Il avait suffi d'un coup de fil pour tout remettre en question.
PDV Louis :
Harry m'avait réveillé de la plus parfaite des façons. Il commençait par m'embrasser pour me réveiller et progressivement avait descendu son exploration jusque sous la couette. On ne pouvait pas mieux rêver pour débuter un Week-end. Charles devait être prêt pour sa rencontre, mon bébé jouait la finale. Un élan de fierté me traversa alors que je m'occupais des biberons pour mes bébés. Je remplis celui aux motifs de lions pour Ju' et celui aux motifs éléphants pour Cha'.
Alors que j'entendais les rires de mes amours à l'étage, une sonnerie de téléphone retentit. Ce n'était ni le mien ni celui d'Hazz, cela venait de la caisse dans laquelle nous avions mis les téléphones des garçons lorsqu'ils sont à la maison. J'attrapai la caisse mis en hauteur et pris celui qui sonnait.
- Allô ? demandais-je. Je n'avais même pas regardé qui était le correspondant.
- Julien ? C'était une voix de femme.
- Non, je suis Louis Tomlinson, Julien est chez moi quelque temps. A qui ai-je l'honneur ?
- Oh oui, excusais-moi, je ne vous avais pas reconnus. Eumh je suis sa mère, c'était pour le prévenir que j'étais sorti et... enfin si il était d'accord pour que je vienne le voir après le match de Charles.
- Ah oui Mme.Martin c'est ça ! Et bien écoutez je n'y vois pas d'inconvénients. On devrait être rentré pour le goûter, le match n'étant qu'à 14 heures.
- Parfait... je voulais vous remercier vous et votre mari pour avoir aidés Julien alors que tout partez en vrille dans sa vie.
- C'est vraiment rien, j'étais affreusement gêné par ces remerciements. Tout le plaisir est pour moi je vous assure.
- Ne lui dit pas je m'en chargerais tout à l'heure, mais... je... enfin, je dois lui avouer une chose... de terrible et... je voudrais vraiment être sûr que quelqu'un sera là pour lui. Je ne pourrais plus le regarder après ça alors... mon dieu, j'entendis ces pleures et mon angoisse commença à se faire de plus en plus vive, je sais... je sais que ce genre de demande ne se fait absolument pas au téléphone mais... j'aimerais vraiment que vous preniez Julien à charge. Je veux dire, de façon permanente. J'ai les papiers pour cela, pour me déchoir de mes droits parentaux et de vous laisser les rênes pour savoir ce qui est le mieux pour lui. Vous en savez plus sur lui que moi en 16 ans alors, quand je vous demanderais de signer, ces foutus papiers... promettez-moi d'accepter.
Face à sa douleur et ces pleurs, je ne pouvais retenir mes larmes. Je ne savais pas encore de quoi il en retournait, mais j'étais sûr d'une chose, jamais je n'abandonnerais mon bébé alors qu'il sera sans doute en train de vivre la pire partie de sa vie.
- Je vais en parler mon mari avant, mais je peux vous assurer d'une chose, jamais, au grand jamais nous ne l'abandonneront alors qu'il aura le plus besoin de nous et... de notre amour.
- Je vous remercie Mr.Tomlinson, à tout à l'heure, et sur ces paroles, elle raccrocha.
Je me soutiens grâce au plan de travail, mes larmes ne semblaient pas vouloir cesser de couler. Pourtant, les pas dans l'escalier me forcèrent à les essuyer et à coller mon plus beau sourire. Je vis bien à la tête de tout le monde que je n'avais pas réussi à les convaincre.
- Tout va bien amour ? Forcément, que mon super mari allait s'inquiéter.
- Rien ne vous en faites pas, ma mère vient de m'appeler pour me dire que mon père lui avait encore fait de la peine en ne venant pas à leur anniversaire de mariage, la savoir mal m'as un peu retourner. Je fis un pauvre sourire et je savais que grâce à mes paroles Harry avait comprit que je lui raconterais tout plus tard. L'anniversaire de mariage de mes parents étant passé depuis deux mois.
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Une Nouvelle Famille Bien Particulière
Ficción GeneralJulien et Charles sont meilleurs amis depuis le bac à sable, tous les deux de nature très anxieuse, ils foirent de plus en plus leur année de seconde, inquiet de cette situation leur proviseur leur propose un arrangement qui leur promet bien des sur...