LCDP Saison 2 Epiosde 4(suite)

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Berlin: comme ses enfant qui attendent la récréation, je voudrais vous remercier pour le courage et la bravoure que vous avez montrer, et surtout toi ( en montrant du doigt une femme enceinte) toi et ton bébé, tu est une femme forte
Journaliste: pourquoi avez vous pris la décision, après cinq jours de captivité de relâcher des otages ?
Berlin: cinq jour ? C'est difficile de croire que ça fait si peu, vous voyez nous traversons une période difficile, la situation est critique, le seul choix et la reddition, nous sommes la pour ça, ce geste est le début de la fin pour nous tous, Helsinki, c'est l'heure allez y
Helsinki ouvre la porte et laisse sortir les otages
Suarez: snipers prêt, équipe d'intervention gardez vos distance
Homme: compris
Berlin: nous les relâchons pour obtenir des conditions de reddition favorable
Journaliste: vous vous rendez ?
Berlin: nous savons que nous avons perdu
Journaliste: onze otages, nous y assistons en direct
Raquel: ils sortent
"Enfin une bonne nouvelle, ils sont là, c'est un moment émouvant les braqueur vont craqué, mais il y a d'autre informations, Fonollosa a admis que c'était critique et qu'ils devaient se rendre, ses mots ont été: c'est le début de la fin et nous savons que nous avons perdu"
Berlin: vous avez déjà vu un corps ? Pour certain c'est une première, vous ete ici pour la vérité et l'a voila la vérité, nous avons été abattu, nous avons perdu, il faudrait que vous le confirmiez
Journaliste: oui, pas de pouls
Berlin: les otages l'ont frappé, il et mort rapidement, pour le public cet homme n'est qu'un voleur, pour nous c'était un compagnon et un ami, personne ne nous prépare à ça, personne, voila pourquoi nous avons relâcher les otages, certain d'entre nous pensaient que nous n'en sortirons pas en vie, je ne pensais pas à lui
Journaliste: des personnes du groupe étaient prêtes à s'immoler ?
Berlin: non, nous somme des personnes simple, qui ont connu des épreuves de toute sortes comme n'importe qui, et des maladies en phase terminale et nous avons du entreprendre une action aussi désespérée pour laisser quelque chose à nos familles, au êtres que nous aimons, en fait je souffre d'une maladie appelés la myopathie d'Hellmer, la police le savait, et ils n'ont eu aucun scrupule  mentir sur moi, alors c'est vrai je suis un voleur, je l'es toujours été j'ai braqué des banques, des bijouteries, des manoirs, mais je n'est jamais vendu personne, je n'ai jamais vendu de femme, je ne suis pas un proxénète qui trafic, qui viole des mineurs, non demandez les rapports a la police
Journaliste: la police aurait mentis à l'opinion public ?
Berlin: la police ment ! Ils mentent au public, ils ont mentis a mes amis, ils ont sali mon nom ! Un voleur oui, mais je le droit de ne pas être diffamer, j'ai le même droit que chacun à mourir en paix avec dignité, coupez je ne peux pas continuer
Ce matin nous étions le centre du monde, les gens se sont tus dans les cafés, les taxis, d'après Fonollosa la police ment
"Ils ont menti aux médias au sujet de son passé, il leur demande de présenter son rapport"
Nous étions le Cameroun qui jouait contre le Brésil tout le monde nous supportait,
"Nous somme interrompue par notre collègue Cristina Saavedra, flash infos l'inspecteur Rubio pourrait sortir du coma, il a était plongé dans un coma artificiel après son accident, rappelons que cette accident a eu lieu sur la M-506 quand sa voiture a percuté un obstacle, sur l'une des voies provoquant de multiples tonneaux"
Le Professeur appelle la fabrique
Nairobi: tu nous a vue à la télé ?
Professeur: je veux que vous ne fassiez qu'un comme une équipe d'aviron, dit à Rio qu'en tant que capitaine je ferait tout pour faire sortir Tokyo de prison
Nairobi: je vous trouve parfait !
Professeur: passe moi Berlin
Nairobi: Berlin
Berlin: moi ?
Nairobi: oui toi
Berlin: oui ?
Professeur: l'inspecteur va sortir du coma
Berlin: les probabilités que se soit vrai ?
Professeur: je aucune idée
Berlin: un coup classic de la police, dire que la victime c'est réveillé pour t'attirer, ça ne fonctionne que dans les feuilletons
Professeur: si c'était vrai ? Il est le seul à savoir qui je suis
Berlin: son numéro de chambre ?
Professeur: 119
Berlin: c'est un piège
Professeur: il y a 90 % de chance que ce soit un piège
Berlin: non 99 %
Professeur: oui, laissant ce 1% de côtés ?
Berlin: non tu doit t'en assuré si ce n'est pas un piège, achève le
Professeur: entrer dans un hôpital, où sans aucun doute 50 agent de police m'attendront ?
Berlin: Sergio, réfléchi, tu as passé ton enfance dans un hôpital, comment entrer dans un piège sans se faire prendre, en sachant que la cavalerie t'attend ?
Professeur: tout simplement, en faisant partir la cavalerie en courant

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