LCDP Saison 1 Episode 13(suite)

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Suarez: vous avez entendu, pas de temps à perdre ! Les propriétaires, les hommes je l'es veux maintenant !
Le Professeur frappe à la porte de Raquel
Professeur: tu va bien ?
Raquel: je suis juste un peu fatiguer et secouée aussi, on a du m'administrer un sédatif et je n'est pas l'habitude
Professeur: je ne suis pas non plus très lucide
Raquel: excuse moi mais il faut que je m'allonge, je dois dormir un peu
Professeur: bien sûr
*DANS LA FABRIQUE*

Nairobi fait un trait sur le sol
Nairobi: c'est l'heure de vous décider, choisir entre devenir un complice et gagner un million ou rester intègre et sortir d'ici
Tokyo: votre liberté ou un million ?
Nairobi: si vous rester jusqu'au bout, vous recevrez par courrier 20 000 billet de 50 euros emballé sous vide, comme du bon jambon
Tokyo: ceux qui veulent partir traverser la ligne
Un première homme traverse la ligne, un deuxième homme, une femme enceinte, une femme âgée
*QUELQUE JOUR AVANT LE BRAQUAGE*

Tokyo: que fera-t- on de ceux qui veulent la liberté ?
Professeur: vous les conduirez en bas, au sous sol pour les enfermés, c'est lamentable je sais, mais ceux sont aussi ceux qui pourraient déclencher une révolte et je dois vous protéger
*DANS LA FABRIQUE*

Alisson voulait franchir la ligne
Alisson: pourquoi je ne peux pas choisir ?
Nairobi: parce que tu est notre vedette trésor
Tokyo: sérieusement ? Il faut te l'expliquer ? Pousse toi
Alisson se remet à sa place et de plus en plus de monde choisi la liberté
Nairobi: très bien, le temps est écoulé, c'est maintenant ou jamais, franchissez la ligne et sortaient d'ici, ou rester avec nous et empochez un million
Dés personnes voulaient s'en aller mes Mercedes les retiens
Tokyo: bien main sur la tête, vous sortez par quai de chargement
Le Professeur avait réussi à diviser les otages, ceux qui deviendrais nos complices, et ceux qui nous mènerai la vie dur, du moins nous le pensions 
*CHEZ RAQUEL*

Le Professeur s'était allonger à côté de Raquel, il touche sa joue, le téléphone de Raquel sonne elle se réveille et répond
Raquel: Suarez ?
Suarez: on a trouvé la propriété sa colle avec votre description
Raquel: ou es ce ?
Suarez: a côté de Palomeque, 640 ha avec terrain de chasse privé, une bâtisse abandonné, assez grande pour abriter un tel projet
Raquel: comment l'avez vous trouvé ?
Suarez: un voisins y a vu des jeunes le soir de Saint Jean, ils n'avaient pas l'air de chasseur et il y a eu des détonations tout l'été
Raquel: des détonations ?
Suarez: oui c'est ça, il est certain que ça ne venait pas de fusil de chasse, j'y dépêche des hommes et je réunis un groupe d'assaut armé
Raquel: envoyer moi les infos par sms j'arrive dès que possible
Raquel raccroche le téléphone
Suarez: on a le feu vert on bouge ! 1,2,3 préparer vous !
Raquel: je ne me s'e spas très bien, tu conduis ?
Professeur: oui
Raquel: sert moi de chauffeur
*QUELQUE JOUR AVANT LE BRAQUAGE *

Berlin et le Professeur était dans un salon à Tolède entrain de boire du vin
Berlin: tout commence demain, Sergio promet moi une chose, si sa tourne mal enfuis toi, n'attend pas au hangar
Professeur: tout se passera bien
Berlin: tu sais bien que sa pourrait déraper, je n'entrerait pas tant que tu me promettra pas de leur échapper
Professeur: je ne te promet pas ça
Berlin: promet le moi maintenant, ou tu na plus de capitaine
Professeur: tu me connais, rien ne dérapera Andrés, nous sommes la résidence non ?
La vie du Professeur tournait autour d'une seul idée: résister, son grand-père qui avait lutter avec les partisans contre le fascisme en Italie, lui avais appris la chanson "Bella ciao" et il nous l'a appris à son tour
Le Professeur et Berlin se mirent à chanter Bella ciao
*DANS LA VOITURE*

Raquel: tu tourneras à droite dans 6km
Professeur: oui
Raquel: Salva tu peux aller plus vite ? Tu n'auras pas d'amende, tu fait du 40
Professeur: désolée je suis un peu lourd
Le Professeur arrivent devant la maison à Tolède ou plusieurs équipes étaient là
Raquel: attend ici
Raquel sort de la voiture, la police entre dans la maison et l'analyse
Raquel: interdisez l'entrée, à toute personne sans combinaison et non indispensable
Raquel entre dans une pièce où il y avait une table avec des bouteilles ect
Raquel: jackpote, on a un bel assortiment d'ADN, que les photographes prennent des clichés de tout, passer la maison au peigne fin
Homme: on est au dernier étages, il y a un grenier c'est dingue, vous n'aller pas en croire vos yeux regardez
Suarez: inspectrice, venez voir ça
Raquel les suit dans le second étage
Raquel: tout est sur les murs, plannings, photo, plans, toute la putain d'opération, on les tient, l'heure tourne.

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