LCDP Saison 1 Episode 3 (suite)

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Berlin: sans aucune trace
Raquel: "braquage a l'épicentre de l'argent", "le braquage du siècle", "le casse rocambolesque attire l'intérêt mondial" qu'en dites-vous ? Café ?
Angèle: on a un policier au soin intensifs, 67 otages, des gars lourdement armés, pour les médias, c'est pittoresques
Raquel: je m'en moque
Angèle: mais il ont trop d'informations, ça ne nous aide pas, ça va ?
Raquel: je vais sortir manger je reviens dans 15 minute
Policier: attention l'inspectrice sort, déplacez l'es journalistes
Les secours nous ramène des pizza et des médicaments pour les otages Berlin ouvre la porte pour les laisser entrer
Nairobi: posez les paquet par terre et reculez
Berlin va fermer la porte.
Monica se lève
Monica: il fait chaud, je peux ?
Oslo: quoi ?
Monica: de l'eau
Oslo: assieds-toi ! Assieds-toi !
Monica fait tomber la bouteille d'eau en même temp qu'elle prend la bouteille d'eau elle prend le téléphone qui est dans la poche du manteau de Arturo, Denver entrent dans la pièce ou se trouvaient l'es femmes malades
Denver: j'ai les médicaments
Oslo: distribue les
Monica: j'y vais
Denver: attends, sors ! Sors...
Denver sors et allume une cigarette
...tu vas croire que je dis des bêtises mais, avorter est une mauvaise idée
*DANS LA CAFÉTÉRIA*
Raquel: merci
*télévision*

....a la Maison royale de la Monnaie, il ne bougent pas le nombre d'otages
Professeur: ces hommes doivent être désespérés pour agir ainsi, c'est ceux qui les rend dangereux, ils ne veulent blesser personne c'est ceux qu'ils disent
Raquel: alors, pourquoi ont-il des armes ?
Professeur: vous devez avoir raison, mais personne ne peut braquer ce bâtiment avec un lance-pierre
Raquel: l'addition
Professeur: vous savez combien ils sont ? Certain disent qu'ils sont...
Raquel: excusez-moi
*téléphone*
Raquel: oui ?
- le gamin est allé au musée
Raquel: quand ?
- il y a 3 mois on l'a sur une vidéo
Raquel: il était seul ?
- Tu avais raison il était accompagner, nous avons identifié un autre braqueur, on ta envoyé la photo.
Le professeur regarder le téléphone de Raquel d'un oeil, malheureusement Raquel la vue elle l'a pris et la plaquer contre la table
Raquel: votre dictaphone
Professeur: quelle dictaphone ?
Raquel: votre présence quotidienne ici n'est qu'une coïncidence ? Pour quelle journale ?
Professeur: quoi ?
Raquel: ton employeur ?
Professeur: je ne suis pas journaliste, regardez dans mon portefeuille, Antonio ?
Antonio: que se passe t-il ? Il vient tout les jours
Raquel le lâche prend ses affaire et part
*RETOUR DANS LA FABRIQUE*
Denver écrase sa cigarette

