Chapitre 3 : Enfin

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Nous avons rapidement mis en place des quartiers à l'arrière pour les nouveaux arrivants donc le problème de la surpopulation.

Nous avions reçemment trouver un stock de traverse dans un local de stockage non loins de VDNKh et nous nous en étions donc servis de matériaux de construction.

Notre petit avant poste ressemblait maintenant à une forteresse imprenable toute neuve. Le mur qui se présentait au noirs était hérissé de canon de mitrailleuses et de fils barbelés.

Nous étions le soir du deuxième jour que nous passions au front et tout le monde était enfin heureux.

Aucun noir n'était venu et notre éclaireur n'était même plus envoyer en avant.

Les noirs nous laissaient étrangement faire. Seulement pourquoi nous laissait t'il faire ? Cette question me posait question et des doutes apparurent à l'horizon.

Un sentiment de bien-être s'est insinuer en nous et nous avons baissé notre garder et je pense que c'est la même chose que de tourner à l'ennemi.

Nous avons entendu des cris, des cris facilement reconnaissable car ceux ci vous vous glaçait la sang et faisait disparaître tout sentiment agréable et vous les échangeaient contre des sentiments horrible.

Sauf que là il n'y avait pas une dizaine de cris comme d'habitude mais on aurait dit des milliers des cris à l'unisson.

Nous c'est à l'unisson que nous nous sommes lever et que nous sommes allés à nos postes de combat.

Sauf moi qui me précipitait sur la radio afin de prévenir le haut commandement et comme personne ne m'a répondu je suis retourné avec mes soldats.

Du moins ce qu'il en restait...

C'était incroyable les noirs n'avais pas d'armes à distances à pars la peur et ne courais jamais même sous le feu ennemis et ne se mettaient jamais à couvert.

C'est sans doute cela qui nous effrayait tant.

Mon appel n'avais pas duré plus de cinq minutes mais les noirs débordaient de tous les côtés, ils étaient des centaines et parraissaient plus menaçant que jamais.

On avait aucun échappatoire, on se sentait oprimé enfermé et on se rendait presque heureux aux noirs afin qu'ils nous achève. On se rendait compte que l'on avait jamais été aussi seul de toute notre vie malgré la présence de dizaines de camarades à nos côtés.

J'avais entendu dire que les noirs manipulait le mental des gens et que c'était la pire de leurs armes. Je ne l'ai jamais cru croyais que c'était leurs forces surhumaines leur meilleur arme. Seulement les rumeurs avaient raison la manipulation mentale était leur meilleur arme.

Il y a une chose qui ce jour la ma sauvé et c'était mon second Boloïskov qui était à terre les deux bras arraché et qui criait à s'en arraché les poumons.

Seulement en y regardant de plus près je vis que la majorité des blessés avait ces blessures.

À ce moment un élan de haine me submergea et je voulu tuer toute ces créatures qui se nourrissait des la douleur des hommes.

C'est à ce moment là que je suis monté sur une cabane fraichement construite et que au milieu de notre défaite et de notre repli je cria :

- SPARTANS QUEL EST VOTRE MÉTIER ??!!!!?? dis je en levant ma Kalash.

Je descendis de ma cabane et contre toute attente mes camarades arrêtèrent de reculer et essayèrent de stopper l'avancer des noirs.

Les snipers que j'avais placé à l'arrière sous les conseils de Nickolaïs nous furent d'une aide précieuse. Mes troupes après avoir stagné sur place ne firent que avancer au milieu des cabanes et tente qui avait pris feu seulement nous avions repris confiance en nous et nos camarades.

Un seul sentiment nous animait le sentiment de vengeance car nous voulions nous venger de tout ce que les noirs nous avaient fait au par avant. Les noirs perdirent de plus en plus de terrain et nous reprimes nos positions de défense initiales.

Je m'agenouilla auprès de Boloïskov et lui dit :

- Aller tiens bon les autres pourront résister sans moi je t'emmène voir ta famille. Tu n'as pas la revoir depuis ton départ de VDNKh.

- Vous n'êtes pas sérieux monsieur quand même ? Vous n'allez pas laisser les autres seul ils ont besoin d'un leader vous l'avez bien vu tout à l'heure ! Donc dites juste à ma famille que je les aime ! Aïe !

Je venais de le lâcher et il était tombé sur le sol :

- Non mais t'es relou en même temps tu me sors une vielle réplique de films ! Putain bah à cause de ça je vais te laisser crever seul. lui dis je énervé avant de partir rejoindre les autres.

Boloïskov pensa : "NON MAIS IL EST SÉRIEUX DE M'ACCUSER DE SORTIR UNE VIELLE RÉPLIQUE DE FILM !"

Il ne savait pas ce qui allait lui arrivé ensuite tout ce qu'il savait c'est qu'il n'allait sûrement pas survivre et ne voulait de toute façon pas survivre car un homme qui ne peut plus travailler dans le métro est un homme abandonné des siens et donc bientôt mort.

Un autre chose le gênait, c'était qu'il ne pouvait plus écrire son testament et qu'il ne pourrait pas l'écrire dans cet état.

Enfin il avait affronter pire et n'avais pas peur de la mort.

Métro : L'histoire d'un amiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant