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Sayez je reprends ce qui me fait vivre.
Mon âme me fait vibrer de tout mon corps.
Je repose mes mains sur ces touches, je tape, tape et tape. Encore. Et encore.
La sensation bizarre qui coule dans mes veines, le sang rapide et vif.
L'encre qui se pose sur le papier à en croire que c'est la seule chose qui compte.
Et puis ce geste ni trop parfait, ni trop nul. Il est là.
J'ai fuis mon coeur, celui qui m'appeler. Il hurlait de tous ces battements. J'ai entendu chaque souffles qui s'envolaient dans le vent. Mes sentiments tels la liberté et la pureté étaient le sens de mon existence.
Le vide et les larmes de mon regard sont aussi mes armes. Mes armes contre la guerre et l'insouciance de mon être.
J'ai ni chance, ni volonté. Mais juste des rêves à m'en créer un monde.
Je suis le papillon de mon imagination et la rose de ma vie.
Je suis les épines de mes douleurs, le mur de ma souffrance et la glace de chacune de mes fissures.
J'ai essayé d'être ce ruby, mais je suis qu'une simple fille banale.
Loin d'être une princesse et une jolie fille.
Je suis celle qu'on voit plus ou qu'on croit différente. Mes yeux se troublent, je vois flou, de mon corps fébrile et de mes mains tremblantes j'ai attrapé courage et espoir.
Tu sais, l'évidence d'puis le début c'est juste ma façon d'aimer.

Textes à la va viteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant