LCDP Saison 3 Episode 7

130 2 0
                                    

*DANS L'ÎLE*

Rio dormais, je l'embrasse
Tokyo: bonjour mon roi
Rio: bonjour ma reine, tu veux baiser ?
Tokyo: oui et toi aussi, viens voir ça
Rio se lève et s'assoit sur le lit, je lui donne des jumelles
Tokyo: regarde la bas, c'est dès brésilien sa faisait longtemps, c'était des Portoricains ou des Guyanais, la dernière fois ?
Rio: aucune idée
Tokyo: ils on l'air sympa
Rio: la CIA, le FBI et Interpol ont des agents qui on l'air sympa
Tokyo: se sont des touristes sa ce voit, mon amour, il faut qu'on fréquente des gens, les couples on besoin d'une vie sociale, ils vont à des fêtes, ils vont au ciné, ils mangent au resto, le journée ne consiste pas à partir au Kunas ou jouer sur la plage
Rio: non
Tokyo: quoi ?
Rio: non
Tokyo: s'il te plais
Rio: non, hors de question, Tokyo c'est une mesure de précaution
Rio se lève et rejoins les touristes, moi je le regardais avec les jumelles
Rio: salut les amis !
*DEVANT LA FABRIQUE*
Journaliste: " Anibal Cortes se dirige vers la banque d'Espagne, la police relâche l'un des fugitifs les plus recherchés au monde, quarante quatre heure après le braquage, la police cède en relâchant Cortes, il est l'homme qui aurait été torturer, la bande du Professeur est à nouveau réuni"
Palerme(Dictaphone): Rio est au porte de la banque
Professeur: porte
Les portes s'ouvrent
Professeur: Helsinki, feu vert
Denver: avancez !
Les otages sortent de la banque, Rio entre dans la banque en larme, je lui saute dessus
Tokyo: tu est trop beau ! Trop beau avec ta cravate et tout
Rio: c'est le seule truc sympa qu'ils on fait
Tokyo: j'imagine
Rio: toujours aussi belle en combinaison rouge
Tokyo: ça va ?
Rio: mieux, vous foutez quoi dans la banque d'Espagne ?
Tokyo: c'est pour toi
Je l'embrasse, Arturo était devant les portes de la banque
Arturo: c'est fini vous rentrez chez vous les amis, toute l'Espagne est derrière vous ! Quelle courage vous êtes très courageux !
Tamayo: on va voir ce que Suarez peut nous dire, le voilà
Suarez entre avec une combinaison rouge
Suarez: je veux y retourner (donnant un point sur la table)
Tamayo: du calme
Suarez: je veux plus d'hommes ! On y est presque je veux les buter !
Tamayo: du calme !
Alicia: Tamayo ! Qu'est-ce qu'il fout ?
Homme: c'est Arturo roman l'ancien directeur de la Maison de la Monnaie
Denver: fermez les portes !
Arturo se met à courir
Tamayo: quel connard !
Arturo glisse entre les portes, Helsinki et Denver le pointe
Arturo: ne tirez pas ! Je ne suis pas armé, je suis Arturo roman
Denver: Arturito ?
Tout le monde applaudit pour Rio
Nairobi: applaudissez bien fort !
Alexandra: vous êtes Arturo roman ?
Arturo: en effet
Alexandra: j'ai lu votre livre
Rio: vous êtes dingue ! Vous pourriez être dehors à vous la coulez douce ! Mais vous êtes ici dans la gueule du loup, vous vous rendez compte du bordel que vous foutez ?
Helsinki: fait un câlin à ton Helsi !
Rio le prend dans ses bras
Rio: tu peut être un taré, mais tu est un amour !
Stockholm: bonjour !
Rio: Bonjour !
Il la prend dans ses bras
Rio: je t'appelle comment ? Monica ?
Stockholm: non, Stockholm
Rio: mon frère !
Rio prend Denver dans ses bras
Rio: tu a fumé quoi pour revenir aussi ?
Denver: la vie de millionnaire est très chiante
Rio: merci ! Que tu sois là, après tout ce que tu a perdu ça me touche
Nairobi: mon petit, laisse moi t'embrasser
Elle le prend dans ses bras
Rio: cava ma belle ?
Nairobi: je suis aussi heureuse que si tu étais mon fils
Rio: vous êtes tous super !
Nairobi: ces vrai, mais celle qui nous a le plus motivé c'est ta vilaine copine, sans elle...
Tokyo: arrête, excuse moi mais il est a moi
Suarez: il n'y a pas de trace d'autre chose, ça va
Tamayo: ils ont gagné une bataille, mais pas la guerre un peu de nerf ! Écoutez moi tous ! Cette opération n'a pas eu lieu compris ?
Alicia: vraiment ? Même un commando du Burkina Faso ferait mieux
Tamayo: un peu de respect, ce ne sera pas l'escalade, il n'y a aucune victime on a sorti 40 otages, il faut voir le bon côté est aller de l'avant
Alicia: je suis très positive regarde, on ne retient jamais la leçon, ce type est comme Einstein et on est entré par les toilettes
Tamayo: on a fait ce qui était nécessaire, comme les Marines avec Ben Laden, comme les russes au théâtre de Moscou
Alicia: on a suivi le manuel, combien de temps on a mis la se décider ? Vingt minute ? Il a eu des années pour anticiper, tout ce qu'on fait il sais comment le contrecarrer
Tamayo: ces opération sont toujours risquées, sauf si tu a une proposition qui ne comporte aucun risque
Alicia: pas une, au moins trois, Antonanzas donnez moi un beignet !
*DANS LA FABRIQUE*
Monica entre dans les toilettes ou Arturo y était
Arturo: Monica, tu es belle
Stockholm: c'est Stockholm, viens la
Arturo s'approche
Stockholm: soulève ta chemise
Elle jette un œil
Stockholm: soulève les bras
Elle lui fait passer une machine
Stockholm: ils auraient pu te tirer dessus
Arturo: je m'en fou, ça m'est égale désormais, puisque j'ai tout perdu, Laura m'a quitter est a pris les enfants, la cuisine chez moi est dans un placard, je mange du thon en boîte, les cartons sont encore dans le couloir, mais je m'en remet
Stockholm: petit à petit
Arturo: j'ai été horrible avec toi et ma femme, je l'admet, je pense constamment à Laura, mais pas autant qu'à toi, je pense toujours à toi, à toi et notre fils, c'est un garçon ?
Stockholm: oui un garçon, met la combinaison !
Arturo: je sais que je t'ai perdu, je ne veux pas perdre mon fils
Stockholm: tu la perdu en disant que tu n'était pas son père, met la !
Arturo: tu croyez quoi ? C'est dur pour un homme marié qui a trois enfants entendre: "regarde le test, c'est ton fils" j'ai pris peur ! J'ai eu la trouille, qui n'a pas peur en apprenant ça ? Ça n'a duré que trois minutes, le temps qu'il a fallu à ces terroristes pour entrer, et tirer sur tout le monde, je te demande de ne pas me juger sur ces trois minutes, je sais je n'ai pas le droit d'apparaître comme ça et d'exiger d'être le père de mon fils, je le sais, mais je veux le voir c'est tout, le toucher savoir comment il est, peut importe où il se trouve, j'irai au Brésil en Roumanie, en Birmanie, en Thaïlande, n'importe où, c'est mon fils je veux le voir, s'il te plaît
Stockholm: tu as le droit de le voir mais je ne sais pas si tu peux, j'essaierai
Arturo: merci, certaine chose ne change pas, regarde l'effet que tu me fait
Arturo lève sa chemise, il bande
Stockholm: sérieux
Arturo: tu me fait bander, c'est l'effet que tu me fait
Arturo la plaque contre le mur en essayons de l'embrasser
Arturo: tu te souviens dans mon bureau ? Est tu la même
Stockholm le repousse et sort son flingue
Stockholm: recommence et je te tue, tu me dégoûte Arturo
Arturo: je te dégoûte ? Moi ? Tue moi ! C'es le seul visage que mon fils verra ! Denver et toi irez en prison un bon moment, Arturo junior se saura jamais qui est sa vrai mère, mais il m'appellera papa ! Son père légitime !
Stockholm tire sur le côté, Helsinki entre
Stockholm: mon fils s'appelle Cincinnati, et tu ne le verra jamais de ta vie ! Helsinki tu peux terminé ?
Helsinki: Arturito ! Calme toi, les hommes s'occupent des hommes, aller enlève tes vêtement

La Casa De PapelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant