c'était les estropiés ceux couvert de bandages et/ou de sang.

Quand se fut rapproché d'eux ils ne nous adressèrent même pas la parole et partir vers la station pour se ressourcer et se remettre en forme s'y jamais il était possible de revenir à son état normal après avoir atteins ce niveau de destruction physique et je pense mental.

On s'approchât de l'avant poste horrifié. On savait que les noirs augmentaient les effets de la peur mais ils ne faisait pas tout. Quand on arrivât beaucoup (tous le monde) fit un mouvement de recule et je faillit mourir d'une crise cardiaque lorsque une main m'agrippa l'épaule.

- HIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! (cris ultra virile de ma part)

- Excusez moi je ne voulais pas vous faire peur. Je suis sensé vous faire visiter l'avant poste mais s'il vous plait laisser moi retourner à la station, chez moi, je ne veut plus resté dans cet enfer. S'il vous plait si s'il vous plait. finit de dire le zombie chargé de l'escouade en poste de la défense de cet avant poste.

- Oui oui allez y je connait déjà cet endroit je suis déjà venu avec Artyom.

- Merci beaucoup, merci de tout mon cœur. Et bonne chance.

Tout ce que je voulais c'était le voir disparaître. L'avant poste était couvert de sang, de cadavres et de membres arrachés au cadavres bientôt rejoins par le vomi de mes camarades. en effet c'était horrible mais le pire c'était que l'on voyait que des centaines de soldats étaient morts et que il n'y avait seulement que quelque dizaines de soldats revenue. Seulement nous n'étions que bah 8 soldats dont certains n'avait pas d'entrainement et d'autre ne s'était jamais servi d'une arme. Nous commencions à nous pisser dessus (littéralement) et ne voyons pas comment nous sortir de cette impasse.

Métro : L'histoire d'un amiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant