Chapitre 8 : Contre attaque

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Voici que cela faisait à peine 10 minutes que nous avions avancer de cents cinquante mètres de trop en avant. Cependant cette avancé allait nous mener à notre perte. Car à partir de ce moment la les noirs nous pris par revers.

En effet beaucoup d'entre eux c'était camoufler sur les mur et nous avais laisser passer pour mieux pour nous attaquer par derrière. Nous avons du nous défendre sur deux front et essayer de battre en retraite pour pouvoir rejoindre les soldats laisser en arrière.

De plus c'était la première fois que les noirs faisait preuve d'une véritable stratégie et qu'il se déchaînaient vraiment sur nous comme si on avait tué toute leurs famille... ce qui était peut être vrai vu que l'on avait tuer des milliers de noirs durant ces 5 mois.

Un noirs me sauta à la gorge mais je n'arrive pas à interrompre son geste et je vit la fin de ma vit arriver plus vite que prévue avant que je vit la tête de mon adversaire exploser.

Un de nos sniper venait de me sauver la vie et c'est à ce moment la que je me rendait compte de l'inquiétante précision de nos sniper. Mais aussi que nos avions réussit à revenir à notre point de départ.

Nous passions le mur de mitrailleuses qui réussit à nous débarrasser des noirs qui nous entourait et nous sauvait la vie mais la peur provoquer par les noirs augmentait énormément comme ci elle augmentait avec le niveau d'énervement des noirs.

Cette peur vit des ravages parmi nous certains ce suicidèrent, d'autre eurent des visions et tirèrent sur nos alliés car ils croyaient que c'était ces sales mutants maléfiques. On voyait que ces créatures de malheurs était près à tout pour gagner.

C'est aussi à ce moment la que l'on se rendait compte qu'il n'y avait plus de rats dans le tunnel ce qui n'ai pas du tout un bon présage. Car comme tout le monde le sait  les rats étais, sont et seront toujours présent, mais la ils avaient tous disparut et cela était très inquiétant car rien ne pouvait empêchés les rats d'envahir les tunnels et les stations. La mère d'Artyom était d'ailleurs morte à cause de ces choses. 

L'absence de ces parasites n'était donc vraiment pas rassurante car cela voulait dire que le danger devenait de plus en plus grand.

Nous avons survécu dans la boue, le sang, dormions avec les cadavres et finalement nous nous rendions compte que c'est nous qui revenait à l'état de rats et s'il n'y en avait plus c'est parce que nous les avions remplacés.

Nous étions terrifiés par la mort, on avait encore des munitions par miracles mais nous les gaspillions en tirant comme des dératés car la peur fait faire des choses horribles.

J'ai vu mes hommes se suicidés, s'entre tuer, mourir, être déchiquetés, écarteler mais j'en ai vu d'autres se rassemblés, combattre leurs peurs, et j'en ai vu d'autres sortir de leurs zones de conforts. Soukhoï vint même sur le front et commença à se battre à nos côtés et il était étrangement positif . 

Il était étrangement performant au combat et commandait beaucoup mieux que moi, lui savait ce qu'il faisait.

- Soldats on arrête de rêvasser et on va au poste de mitrailleuse et vite Dimtry est tombé et l'artilleur suivant est vous Jeniya. Et on se magne les noirs on abattu nos renforts de la Hanse avant même qu'il eut le temps d'arriver.

La suite vous la connaissez.

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Voilà le prochain chapitre sera la fin mais il ne sera pas très long car j'ai un peu trop avancé dans celui ci mais je trouvait que finir ce chapitre ici faisait bien.

Je pourrais peut-être publier le dernier chapitre tout de suite à la fin de celui ci et sinon ce sera cet après midi en tout cas se sera aujourd'hui.

Aller je vais dessiné le média de ce chapitre et me mettre à écrire le chapitre suivant.

Donc gros bisous mes petits flans. 🍮🍮🍮

Métro : L'histoire d'un amiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant