Chaleur imprévisible

Chapitre 11 : La brocante

Cela fessait déjà une semaine que Nathan et moi étions ensemble. Et je dois dire qu'à part ces petits moments autoritaires quand il vient à l'improviste m'obligeant à changer mes projets, ça se passer plutôt bien.
Iris était très contente pour moi même si elle reste sur la réserve.
Elle me manque beaucoup, habituellement j'allais directement chez elle quand j'avais quelques choses à lui raconter, que soit bien ou mauvais. Souvent sa ce finissait par de la glace, du chocolat où je ne sais quelle friandise sucrée devant un Harry Potter. C'était grâce à elle que j'adorais cette saga.
Maintenant je suis obligé de l'appeler, bien sûr c'est toujours réconfortant d'avoir une amie à qui se confier mais sans ça petite tête qui me fait n'importe qu'elle grimace pour me faire rire c'est beaucoup moins convivial.

Carole : Line, il y a une brocante aujourd'hui sa te dit de venir faire un tour ?

Moi : Bien sûr, je vais prendre une douche et on y va.

Carole acquiesce et sort de ma chambre. J'adore les brocantes, c'est fou tout ce qu'on peut y trouver d'intéressent. Quand mes parents étaient ensemble je me souviens que nous en fessions souvent. C'était une façon pour nous de faire une sortie en famille et de passé de bon moment.

J'entrais dans la salle de bain et pris une bonne douche. Je me dépêche pour ne pas trop faire attendre ma cousine.  Je sorti pris ma serviette et l'enroula au tour de moi. Je retournai dans ma chambre quand je vis Nathan assit sur mon lit. Son regard me déshabiller presque.

Moi : Mais qu'est-ce que tu fou la ?

Nathan : Bah je viens voir ma copine. Et on dit bonjour logiquement quand on est poli.

Il prit son petit sourire en coin, fière de lui. Il se leva et s'approcha de moi, je fis un pas en arrière mais je me retrouvai vite contre le mur. Il mit ces mains sur mes hanches et m'embrassa longuement.
Je ressentais un long frisson parcourir mon corps au simple contact de ces lèvres chaudes contre les miennes. Il se retira et caressa ma joue puis regarda de haut en bas ma tenue si on peut appeler ça comme ça.

Nathan : Tu es vraiment belle dans cette tenue.

Il avait un grand sourire moqueur qui  s'élargit de plus en plus quand il me vit rougir.

Moi : Disons que ce serait mieux si tu sortais pour que je puisse m'habiller.

Nathan : Mais je suis ton copain ?!

Il était à moitié choqué par ce que  je venais de lui dire. Dans sa voix on sentait une pointe d'humour et de frustration. Il savait que j'étais de nature réservée mais je comprenais que ça l'avait vexé.

Moi : Allez s'il te plaît.

Nathan : Non je reste sur ce lit.

Dit il en s'aseillent de nouveau sur mon lit.

J'échappai un petit grognement et partie dans mon armoire sortant un short noir, et un débardeur jaune et mes sous-vêtements. Nathan attrapa mon soutien-gorge et commença à le cacher sous son T-shirt.

Moi : Allez rend le moi !

Il me souri content de lui.

Nathan : Ok. Mais je veux un bisou d'accord.

Je m'avance et lui fait un petit bisou vite fait. Il me regarde bouche bée s'attendant à un vrai baiser comme il l'a l'habitude de m'en faire.

Moi : Et oui je suis pressée moi monsieur.

Je le dis toute fière en apercevant sa tête ce décomposé. D'un coup il m'attrape par la taille et me jeta dans le lit. Nous rigolons tous les deux et je retiens ma serviette qui ne manque pas de tomber. Il se mit au-dessus de moi et colla ces lèvres contre les miennes.

Nous marchions entre les stands. Mes yeux ne savent où regarder. De chaque côté je vis des livres surtout des romans de tout genres. Des bibelots de tout genre, des poupées de collection, de jeunes adultes vendaient les jouets de leur enfant et je m'interdis d'acheter une de leurs nombreuses peluches. Je fessai une sorte de collection de peluches, mais ne voulant pas passer pour une gamine je m'aptiens.
Pourtant je crois bien que mon secret fit percer à jour quand je vis Nathan demandé un petit loup tout gris que je ne quittai pas des yeux.
Je fusse extrêmement gênée et il  s'approcha de moi en me le tendant.

Nathan : Cadeau.

Il avait un petit sourire attendrissant.

Moi : Merci c'est gentil.

Nathan : Bah... derien... ça me fait plaisir.

C'était le premier cadeau qu'il me fessait et à en croire la gêner dans ces yeux il n'avait pas l'habitude non plus.

Carole et Mélanie ne se sont rien acheté, moi je me pris quelques romans d'aventures et de fantastique mes préférés.
Sur le chemin du retour Nathan essayé de comprendre comment je pouvais lire des livres aussi gros, quand d'un coup la sonnerie de mon téléphone se mit à retentir. Je restai bouche bée en découvrant de qui me provenait ce coup de fil....