Denver: tu as besoin d'argent, non ?
Monica: non
Denver: si, c'est un braquage tu pourra te servir
Monica: non
Denver sors des billets qu'il avait cacher dans sa combinaison
Denver: cache ça dans tes sous-vêtements, vingt mille balles, assez pour des couches jusqu'à la fac.
Monica: merci mais ce n'est pas ça, c'est gentil mais donne-moi la pilule
Denver: très bien c'est quoi ? Il va te gâcher la vie
Monica: qui ?
Denver: ton fils, il vaut mieux qu'elle soit gâcher par ton fils, que par ces connards ou par moi
Monica: tu me...
Denver: la vie est une pourriture, un jour vous êtes au travail et quatre tarés débarquent avec des masques, l'un d'eux perd la tête une balle siffle et tout déconne(en montrant le flingue) sa, ça gâche la vie
Monica: qu'est-ce que vous en savez ? Alors ?
Denver: ma mère voulait avorter, mais avant, elle a inhalé l'héroïne qu'elle devait vendre pour se payer l'avortement et dans un porche de merde elle s'est fait arrêter, je suis né entre la prison, la came et les flics tu piges ? On dirait que notre travail n'est pas réjouissant, t'a vie n'est peut-être pas géniale tu fait du "kilates"
Monica: pilâtes
Denver: encore mieux, des pots les vendredis soir ? Bordel un autre plan gâcher par le gamin avec qui tu sors ? Ou sont tes amis ? Chez eux avec leurs gamins et leur vie est gâcher ?
Monica: non
Denver: que fait tu d'aussi dingue qu'un gamin t'empêcherais de faire ? Le père n'en veut pas ? Encore mieux tout son amour pour toi, l'amour d'un enfant
Berlin: que fait-Tu ?
Denver: je lui donne sa pilule
Berlin: elle a besoin de l'aide a l'avaler ?
Denver: c'est un acte priver, les femmes décident mais pas en public
Monica: merci, je vais y réfléchir en attendant de sortir
Berlin: fantastique, ça me réjouit de savoir que tu va le garder, vraiment retourne dans le bureau avec les autres.
Monica part sauf que le téléphone qu'elle a mis entre ses jambes a sonner Berlin se retourne la rattrape et lui ouvre sa combinaison, il enlève l'argent qui était cacher dans ses sou-vêtements
Berlin: tu viens d'un enterrement de vie de garçon ou quoi ?
C'était pas la première fois qu'il posait ses mains sur une femme, mais la première fois qu'il les enlève aussi vite Mónica aurait peut-être préféré qu'il se laisse emporter et qu'il oublie le téléphone qui venait de sonner, ça ne fut pas le cas
Berlin: qu'arrivera-t-il a notre autorité quand l'es autre l'apprendront
Même Berlin savait faire la différence entre le plaisir et le travail
Berlin: tue-La, tu ma entendu
Berlin part Denver attrape Monica pour la faire descendre au toilette.
Je voit Rio descendre des escaliers, je m'approche de lui lui soulève son tee-shirt et je réalise que dans toute mes histoires il y avait eu un hic ils prenaient soin de moi, cette fois se serait différent, je m'approche de la première caméra je tire dessus.
Nairobi: que se passe-t-il ? Tokyo ! Tokyo ! Allez chercher Berlin
Je tire sur la deuxième caméra
Denver lui ramène Monica dans les toilette pour "exécuter" Monica, j'apelle le Professeur, le professeur répond
Tokyo: écoute moi, si quelqu'un le touche à nouveau les prochaines balles seront pour Helsinki, Berlin ou toi tu est loin dehors libre nous risquons nos vies dans ce piège à rats
Helsinki: pose ton arme pestasse ! Pose ton arme !
Tokyo: pose ton arme !
Berlin: que fait-tu ? Helsinki, Helsinki, pose cette arme
*DANS LES TOILETTES*

Monica: non, ne fait pas sa
Denver: pourquoi as-tu pris ce Putin de téléphone ? Pourquoi tu ma trahi ?
*SALLE TÉLÉPHONIQUE*

Rio court pour pousser Berlin sauf que Berlin lui donne un coup il tombe,
Tokyo: Rio ! Non !
Berlin: ou penser tu allez ? Tu en as assez fait ! Helsinki ! Helsinki baisse ça !
Helsinki obéis et pose son arme
*DANS LES TOILETTES*

Denver: tu sais ce qui va se passez si je ne te tue pas ?
Monica:(en pleurant) non
Denver: ils me tueront en premier, ensuite il te tueront
*SALLE TÉLÉPHONIQUE*

Berlin: et maintenant ?
Je n'entend pas mes cris, je voulait juste écrire une lettre d'amour, face au armes et aux yeux pointés sur moi, la réalité me frappa violemment et je sus, que ces cinq derniers mois ou j'avais cru en quelque chose venait de prendre fin.
Professeur: ton histoire d'amour à fichue en l'air notre plan, ils te tiennent, ils ont aussi Rio. Vous êtes au infos.
Le Professeur décroche le téléphone
*DANS LES TOILETTES*

Denver: putain de pute ! Merde ! Allez, mec ! Courage ! Courage, a genoux
Monica(en pleurant): non
Denver: ne me regarde pas ! Ne me regarde pas
Monica: pitié
Denver: baisse les yeux ne me regarde pas, bordel !

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