Chapitre 7 : Ho putain

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Nous y voici donc, la bataille finale arrivait. Nous savions qu'à la fin de cette bataille un seul camp en sortira victorieux et l'autre sera réduit à néant.

J'avais ce sentiment de confiance en mes camarades qui j'en étais sûr allait nous porter jusqu'à la victoire.

Pendant que nous combattions et que nous nous défendions tant bien que mal je montais sur ce qui restait de la cabane des officiers et m'écriat face à mes soldats et dos à l'ennemi :

- "Camarades ne me regarder plus comme un supérieur mais comme un soldat comme les autres. Cependant j'ai quelques choses à vous dire la fin de cette bataille sera au maximum dans un peu plus d'un mois car soi à cette date la le tunnel serat écroulé soi le métro perdra toute les formes des vies humaines en son cœur.

N'oubliez jamais que j'étais, je suis et serai heureux d'avoir combattu à vos côtés durant tous ce temps.

Déchargez toutes vos munitions contre l'ennemi, une fois les munitions utilisées, attaquez avec les crosses de vos armes, une fois les crosses détruites, lacérez les ennemis grâce à vos couteaux, une fois les lames émoussées, utilisées vos poings et c'est seulement une fois vos poings cassés que vous pourrez vos déclaré vaincu."

Une fois mon discours fait je retournais au combat sauf que cette fois tous mes alliés mes alliés étaient réellement avec moi et vous ne pouvez pas savoir à quel point ça fait du bien de se savoir supporter.

Pour une fois j'avais confiance en nous alors que nous étions clairement dans la merde.

Nous rampions dans la boue et le sang comme pour se camoufler et nous apparaissons dans le dos de nos ennemis pour les égorger avant de redisparaitre dans le sol.

C'est comme si le métro nous bénissait et voulais que l'on gagne car à partir du moment où l'on utilisait cette technique nous avons eu moins de perte et de fatigue que normalement.

De plus la détermination qui se voyait sûrement dans nos yeux aurait sûrement suffit à effrayer l'homme le plus intrépide du monde.

Cependant ces créatures n'était pas humaines et était aveugles se qui empêchait sûrement de voir cette lueur dans nos yeux.

Soudain j'entendis un accent allemand ultra péjoratif :

- "Kamarade nos amis on besoin d'aide et étrangement nous allons les aider aujourd'hui pour purger les races inférieures et les mutants de notre métro."

Ce n'était pas possible je rêvais, nos derniers alliés qui allait arrivé n'était pas de la Hanse mais du Quatrième Reich.

Eh bien non et en plus à côté il y avait les communistes. Promis demain j'arrête la vodka.

Sachïov était debout face à nos alliés et comptais quelques choses. J'allais m'approcher de lui quand il s'avança vers moi et me dit :

- "Les fachos et les cocos sont côte à côte et ne se sont pas tiré dessus depuis plus d'une minute. C'est incroyable comme quoi la guerre rapproche vraiment les gens."

- "Retournez au combat soldats ça n'est que le début de la bataille."

- "Bien monsieur. Espérons que des fanatiques arriverons et on pourrait bien ce marrer."

J'aimais bien Sachïov c'était un chouette type, assez marrant et fidèle. C'est le genre de soldats qui manque en ce moment (niveau humour) cependant c'est celui qui recharge et réarmes ma mitrailleuse donc il pourrait se bouger le cul on a des noirs à exploser.

Les fachos furent d'une frappe d'attaque très grande grâce à une très bonne tactique. Les rouges on va dire que c'était des soldats pas forcément important en combat car il n'avait aucune stratégies et se battait avec des armes eco+.

Cependant maintenant nous étions 500 soldats à rampé dans la boue et moi qui étais passionné d'histoire surtout de la première et seconde guerre mondiale fut comblé en vivant la vie d'un poilu pendant plus d'un mois.

- Un poilus de l'extrême qui se battait avec des armes du 21 ème siècle, qui se bat contre des créatures humanoïdes mutantes dans le métro de Moscou. me dit Sachïov qui lui aussi était passionné d'histoire.

Cependant durant notre reprise de territoire nous n'avions pas vu que nous avions avancer jusqu'à l'avant poste original, celui que nous avions perdu le premier jour de combat contre les noir.

Le problème c'est que les noirs on mené une plus grosse attaque et qu'il nous rétamer et fait reculer jusqu'à l'avant poste que j'avais toujours défendu.

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Petit message de fin de chapitre pour dire que les quatrième Reich n'est pas une de mes invention et qu'il existe réellement dans le roman.

Dans le roman aussi il cherche à exterminer les étrangers (gens de couleur), les mutants et les communistes.

Allez plus mes petits flans. 🍮🍮🍮

Métro : L'histoire d'un amiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant