LCDP Saison 2 Episode 4(suite)

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*CHEZ RAQUEL*

Raquel: quelque chose te préoccupe ?
Professeur: non, ça a été la meilleure nuit de toute ma vie
Raquel: tu ma déjà séduite, pas la peine d'exagérer
Professeur: c'est vrai, je ne l'avait pas prévue
Raquel: tu ne l'avait pas prévue ? Tu prévois tout ?
Professeur: disons que je suis le genre de personne à préparer mes affaire la veille, je suis un homme obsédé par l'idée de faire le meilleur cidre du monde, et j'ai tout étudié, l'acidité, la fermentation, les réactions possibles de tout les ingrédients, année par année, il suffit d'une pomme pourri pour gâcher le fût
Raquel: tu est vraiment passionner par le cidre
Professeur: c'est le rêve de mon père, il est mort avant de le réaliser, il voulait faire 2 400 fût
Raquel: je comprend cette hommage mais pourquoi tu ne ferais pas que la moitié ou le quart ? Et ensuite tu te consacre à tes propres rêve ?
Professeur: et si on partait ? J'achève mon cidre rapidement, et on part dans les caraïbe
Raquel: eh bien, je n'ai pas de cidre, mais j'ai une mère, une fille et un braquage à résoudre
Professeur: on prend ta mère et ta fille on les emmène avec nous, élever ta fille sur une plage ? Raquel je ne veux pas que ça passe, je ne veux pas ignorer ce désir de se sentir en vie, je ne l'avais jamais tant ressenti
Raquel: tu traverserais l'océan avec une fille et une mère et une grand mère ?
Professeur: là oui, j'ai un plan B
Raquel: bon sang, c'est tellement fou que je n'imagine pas faire autre chose
Professeur: occupe toi du braquage, fait le nécessaire et on s'en va
Raquel: d'accord
Raquel sort de la chambre
*TENTE*

Raquel: écoutez moi ! On va résoudre ce braquage en 24 heure, et retourne à nos vie qu'on a négligez, Suarez appelez le commissariat Sanchez
Professeur: je ne laisserai personne d'autre être blessé ou arrêté Nairobi, écoute tenir jusqu'à la est historique, je te félicite sincèrement, écoute je vais tous vous sortir de la, avant qu'ils n'agissent
Raquel: allez chercher Lobo et les autres
Suarez: a quoi pensez vous ?
Raquel: je commence à croire que l'homme dehors et le cerveau du braquage, c'est lui qui nous a montré la piste du domaine de Tolède, je sais comment les coincés
Professeur: on va commencé par faire sortir les otages
Nairobi: merci on est pas assez nombreux pour les surveiller, et on leur a promis la liberté, libérons les
Professeur: nous allons les libérés donne moi une heure, un énorme spectacle pour un petit public
Le Professeur appelle Raquel
Raquel: oui ?
Professeur: je vais relâcher 11 otages, à une condition, un journaliste et une caméra qui couvrent tout sa de l'intérieure, en diffusant en direct
Raquel: j'aimerais bien vous aider avec votre propagande, mais je n'est pas a forcer un civil à entrer, vous le savez très bien
Professeur: oui vous avez raison mais vous avez pas a forcer quiconque, juste à lui suggérerez je suis sûr que plusieurs journaliste se proposeront pour une telle interview
Raquel: je doit y réfléchir
Professeur: bien sûr, n'oublier pas que j'enregistre nos conversation, lors de votre premier refus de libération le public ne l'a pas très bien pris, mais oui prenez votre temps
Le Professeur raccroche le téléphone
Suarez: le fils de pute !
Raquel: putain !
*QUELQUE JOUR AVANT LE BRAQUAGE*

Nous étions tous assis autour d'une table
Professeur: parlons d'un truc, comment peu on expliquer ? Tu aime le football ?
Denver: oui, dans mon pays le football c'est énorme
Professeur: imaginez un match de football
Nairobi: encore le football
Professeur: écoute Nairobi, un match de coupe du monde, le Brésil contre le Cameroun qui gagne ?
Moscou: facile !
Professeur: ou plutôt qui voulez vous voire gagner ?
Moscou: le Brésil gagne, mais je supporte le Cameroun
Professeur: le Cameroun
Moscou: oui
Nairobi: le Cameroun bien sûr
Denver: Cameroun a fond
Professeur: si vous observez bien, les humains choisissent toujours le plus faible, les perdants, si nous montrons au monde nos faiblesses, nos blessures, si nous somme sur le point de se rendre, cela produira un frémissement
Moscou: n'importe qui qui n'est pas brésilien serait pour le Cameroun
Professeur: même certain  brésilien
Nairobi: et certaines brésiliennes
Professeur: très bien
Moscou: alors au Cameroun !
Nairobi: c'est comment ce chant ? Cameroun ! Cameroun ! Cameroun
Nous trinquons ensemble
Nairobi: Cameroun !
*DANS LA FABRIQUE*

Nairobi: nous passons au plan Cameroun, nous allons relâcher les otages qui sont dans la cave, un journaliste et un cameraman seront là pour filmer, quelqu'un devra donner une interview, ma proposition c'est toi Rio, je comprend ta colère on a besoin de toi
Rio: moi ? Passer à la télé ? Pour que Tokyo me voit de sa cellule, donnant une interview comme si de rien était ? Je suis un otage, ne compte pas sur moi
Denver: c'est bon je le fait, je suis un pleurnicheur
Helsinki: pas du tout, tu fait pleurer l'es autre, je le ferait sans trop parler
Nairobi: tu pourrait le faire mais non, je le ferait avec un masque
Berlin: un masque ? Pour une interview ? Qui somme nous ? L'ETA ? Des djihadistes ? Cette interview doit être faite à visage découvert, pour que tout l'Espagne voie nos yeux, sente notre souffle, ressente notre souffrance et notre peine
Nairobi: très bien, tu veux le faire mais il y a un problème, si il y a bien un homme chez qui je n'ai jamais vue de peine et bien c'est toi
Berlin: Tokyo n'est pas là, Rio refuse, ne méprise pas une personne qui sais faire, je serai un bon maître de cérémonie
Helsinki: il a raison
Nairobi: très bien tu le feras

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