XIV.

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Ce chapitre contiens des scène explique âme sensible s'abstenir











Après tout ça, Ayrton avait repris sa vie normal comme si rien ne c'était passé, il m'inquiétais de temps en temps...

Par exemple la fois ou on avait décidé de passé une bonne soirée avec Greg et Tamia, on était seulement 4 mais c'était suffisant pour nous tous. Une soirée entre amis quoi, puis, je sais pas ce qui c'est passé il a commencé a faire des remarques a Tamia on a essayé de le calmé avec Greg mais il avait bondis de sa chaise et c'est barré dehors en brisant tout sur son passage.

Ce petit détail était peut-être insignifiant mais il nous avait tous touché d'une certaine manière, j'ai donc commencé a le surveiller, ou plutôt a regardé ces sautes d'humeur, comme une femme lors de ses règles. Je dis ça bien sûr en toute innocence et sans arrière pensé.

Ayrton était enfermé dans sa chambre, et vue que je passe plus de temps chez lui que chez moi Greg ne cessait pas de me demandé d'aller le voir, mais je refusé toujours mais aujourd'hui j'ai pris mon courage a deux main, je décide d'ouvrir la porte et je retrouve un Ayrton allongé sur le lit dans une position gênante mais bandant à mes yeux, je peux pas m'empêcher de rougir quand je le vois torse nu et sa main dans son Jean, je m'empresse de fermé la porte mais je ne bouge pas pour autant, je le fixe avec énormément de désir, je croise les bras et m'appuis sur la porte.

Ayrton avait levé les yeux vers moi depuis un moment déjà, il s'était stoppé et devient encore plus rouge qu'il ne l'était déjà, on se fixe continuellement sans bouger, puis il décide d'enlever son Jean pour me montrer son désir qui avait enflée, puis je ravale ma salive qui fit un bruit dans ma gorge et continue de le regardé, il se lève et s'approche de moi, une fois la distance réduite nos souffle se mélangé et j'avais l'impression que mon coeur allé sortir de ma poitrine, mais je n'avais toujours pas bouger, puis il commence a me torturé le cou avec ses lèvres que je meurs d'envie de dévoré mais je suis venus discuté c'est sa le soucis, et il me fais déjà perdre la tête, après peut-être quelque minute il se stoppe et tout les désirs du monde dans ses yeux avait disparue quand il a enfin remarqué que je n'avais pas décroisé les bras et pas bougé un pouce.

Il se mord la lèvre et baisse les yeux, puis il recule et s'assoit toujours la tête baissé.

—t'as pas envie on dirait ...

Je le fixe mis un moment avant de répondre ...

—si au contraire

Il relèves ses yeux vers moi, mais fronce les sourcils .

—alors pourquoi t'as pas bougé ?

Je me mord les lèvres a mon tours ce qui le fais sourire, et qui me fais fondre au passage.

—parce-que faut qu'on discute

Son sourire avait disparue, et re-fronce les sourcils, puis avec sa main il tapote sur le lit pour m'inviter a m'assoir ce que je fis, il prit ma main et entrelace nos doigt et je le vois tapoté le sol avec son pied, il est stressé, je penses qu'il a peur que je lui dises une conneries mais loin de là, il implante son regard dans mes yeux ...

—je veux juste savoir ce qui t'arrives Ayrton ..

Il souffle de soulagement et arrête de suite après de tapoté son pied.

—tu m'as fais idiot

—je suis sérieux

Il baisse son regard, hésite un peu avant de m'expliqué.

— de puis que j'ai vue mes parents j'arrête pas de me dire : que ces Salop n'ont pas pris l'a peine pour me dire que mon grand-père était décédé... Et a chaque fois que je repenses a cette soirée je pète les plombs et j'ai envie de cassé des gueules a tout bout de champs... Je sais que je suis entrain de déconner avec tout le monde en ce moment et que je fais le con, mais.... Même si au fond de moi je savais qu'il m'avait rejeter j'arrête pas de me dire que se sont mes parents, et que avant que je leurs dises quoi que se soit sur mon homosexualité, j'étais leur fils unique, leur fierté... Et qu'il m'ont aimé, mais depuis ça ... Je réalise que c'est devenus plis compliqué que ça et que je vais devoir d'une certaine manière leur prouvé qu'il on eut tors... Et juste de pensé à sa, beh sa m'énerve !!!

Je savais pas quoi dire, j'ai lâché quelque larmes alors que lui était remplis de rancœur et de haine, je me suis donc repris j'ai essuyé mes yeux et je l'ai subitement embrassé, ce qui était violent, il ria a travers le baiser ce qui me fais sourire mais je le lâcha pas pour autant, nos langue dansé ensemble et je pour approfondir encore plus je mis mes de mains derrière sa tête, puis il se mit a califourchon sur moi et commença a me déshabiller.

—mmmh Orson, tu m'électrocute quand tu me touches, surtout quand j'ai envie comme tout de suite ...

Je souris mais l'arrêt, et il râla de plus belle et ce mis a parler espagnol comme a chaque fois qu'il râle.

—Aaaaiiiiiiih!!! Orsonito porque haces eso ?! ( aaaaiiiiiiih petit Orson pourquoi tu fais ça ?!)

Je ris alors .

—tu sais que je comprend rien a cette langue, et je te propose un truc parce-que visiblement tu es excité comme pas possible et que tu meurs d'envie de jouer avec ton zizi, es que.sa te dis . de faire durée. Le plaisir?

Il se mord les lèvres et m'écoute a lors attentivement.

—je te propose de pas touché a ton sexe pendant 3 semaine et de ne pas me touché non plus

Il me fit les gris yeux et me regarde bizarrement

—tu veux me tuer ou quoi ?

—nan nan c'est pour que quand on passera a l'action tout les deux tu puisses avoir le meilleur orgasme de ta vie !!

Il se mit a rire et me fixe en se mordant les lèvres, puis secoue la tête négativement et croise les bras toujours en riant.

—si moi je dois pas touché au miens toi non plus !!

—biens sur sinon c'est du jeu !!

—mais es que moi par exemple j'aurais le droit de te toucher ?

—oui mais tu n'as pas le droit de me faire jouir c'est phase final ça

—du coup toi aussi ?

—beh oui si tu me touche je te touches aussi logique

Puis il se mit a faire les cent pas dans sa chambre et se mit a réfléchir, peut-être pendant quelque minute je le supplié d'accepté , mais il ne disait rien puis se cale sur son bureau toujours debout et souffle, donc là je me lève et m'approche de lui et commence a torturé son cou, puis avec une main je colle a moi et avec l'autre je commence a faire des vas et viens sur sa queue.

—mmmmh ah ...ahaaah...aaah...ah !

Il gémis mais ne dis rien .

—trois semaine c'est long Ayrton ...

Disais-je sensuellement

—ah !! ...mmmh..Ah !

Je torture son cou encore et encore, et lui gémis de plus en plus, ce qui m'excite d'avantage...

—on est dimanche on peut commencé le jeu a partie de demain, donc aujourd'hui on a jusqu'à minuit pour ce faire plaisir

—Mmh !! Qu'es qu'on attend alors ?

Je porte alors et l'embrasse et je le jette sur le lit, et l'embrasse de tout mon être, je me déshabille le plus rapidement possible et on se retrouve nus tout les deux, Ayrton étais déjà bien excité alors pour évité de le faire patienté encore plus je l'embrasse de partout tout en descendant jusqu'à son pénis, il me souris et se mord les lèvres, et a peine ai-je léché le bout il se mit a gémir, et a tapé le mur le plus proche, je ris a gorge déployé voyant ça mais continue, je lèche le bout avec douceur et souffle dessus de temps en temps, il gemissais et ça me rendais heureux je veux le faire plaisir comme la fois ou il m'a fais plaisir, je veux qui cris mon nom, qu'il me dises de ne jamais arrêté, puis je gobe toute son pénis ce qui lui fais sortir mon nom et commence mes vas et vient, j'avais a peine commencé qu'il avait déjà levé ses hanches, obligé de me  redresser et de posé mes mains sur celle-ci pour les fixé au lits, puis il cris encore et encore et alors que je sentais qu'il allait jouir il me stoppe et monte sur moi et enfonce de lui même mon sexe dans son anus, je gémis a mon tour et ce mis a bouger, je souffle de frustration tellement c'est bon, je fermé les yeux j'arrivé pas a le regarder c'était une sensations tellement spectaculaire, il continue encore et encore je gémis son nom de temps en temps et puis peut-être après dis bonne minute il se mis a gémir avec moi et là je le  fixe, et puis il me torture le cou ce qui mélange toute les sensations que j'avais déjà, et peut-être 20 minute plus tard il se mit a jouir sur nous et quelque seconde après c'était a mon tour.

Je sais que c'était pas fini il n'était que 12h en plus .

AU TARTARE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant