LCDP Saison 1 Episode 7(suite)

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Raquel: cet homme ne veut pas le Malaika
Prieto: pourquoi dite vous ça ?
Raquel: pourquoi réclamer un bateau qui mettra cinq jour à arriver ?
Prieto: pour montrer qui est le caïd ? Je ne sais pas mais donnez-lui ce bateau qu'ils partent
Raquel: ils comptent fuir autrement, Angèle ?
Angèle: je t'écoute
Raquel: dis aux agent de fouiller les égouts d'un rayon de 500 m tunnel, conduit d'assainissement tout
Angèle: entendu
Raquel: allez tous au boulot
Le Professeur arrive au casse ou il y a toute les voiture endommager, il grimpe le grillage pour pouvoir y entrer, il se cache derrière les voiture pour ne pas se faire voir
Portugais: hé toi ! Oui toi !
Professeur: vous tombez bien j'essayai de....
le russe se mit à courir le Professeur fait de même , le Professeur se cache dedans une voiture pour ne pas se faire voir, le russe prend la voiture ou était le Professeur avec une sorte de machine
Professeur: reposez moi ! Je vous en pris ! Pitié pitié ! Reposez moi !
Le téléphone du Professeur sonne
Raquel: Salva ?
Professeur: oui allô ?
Raquel: ses moi Raquel, je suis au café et comme vous n'êtes pas là alors que vous êtes toujours là quand je passe d'habitude, je me sui dit que vous aimeriez peut-être qu'on se voit
Professeur: se serait avec plaisir mais je ne suis pas à Madrid
Raquel: Salva ça va ?
Professeur: oui pardons j'étais distrais et j'ai failli heurter un camion
Raquel: pardon je ne vous dérange pas plus longtemps, on se verra une autre fois, mais ça vous direz de manger avec moi ce soir ? Excuse moi Salva c'est juste que j'ai parler de toi à ma mère, et c'est une vrai hippie figure-toi qu'elle m'a réprimandé et ordonné de mettre un peu de sel dans ma vie de rencontrer du monde ne te méprend pas surtout, elle veut seulement que je sorte un peu d'où cette proposition
Professeur: d'accord
Raquel: oui ? Tres bien ce soir ces bon ?
Professeur: impeccable, à ce soir
Raquel: au revoir
Le Professeur raccroche le téléphone
Professeur: s'il vous plaît ! Arrêtez ! Arrêtez tout de suite
*RETOUR DANS LA FABRIQUE*

Berlin rentre dans le bureau ou il y avait les femmes malades, il allume une cigarette
Berlin: vous fumez ?
Une femme lui dit non avec la tête
Berlin: d'accord, ce n'est pas moi qui nuirait à votre santé
Il éteint sa cigarette et la range
Berlin: vous êtes bien ici non ? Tout ensemble inconsciente des horreurs, des coups de feu, du sang des interventions, il faut que je vienne ici plus souvent, dehors tout est tellement compliqué j'ai appelé un ami se soir, je lui est dit combien il était difficile de maintenir l'ordre et l'harmonie ici, je lui est aussi dit que j'avait tué quelqu'un, que j'avais ordonné la mort d'une femme, ici la bas le respect se gagne en mettant des cadavres à table et j'ai pu percevoir l'émotion de mon ami, ses sentiments, sa respiration son trouble et sa peine, il n'était pas là il ne connaissait pas la victime Monica Gaztambide et l'espace d'un instant j'ai pensé qu'il serait formidable de ressentir tout sa, tout cette émotion cette souffrance cette culpabilité main non ces choses ne me touche pas, c'est horrible hein ? Je dois vous ennuyer avec mes bêtises excusez-moi Silvia ? Tu fait une crise de panique ?
Ariadna: elle est un peu nerveuse mais sa va passer
Berlin se lève de sa chaise
Berlin: évidemment que sa passera bien avec moi ( en rendant sa main à Silvia ) Silvia donne moi ta main (Silvia lui donne la main) c'est bien
Il la prend la fait sortir du bureau
*RETOUR AU CASSE*

Le russe repose la voiture ou se trouvait le Professeur, il sort de la voiture le russe l'attendait avec un chiens
Professeur: je suis entrer parce que ma voiture est ici, j'y est oublier une chose importante très importante
Russe: tu a sauter la clôture, j'appelle la police
Professeur: je vous rachète la voiture
Russe: combien ?
Professeur: beaucoup, regarder tout cette argent
Russe: ce n'est pas beaucoup
Professeur: je n'ai que sa tenez mon portefeuille
Russe: maintenant cours à cinq je lache le chien et ne reviens pas c'est compris ? Cinq, quatre, trois....
Le Professeur se mit à courir
...deux, un va
*RETOUR DANS LA FABRIQUE*

Je rentre dans le bureaux où était assis Rio
Tokyo: tu fait quoi ?
Rio: je monte les cellules pour placer des charges aux points d'entrer potentiels
Tokyo: sur ordre de Berlin ?
Rio: non du Professeur, c'est surtout dissuasif c'est pour qu'on les voit
Tokyo: et ça ?
Rio: cet enfoiré avait du vin ici et je l'aère
Tokyo: putin
Je pose mon arme sur le fauteuil sur ma droite
Tokyo: patron, ce poste de directeur vous va très bien
Rio: asseyez-vous Mlle Tokyo
Je m'assoit sur la chaise qui était devant lui
Rio: j'ai remarqué vos retard je vais devoir vous punir
Tokyo: je suis navré monsieur, si je vous montrais un sein (en ouvrent ma combinaison) me garderez-vous ?
Rio: c'est une offre alléchante bien sûr, mais ça ne suffira pas
Je l'embrasse
Tokyo: je sais ce que tu ressens (en m'asseyant sur la chaise) Rio ?
Rio: je suis ici, coincé dans ce trou je me demande comment j'ai fini ici, mais je ne suis plus je sais qu'un jour on m'a demander de pirater un système de sécurité, celui d'un manoir à Genève ils n'y ont même pas laissé un tapis, je n'y étais même pas mais putin, pirater dés système de sécurité est bien plus marrant qu'être informaticien, je n'ai même pas réfléchi c'était un jeu, et j'ai perdu mes parents
Tokyo: je n'ai plus ma mère
Rio: c'est un peu différent, mes parents sont en vie j'aurais pus faire un truc réglo, j'étais doué, j'aurais pu gagner ma vie avoir une vie normale, une copine normale des amis normaux, je n'étais pas comme vous
Tokyo: que te dire ?
Rio: il me faudrais ta porte
Tokyo: quelle porte ?
Rio: celle dont tu ma parler le jour de la visite au musée, le jour où on a su pour ta mere
*QUELQUES JOUR AVANT LE BRAQUAGE*

Rio et moi nous étions au musée main dans la main
Rio: les caméras 12 et 13 ont changer d'angle elles balaient plus d'espace
On s'embrasse devant une caméra
Rio: la caméra 14 n'a pas bouger, elle est braquée sur l'entrée, on peut rentrer
Tokyo: et pourquoi rentrer ? Quand on peut être des touristes toute la journée ? S'embrasser dans un bar ou dans la rue ?
Rio: dans la rue ? Ne te fous pas de moi tu te feras chopper, bon pas dans le rue
Tokyo: suis moi
Nous allons au toilette faire l'amour
Tokyo: j'ai l'impression de l'avoir tuée, elle était si joli je l'ai tuée de tristesse, par mon absence de dégoût, a cause de la vie de merde...
Nous nous levons et nous allons nous asseoir par terre caler sur un mur
...elle voulait juste me protéger elle m'aimer, elle m'aimer a la folie le voulait que je me rende pour ne pas apprendre ma mort au JT. Quand j'étais a ses cotés je me sentir protéger, mais elle n'était pas toujours là
Rio: et ton père ?
Tokyo: j'en est pas, ma mère travailler pour un matellier, quand les fins de mois était difficile, elle bossait de nuit, elle n'avait personne a qui me confier et je restais seul, j'avais très peur
Rio: t'avais quelle âge ?
Tokyo: huit ou neuf ans, un peu plus jeune que toi
Nous rigolâmes et je prend un feutre blanc qui était dans ma trousse, je

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