Chapitre 1

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05 h 37 et comme chaque matin, je suis devant le miroir de ma grande salle de bain. Non pas pour arranger ou améliorer mon physique déjà très avantageux ; qui est justement la cause de mon mal être. Donc je me maquille afin de me rendre repoussant et hideux, en m'appliquant d'énorme couche d'un fond de teint et une poudre plus foncée que ma teinte initial. 

Puis j'applique du phare à paupière noir, sous et autour de mes yeux afin de me crée des poches de cernes et d'assombrir mon regard. Une fois cette routine accomplie. Je retourne dans ma chambre pour enfilée une vieille et grande chemise dont le style est complètement dépassé, un pantalon large, de vieille baskets blanches et usées. Ainsi qu'une pairs de lunette ronde et imposante ; ma crinière frisée/crépu m'arrivant au-dessus des épaules recouvrant une grande partie de mon visage.

Son oublier l'accessoire le plus important pour ma survie un bouchon d'anti-phéromone, une de mes prestigieuse création ; empêchant toute odeur de parvenir à mes narines. Ainsi aucun alpha ne peut me dominé ou me soumettre. (le bouchon ressemble à un bouchon d'anti-ronflement transparent pratiquement invisible). Car oui je suis un Oméga, avec l'apparence d'un magnifique Alpha, malgré ma petite taille.

Je descends alors dans l'immense hall pour retrouve ma sœur cadette et mes parents à table, dégustant joyeusement ces centaines de viennoiseries.

? -Le petit génie est enfin prés, dommage qu'un tel canon comme toi est besoin de privé le monde de sa beauté, déclare Lola, ma petite sœur.

Un grognement de mécontentement m'échappe et d' un ton blase et froid je m'adresse à cette chose qui me sert de famille.

Léo – Je n'ai rien à te justifier ; mêle toi de tes affaires !

Je m'assis donc en retrait, ils ne savaient rien... strictement rien de moi. Alors que par ennuie je touillais mon thé de rose habituelle, je senties un liquide parcourir ma joue droite, j'essuie discrètement mes larmes. Ne craque pas Léo, tu t'étais juré de ne pas le faire, de devenir fort qu'importe les moyens.

Sa fait maintenant un an que rien n'est pareil, que tout à change, un an que je souffres en silence, un ans que je ne rêve plu, que je ne dors plu. Un an que je me referme sur moi même sans jamais rien faire paraître... Cette année là, le Léo que j'étais autre-fois est mort, emportant avec lui ma joie, mon innocence et mon ignorance.

Lola est une Bêta tout comme mon père, Marc ; Katline ma mère est l'Alpha de la maison, celle qui prend toute les décisions avec ou sans nos consentement.

Mère- Tachez aujourd'hui encore de ne pas arrivés en retard, dit-elle en regardant sa montre, le chauffeur vous attend dehors,  faites bonne figure vous connaissez déjà les règles.

Ne pas attirer l'attention, ne pas dégradé le nom de notre famille, toujours être le premier, le meilleur de tous, ne traîner qu'avec les meilleurs et n'avoir pour partenaire, Alpha riche et de bonne famille.

Nous nous levons donc en direction de la sortie, moi d'un pas lent et blase. Lola avais déjà dépassé le pas de la porte d'entre, sûrement déjà bien installer dans la limousine.

Mère- Léo ! Je m'arrêta nette, préparer toi, ce soir tu as une séance photo pour une marque réputé tache de ne pas nous faire honte.

Je ne prend même pas la peine de lui répondre et part rapidement en claquant fermement la grande porte d'entrée. Putain ! Putain ! Putain ! Ils ne désire que sa, mon corps, mon corps et toujours mon corps, laissant c'est gros porc fantasme et commettre leur obscénité sur mes clichés.

Tout au long du trajet, je n'es point détourné les yeux du paysage citadin défilant à travers m'a vite, le véhicule s'arrête, signe que nous sommes arrivés à destination. Je jette un rapide coût d'yeux à Lola, et constate les tremblement des ses mains et les perles de sueur au-dessus de son front. Je sais à quel point mon comportement et cette distance que j'impose entre elle et moi la blesse. Mais malgré tout Lola reste ma petite sœur, elle met si précieuse. 

Pour la rassuré et lui donner espoir, qu'un jour sûrement nous redeviendrons fusionnels. Je prend l'initiative d'entrelacé nos doigts ; avant de porté le dos de sa petite mains gauche contre mes lèvres.

Je sens mes joues chauffé, nos regards ce rencontre, ma petite Lola est rouge pivoine ce qui à pour dont de dessiné un lège sourire au coin de nos lèvres. 

Nous finissons enfin parsortir du véhicule pour rejoindre nos classes respectifs je suisactuellement en terminal A, classe réserver au surdoué et qui estmalheureusement composes d'Alpha, beaucoup deprivilège nous son accordé. Nous sommes ''les plus populaireset les plus respectés'' mais je fais exceptions. Lorsque jepénètre le seuil de la porte d'entrée ; les rires et lesboulettes de papier fusent sur moi.

Con°1 dont le nom m'importe peu: - Le rat est revenu !

Con°5 près de la porte: -Toujours aussi laid, j'ai des adresses de chirurgiens pour toi.

Connasse habillée en beurette: - Si tu n'a pas les moyens je suis près à payer pour toi juste pour voir ce que ta carcasse immonde peu devenir.

Et c'est en soupirant que je viens m'installe à ma place habituel, c'est à dire au premier rang ; le professeur ne tarda pas arrivé, c'est parti pour deux heures de mathématique.

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Pdv de Lola

Je suis en seconde B classe tout a fait banale, arrivant juste attend pour saluez tout le monde et m'asseoir au près de Ombre ma copine. Un jolie Alpha bien dans les formes, cela ne faisais qu'a peine 3 mois que j'étais arrivée ici et déjà Ombre partageait ma vie. Elle porte une jolie robe court, aux épaules dénudé la tentation était trop forte ; mes lèvres ce déposèrent naturel pour embrasse son épaule puis son cou.

Son petit sourire malicieux vient ainsi illuminée cette longue journée.

Tu t'en brûlera les yeux (En Cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant