C'est elle dont la terre appelle encore la flamme
Je rêve de vers doux et d'intimes ramages
Le désespoir ne fait plus qu'une immense ruine
Et qui, triste d'errer, cherche toujours une âme
Des vers à frôler l'âme ainsi que des plumages
Où comme un grand débris la tristesse domineA ces doux tableaux mon âme indifférente
Contemple la terre comme une ombre errante