Chapitre 5 : Division

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Pourquoi ce satané ordre était arrivé ? Ceux du haut commandement de la station n'avait donc réellement rien dans le crane ou tenaient-ils vraiment à briser notre morale avec leurs ordre stupide ? Même moi un officier je n'avais pas le droit de quitter le front sous peine d'être suspecté de désertion.

Ayant ordonné à mes hommes de reconstruire ce qui avait été détruit je m'égosillait cependant à la radio pour essayer d'obtenir au moins le droit de voir leur famille à mes homme. Cependant à l'autre bout de la console on ne prenait même pas le temps de me répondre.

Finalement je ne put éviter une situation de crise et chaque n'était d'accord avec personne et chaque un voulut faire sa loi à sa manière et l'anarchie et allait continuer de régner tant que ces ordres la ne serait pas lever et tant que personnes ne pourrait revoir sa famille.

Mes hommes m'appréciaient d'habitude et ne contredisaient jamais un de mes ordres  même s'il ne leurs plaisait pas. Cependant jusqu'à l'accident personne n'écouta plus aucun de mes ordres à part ceux comme : "Dépêcher vous de venir manger" ou ce genre de chose.

Il n'y eu bientôt plus que Nickolaïs pour m'écouter et un jours ayant marre de tous ce merdier de cette anarchies qui rythmait la vie du front entre les rébellion, les shot de vodka, les repas, les morts, les dépressions, les morts, la tristesse, les noirs, les suicides, les morts, les nouveaux renforts, les blessés, le silence, les morts, les ravitaillement, de la radio et en fin la morts je me pointait tout de même au quartier général malgré les restrictions qui me touchait. 

Un matin je dis à Nickolaïs de garder le front pendant mon absences cela faisait trois mois que je non nous vivions ceci et non étions au bout.

Quand j'entrais dans la cellule de crise du quartier général Soukhoï me vit et s'exclama :

- "Jeniya que fais tu ici ?

- Je viens ici car il me faut des réponses on ne peut pas continuer ainsi et on ne me répond même pas à la radio donc je voudrais que l'on me dise ce qui se passe putain.

- Ok calme toi ! Nous avons un plan et nous allions te l'annoncer. Tous d'abord tu dois savoir que dans environ deux mois car nous allons faire sauter le tunnel comme ça les noirs ne pourront plus venir par la.

- Bien mais autorisé mes hommes à retourner voir leurs familles car il ne m'écoute plus.

- Nous ne pouvons pas l'autorisé car le retour au front serait beaucoup trop difficile. Mais si chaque soldat fait le serment de revenir au combat alors nous pourront peut être vous l'autorisé.

- Bien je vous remercie."

Sur ces mots je partis annoncer la bonne nouvelle à mes camarades et arriva tout heureux l'annoncer à Nickolaïs et partis l'annoncer à mes hommes. Seulement une main se posa sur mon épaule gauche, c'était Nickolaïs. Je me tournais vers lui avec un air interrogatif :

- "Jeniya attend il y a un problème.

- Pourquoi qu'est ce qu'il se passe ?

- Tu ne peut pas annoncer ceci aux hommes car personnes n'a de famille ici car tous les soldats d'origines de VDNKh ils sont tous morts ou déjà avec leurs famille car il sont blessés. Il ne reste plus que toi qui es encore capable de te battre.

- Donc tu me dis que la seule chose que j'ai réussit avec le haut commandement est inutile ?

- Oui !" dit il l'air navré

A ce moment moment la je m'écroulait car je ne put plus supporter ce qui m'arrivait je faisait des efforts et rien de positif ne m'arrivait et je pétait un câble littéralement. Nickolaïs me rattrapa avant que je tombe à terre. Il me ramenait dans ma couchette car sa faisait onze jours que je n'avait pas dormi et je devait enfin me reposer pendant que Nickolaïs gardait le camps. 

Je n'eu pas le temps de dormir longtemps car un énorme vacarme se fit entendre.

Métro : L'histoire d'un amiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant