4eme personnage

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-Pardonnez moi mon père,car j'ai peché. Mais avant de vous laisser me sermonner, comment aurais je pu resister, ne pas succomber. Il est beau à damner une sainte, il a des oreilles pour m'écouter moi, des yeux pour me regarder moi, des lèvres, ô combien magnifiques, pulpeuses et douces, avec lesquelles, il me dit des choses que j'avais besoin d'entendre.  Il m'embrasse comme si j'étais la première fille qui lui inspirait tant de souplesse et de tendresse avec une forte nuance de passion. Et lorsqu'il descendis pour marquer son territoire sur mon cou, sa bouche oh mon Dieu! Je me mord la lèvre rien qu'à y penser. Je me suis dit, juste un tout ptit peu, rien qu'un peu plus, ses caresses me font tellement de bien que je vais m'accorder ce ptit instant de bonheur, où ses mains quittent ma taille pour retracer les formes sauvages indomptées de mes fesses. Il les presse et d'une autre main, il entreprend sans me laisser prendre mon souffle, de pétrir tendrement les seins qui se gonflent et durcissent de la pointe au simple toucher de ses doigts qui comme pour effleurer mes sens, les agacer, se font doux, et usent du bout de leurs ongles pour me rendre folle.
Il  m'enleva mon t-shirt! Juste encore un peu, et je lui dit de tout arrêter,juste le temps qu'il dégraffe mon soutien gorge et prenne à pleine bouche mes petits fruits de séduction érigés comme des baionnettes. Il les dégusta mon père, et le monde sembla perdre tout d'un coup toute sa cruauté. Je gémis, ronronnai. Sa main, passa sous ma jupe et je me résolus à le laisser s'aventurer plus loin, juste un peu plus loin, le temps qu'il découvrit ma mouille et après quelle genre de femme forte je serai, quand je lui dirai non,je suis prude, pas facile et...sans enlever la culotte, il toucha cet endroit hmmm... ce qu'auquel aucune fille ne peut resister,mais moi je resisterai. Ah la tête qu'il fera quand je lui dirai stop. Juste encore un peu, j'attends maintenant le moment propice. Mais il eut raison de moi, me souleva comme une feuille me porta sur son lit sur lequel je me retrouvai assise les deux pieds grands ouverts, sans me laisser le temps de parler, m'arracha la dernière barrière qui l'empêchait de se retrouver nez à nez avec celle qui dégoulinait déja, ma chatte! Il passa la langue sur ma cuisse, patiemment. Il caressa les endroits les plus proches de l'endroit où j'avais envie de sa bouche, mais faisait comme s'il attendait mon feu vert, il attendait que je lui crie de m'embrasser là, tout en bas. Mais je suis une femme forte, il va falloir que je me taise, en plus je vais lui demander de s'arrêter.   Pourtant je pris sa tête entre mes deux mains et la plaça directement là où il devait être depuis longtemps. Ah le coquin! Je le sentis sourire entre deux trois coup de langue, auquels je répondis par des gémissements, l'encourageant à faire plus. Et lorsqu'il introduisit un doigt, je me rendis compte que je voulais tellement plus! Adieu fille forte, prude et pas facile... c'était à mon tour de le faire vivre un doux calvaire... Je le repoussai et tentai de défaire son pantalon mais,il eut le toupet de refuser. Il se leva et me dit malgré son érection : " Rabilles toi". Que? Quoi? Je reçus, en pleine face, un seau d'eau bien frais. Non pas question qu'il m' ait ainsi allumée et s'en tirer sans rien faire. En une seconde,je me demandai s'il n'avait pas lu dans mes pensées. Impossible. Je me levai,me retournai pour qu'il ne voie pas mes seins. Puis délivrance, il me plaqua la tête contre le lit, d'instinc je remontai une jambe, me servis de l'autre comme appui sur le sol, les minutes qui allaient suivre, s'anonçaient sauvages. Il ricana, et sans merci me pénétra, sec sans aucun ménagement, une main sur un le sein gauche, l'autre sur mon bassin. Il pris quelques secondes, histoire de  m'habituer à son membre, et entrepris de me dompter sans douceur, mais avec rage. Tout ce dont j'avais envie. Je criai, gémis beuglai, suppliai qu'il ne s'arrête surtout pas et le moment de jouir...je senti une main fine se refermer fermement sur mon bras. Ma petite soeur de 12ans, était en train de me secouer. Frustrée,je me rendis compte que j'étais dans notre chambre, sur mon lit, la main dans le vagin, à moitié nue sous les draps...
-Tu, tu vas bien Joe? Demanda t-elle. Tu viens de faire des bruits bizarres...
- Oui, oui ça va,retourne te coucher.
- Tu en es sure? Tu veux pas un verre d'eau?
- Non ça va, bonne nuit!
Et restai toute seule dans le noir, mouillée, n'ayant meme pas le courage de soulager cette envie qui me tenaille le bassin. Je vais essayer de redormir, histoire de retrouver ce bel homme qui vient de me mettre dans tous mes états. Je le connais bien cet homme. Il n'est autre que ce nouveau en beaux arts qui n'arrête pas de me fixer sur la cour du campus. Il s'appelle Phillipe et il est beau du genre Will Smith en plus jeune mais avec la peau chocolatée ensuite, il est beaucoup plus musclé. A peine une semaine à l'université et je trouve déjà un garçon qui me fait chavirer la tête. Je dois l'oublier et me concentrer sur mes études et mon ptit ami, Myrtho. Le meilleur du monde. C'est lui qui m'aide avec mes études depuis la classe de seconde. Ma tante Josie, avec qui je vis après la mort de mes parents est celle qui s'occupe de ma soeur Anne- Martine et de moi. Elle sait pour Myrtho,et c'est lui qui a proposé son aide. Que ma tante a bien sur accepté avec joie. Myrtho est un amour il est le seul à ne pas m'appeler Joe comme tout le monde le fait, mon vrai nom est Joetie, lui il préfère Thie. Depuis qu'il a décidé de me payer toutes mes études, il travaille dans un boulanger à la rue 8 et a abandonné l'école étant lui aussi un orphelin qui vit au jour le jour, à la sueur de son front. Il est gentil, mignon et me respecte. Mais depuis quelques temps je pense que mon amour pour lui diminue. J'ai peur de ce qui pourrait se passer.

Putes... ou pas!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant