chapitre 5

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Bah si, c’était lui. Mamadou. Celui qui voulait me violer chez Aïssatou. En plus comment shui conne d’avoir pas fermé ma porte à clé, à double tour même.
Moi : Qu’est-ce que tu veux Lahr *En criant*
(Mes larmes, c’est comme la mer bordel, ça fait que couler). Tonton pardon faut partir......*En pleurant toutes les larmes de mon corps*
Il entra en fermant la porte et dit :
Mamadou : Je viens achever ce que j’avais commencé sale pute. Dit-il avec un flingue à la main et en chuchotant
A ce moment précis, il se saisit de mon bras puis me tira contre lui. Ce qui est bizarre est que j’ai beau crié mais personne ne m’entendais, l’impression que la maison était vide.
Lui : La ferme ! Sale renoie ! Tu as gâché ma vie à cause de ton joli cul.
Moi :....
Lui : Ma femme m’a foutu dehors, j’ai perdu mon boulot, ma réputation tu l’as foutu en l’air et toi égoïste comme t’es tu ne veux pas me laisser gouter.
Moi :....
Lui : Alors là ma fille t’est tombée sur Mamadou.  Okey maintenant on a trop parlé tu choisis. Je le fais avant ou après t’avoir buté ?
Moi : Monsieur, s’il plait pahhdon je vais partir loin je ne vais plus jamais revenir je vous le jure vie de ma mère
Lui : Okey okey okey c’est bon je te laisse la vie sauve à condition de me marier avec toi
Une fois qu’il avait prononcé ces mots-là, mon cerveau, il était sur freezer genre le vieux gars-là dégoutant et ne pouvant pas contrôler son arme de crime, moi me marier avec ce rat d’égout bordel même la pendaison est mieux.
Lui : Tic toc ! Le temps passe chérie. *avec une voie sournoise*
Moi :.....
Lui : J’ai ta réponse donc déshabilles toi. Je ne vais te forcer on va y aller molo molo comme c’est la première fois pour toi
Moi : Mais attends tu te foues de ma poire ou quoi ? Tu penses que je vais me donner à un vieux porc comme toi ? Tu me dégoutes et t’es répidiant. Que Dieu te punissent....(j'avais entendu ça dans un film: high school music)
Lui : Répugnant on dit petite illettrée
Moi :.........
A croire que même mon violeur me corrige, toute ma vie, l’on me corrigera même le pâtissier......bof trop nulle

Il fronçait les sourcils et se dirigeât vers moi
Lui : Okey s’en est trop.
Il me poussa sur le lit et se coucha sur moi.
Moi : AHHHHHH LACHE MOI SALE FILS DE PUTE ENCULE DE MERDEUX TU PUES EN PLUS !
Lui : La bourgeoisie de ma belle-sœur ta rendu malpolie Didon. Mais moi je vais dompter cette sauvagerie tout de suite même très efficacement.
Je ne pouvais même pas bouger un seul orteil. Je criais, je me débattais tandis que lui il se prenait un réel plaisir de se frotter à moi et de passer sa langue sur mon cou genre un truc dégueulasse. Un vrai porc. A un moment, il avait posé le flingue sur le chevet du lit et s’est mis à me caresser un peu partout et dès que je lui ai mordu le bras, la gifle retentit et ma joue était en feu merde. J’ai commencé à pleurer et à trembler et il s’est reculé. A croire qu’il avait de la peine pour moi. Il s’est levé et a enlevé son pantalon. J’étais croquevillais et je tremblais de partout. Il s’est couché à côté de moi sur lit, m’a bien bien serré et a commencé à s’excuser. Putinnn j’étouffais et il puait la merde de chien dégueu.
Lui : Pardonnes moi. Tu sais que je t’aime et que je ne veux pas te faire de mal mais c’est à toi de me comprendre je veux te Ken laisse-moi faire. Je vais y aller doucement.
Moi : Putinnn ce mec c’est un psychopathe, je ne peux pas croire qu’il a 2 merveilleux enfants quel FDP. Comment sa femme a pu le supporter pendant toutes ces années ? DIS-je dans ma tête.
Je ne bougeais pas car je repensais à la scène du film que je regardais avec Alpha (océan eight) comment la fille elle s’est joué du mec qui voulais la violer et c’est ce que j’allais parfaitement reprendre même si ma vie dois y rester, je mourrais en actrice.
Lui : Chérie, réponds-moi.
A contre cœur, je me suis retournée vers lui et on était face à face. Je jouais le jeu alors.
Moi : Tu sais que je l’ai jamais fait donc laisse-moi le temps d’aller dans la salle de bain pour prendre des draps
Lui : Tu vois que tu peux quand tu veux. Vas-y et prends pas ton temps, je dois tailler en Tess.
J’étais dans la salle de bain et je réfléchissais, je cogitais et Putinnn il  y avait une minuscule fenêtre par laquelle je ne pouvais pas passer puis je suis sorti. Il était couché là.
Lui : T’es magnifique
Moi : merci
Lui : approches, tu me fais envie là
A peine j’étais à proximité, il m’a violemment tiré sur lui et il avait sortir son arme de crime et a commencé à se branler....Déguelasse Je me suis couché et quand il a voulu tchoukou-tchoukou je lui ai crié
Moi : ATTENDS ! Il faut que je me positionne bien
Lui : Ah là ça promets. Si t’es bonne, je te marie Wallah !!
Et là je me suis placé juste à côté du flingue. Je l’ai pris sans qu’il ne s’en rende compte et je l’ai caché sous les draps. Il a commencé à me déshabiller le torse, mon soutifs et tout et arrivé à la zone interdite, il m’a regardé avec ce sourire narquois puis s’est penché pour regarder je ne sais quoi alors la quand il s’est relevé et qu’il a trouvé le flingue devant lui, sa tronche, elle était plus drôle que celle de gohou même.
Lui : Mais qu’est-ce que tu foues ? Je savais que les renoies mentaient bien mais pas à ce point....Attends t’es sérieuse là. POSE-MOI CE FLINGUE TOUT DE SUITE. Tu trembles tellement que tu ne peux pas droit te tenir
Moi : Vie de ma daronnes tu t’approches je t’explose le coco et puis  Lèves toi !
Lui : Quoi ?
Moi : LEVES TOI BORDEL DE MERDE !
Je m’étais penchée  pour prendre mon body sur le lit et il m’a foncé dessus. Je tombe par terre ma tête se cogne contre la veilleuse et là j’entends la porte s’ouvrir et des voix d’hommes, deux plus précisément.
Eux : Hey Gnilane ??Qu’est ce qui se passe ici ?!
J’avais l’impression d’avoir déjà entendu ces voix quelque part mais le choc fut si violent que je ne pensais qu’à la douleur.
Mamadou : Entrez et les mains en l’air
Gars 1 : Ton....Tonton Mamadou, tu fais quoi dans la chambre de ma femme en Soutif en plus ? Non.....J’espère que tu ne l’as pas touché ?.....PARCE QUE TU LA TOUCHE WALAHH AZIM JE TE COUPE TES BIJOUX DE FAMILLE PUTIN !!
Mamadou : Parce que tu t’es marié ? XPTDR, t’es comme ton père toi. Vous aimez les bonnes choses mais celle-ci est à moi.
Gars1 : VIE DE MA MERE JE VAIS TE.....
Gars 2 : Mec, calmes toi, il a un flingue larhhhh Oklm respire.
Mamadou : Je vais lui montrer que « Mamadoux  » peut se transformer en «  Mamadure »
Ma tête était dans une mare de sang et Mamadou ma soulevé et ma posé sur le lit. Quand il s’est retourné, une baffe dans la gueule, ils se bagarraient à trois. Des coups de poing par-ci, des insultes par là et d’un seul coup :
?! : Boum !!!
?!: ohhhh !!!
?!: Putinnn, ta buté mon pote, il est mort....
Et je tombais dans les pommes..........

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 17, 2019 ⏰

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Gnilane, Bascule d'une vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant