L'ami de mon père {TERMINÉ}

Chapitre 1

Moi: -Jonathan, tu viens on va être en retard et maman s'impatiente !

lui: -C'est bon j'arrive !

Aujourd'hui, nous partons pour New York rendre visite à nos "oncles" Pete et Alexandre. On le sait qu'ils ne sont pas véritablement nos oncles et qu'ils ne sont pas totalement de bons citoyens, mais on les aime de tous nos cœurs. Je ferme le coffre de la voiture directement après que Jonathan y est déposé sa valise et je prends place du côté passager.

moi: -Aller maman nous sommes prêts.

maman: -J'ai tellement hâte de les revoir.

Nous sommes en route vers New York comme on le fait aux deux ans. Depuis la mort de mon père, Alexandre a changé quelques règles de son gang, telle que, avoir des vacances et ils appellent ces vacances les vacances de Jonathan. C'est en son honneur.

***

maman: -Aller les enfants nous sommes arrivés !

Jonathan: -Il était temps.

Je sors de la voiture en courant lorsque j'aperçois Alexandre au loin, je lui saute à la gorge et lui me serre dans ses bras.

Moi: -Alexandre !

lui: - Je suis tellement content de vous voir !

Il est comme un père pour moi. Il a beau habité dans le pays à côté du mien, il a toujours été présent pour moi et ne m'a jamais laissé tomber.

Jonathan: -Salut Casper, alors ils sont où les girls si tu vois ce que je veux dire.

maman: -Jonathan Jr. Paolino ! Si tu crois que nous venons ici pour que tu perdes ta virginité et ce avec des prostitués, tu peux te mettre un doigt dans l'œil et ce bien profond.

Jonathan: -Qu'est ce qui ne te fait pas dire qu'elle n'est pas déjà perdue.

Sans dire un mot de plus mon frère entre dans la maison. Je regard ma mère avec un léger sourire pour lui dire qu'elle ne doit pas se décourager et j'entre dans la maison en arrière de mon frère.

Moi: -Franchement frérot, tu aurais pu ne pas lui dire cela et dis-moi pas que tu vas nous gâcher les vacances.

lui: -Tu ne vois pas qu'elle dit n'importe quoi. Elle a perdu sa virginité, non pire, tombée enceinte d'un homme qui faisait partie d'une organisation criminelle et elle ose me parler de ne pas coucher avec une pute.

Il ne mâche pas ses mots. Je ne sais vraiment pas ce qui nourrit sa haine envers notre mère ces temps si. Il n'arrête pas de lui reprocher pratiquement tout, comme si ma mère n'avait pas le droit de vouloir mieux pour ses enfants.

Moi: -Je te signale que l'homme en question était notre père et ils s'aimaient. Donc, ça n'a rien n'avoir avec une aventure de un soir.

lui: -Que vas-tu me dire pour la défendre de son histoire avec Cash hein ? Qu'il la consolait ?

Moi: -Ce ne sont pas de tes affaires ce qu'elle fait de sa vie.

Lee-Anna et Pete ont eu une histoire à eux. Je ne veux pas apporter de jugement par rapport à cela parce qu'il ne s'agit pas de ma vie et de mon histoire.

lui: -Tu vois. Tu n'as rien à dire. Elle n'est pas une sainte la madame que tu prends pour ta mère.

J'en peu plus de son bla bla habituel. Il est encore jeune et il ne sait pas de quoi il parle.

Moi: -Je ne veux plus t'entendre parler et cette femme est ma mère que tu le veux ou non.

Je me dirige dans ma chambre. C'est celle de mon père et la mienne quand j'étais plus jeune. Elle me rappelle des souvenirs vagues de lui et je sais que je n'y dormais pas souvent. Je n'ai pas voulu changer la décoration, car ça me rappelle sa présence. J'ai juste enlevé mon lit d'enfant.