Chapitre 10

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Pdv de Nathan :

1 h 30 était passé, j'avais réussi à calmé et à endormir Léo tel une princesse plonger dans un éternelle sommeille. Il est actuelle 15 h 40.

plus que 3 h avant que l'établissement ne clos ses énormes barrière de fer. Je sorti de la chambre de repos laissant ainsi cet belle au bois dormant au calme, et je pris avec enthousiasme mon téléphone. Je me trouvais dans un tel état d'euphorie que mes geste en était maladroite, peinant a compose ce petit numéro si simple dont je connaissait les chiffres par cœur.

Après ce qui me sembla être une éternité je réussi à lancer l'appel ,en espérant que la nouvelle mettra du baume au cœur à Lola.

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Pdv de Lola :

(Appel)

Lola > Oui ! Allô ! soupirai-je lace et fatiguée de cette longue et ennuyeuse journée.

Nathan < Tu ne vas pas me croire Lola ! mais il est ici ! Là sous mes yeux, à t'attendre.

Mon cœur manqua un battement, comme si tout l'oxygène de ce minuscule studio 1 pièce, venant de ce volatilise. Parlait-il réellement de mon Léo ? Suis-je entrains de rêve ? Est-ce une blague ou un signe du destin ?

Nathan < Dépêche toi, de venir le voir ; il t'attend !

Malgré la joie et l'énorme soulage procurer par cette nouvelle, une goûte d'eau amer remplis de mélancolie, glissa le long de mes joues, très vite suivi par une centaine d'autre. Mes jambes tremblotaient, n'ayant plus la force de soutenir mon petit corps frêle, me forçant à m'agenouiller sur ce carrelage froid.

Autre fois d'un blanc perle, maintenant ancré et immaculé d'une multitude de couche crasseuse profondément installer affure à mesure dès années. Mon cœur tambourinais à mon briser mes côtes, la douleur était si intense que mon autre main vient instinctivement compresser ma poitrine. Alors que des cris de douleur et de détresse m'échappaient.

Lola > Je n'y arriverai pas ! Je ne peux pas , Nathan....Je ne peux pas.... Comment arriverai-je à me montré ainsi devant lui ?....

Nathan < Que veux-tu dire par la....le ton de sa voix qui tantôt était joyeux et enthousiasme, perdit de sa vivacité, abordant également une touche d'incompréhension.

Lola > As-tu réellement vue mon apparence, non ?.... Je perd mes putain de cheveux, j'ai perdu tellement de poids que les contours de mes os se dessine à travers ma peau, que mes joues anciennement bombé et dodu ne le sont plu. Je me sens fatigué tellement que je peine à me tenir debout...Je n'y arrive plus Nathan.... Que va-t-il on pensé ; on me voyant ainsi, je lâcha un rire ironique au vue de la situation.

Lola > Veux-tu réellement le voir malheureux ? Qu'il se sente coupable ? Qu'il voit lutté pour survivre ? ....Sans toi qui sais où j'aurai pu atterrir.....Mais pour l'instant...Je ne suis pas prêt à le revoir, je veux qu'il garde de moi la fille forte et débrouillarde que j'étais... Et non pas celle que je suis actuellement...Merci Nathan, merci pour tout.

Je pris l'initiative de raccroche sans attendre une quelconque réponse de sa par. Je me hissas avec difficulté à l'aide de mes bras sur mon matelas placer à gauche, à même le sol. Tout en essayant de me calmer, je regarda une dernière fois mes avants bras marques, d'une multitude d'entaille, certaine plus profonde que les autres.

Tu t'en brûlera les yeux (En Cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant