Chapitre 4

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Pdv de Lola :

19h30

Réunis autour de la grande table, bien garnie nous dégustions les délicieux plats préparer par le cuisinier tel que du homard et de la soupe de champignons aux turfs. Installé à ma gauche, j'admirai Léo manger sa salade ; étant un grand mannequin, mère ne lui laissait manger que très peu de chose.

Voir son assiette aussi vide me tordait littéralement les boyaux, malgré tout mes yeux ne voulais points se détachez de lui, de sa beauté si fascinante. Il paraissant pensive, en suivant les directives de son regard froid et accusateur ; je remarque que celui-ci s'abattaient sur mère, qui ce soir était bien trop pâle et silencieuse à mon goût.

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Pdv de Léo :

20h00

Il était maintenant temps dallé a l'atelier de photographie et ainsi découvrir la personne capable de faire tremble l'Alpha de la maison. Je me lève de table très vite suivie par mère qui n'avais rien mangé de son assiette, elle regarda père avec un air amer avant de elle aussi sortir de la demeure.

Installés dans une grande Mercedes noir aux vitres teintées ; le chauffeur nous conduits au lieu designer. Après 30 minutes de route, nous arrivons devant l'immense gratte-ciel aux parois vitrés de l'agence de mannequinat ; rendez-vous au 70éme étages. Cela fait maintenant 12 ans que je connais ce lieux comme ma poche ( a commence le mannequinat à l'age de 3 ans ), elle est devenu mon second foyer.

Chaque employé me connaissais encore mieux que je ne me connais moi-même.Nous pénétrons l'entrée des portes coulissante, surveiller par les gardiens de sécurités Louis et Loris que je salue d'un simple mouvement de la tête, qui mais très vite rendu.

Et c'est avec confiance que je guide la marche, je fus très vite rejoins par Lise mon manager et assistante de toujours, à peine âgée de 34 ans et qui pourtant ressemblant à une jeune adolescente de mon age.

Lise- Salut salut.

Léo- Ouai bonsoir, répondis-je de mon habituel ton blasé, tout en guidant la marche jusqu'à l'ascenseur.

Lise- Dit elle a crois ta mère ?, me chuchota-t-elle discrètement.

Je me retourne donc pour regarder cette causer perdue, et la pâleur blanchâtre de sa peau me surprit, elle transpirait à grosse goûte, et tremblant frénétiquement, claquant même des dents, le regarde perdu vers le sol.

Je soupir d'incompréhension, qu'est-ce qui pouvait bien la mettre dans un tel état ? Arriver à notre étage nous nous-dirigeons directement vers ma loge. Où je me déshabille sans complexe devant le staff, Lise me tendit un boxeur classique où la marque Louis Vuitton y était inscrite.

Léo- Collaboration avec Louis Vuitton c'est sa ?

Lise- Ta tout compris petit. Dit toi que ce que tu tien être les mains à une valeur de 540 € donc fait attention.

Léo- 535 balle seulement pour l'écriture de la marque tu veux dire, cette vie me fatiguer, rétorquai-je en levant les yeux au plafond.

J'enfile le fameux boxeur, les maquilleurs et tout le staff charger de ma préparation ne tarda pas à s'occuper de moi. Tout ces mains sur mon corps me dégouttait et fessais resurgir en moi de mauvais souvenir ; une l'huile légèrement dorée était tartiner sur mon corps. Marquant encore plus les lignes et le contour de chacun de mes muscles.

Léo- Plus les années passer et plus les vêtements qu'on me fait porter son court et transparent...

Et c'est d'un pas lasse que je me dirige devant le photographe, je m'installe sur le fond vert, je fus asperge d'eau, sur le torse, les bras, et le bas du corps. L'huile présent sur mon corps donna à l'eau un effet luisant.

Je prenais des poses alléchante tout en abattant mon regard sauvage et dominateur vers l'objectif

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Je prenais des poses alléchante tout en abattant mon regard sauvage et dominateur vers l'objectif. Alors que la séance débuter je senti un regard plein de luxure, me contempler avec envie, tout mon antre frissonna en me hurlait de fuir. Et que si je ne le faisais pas tout de suite, je mon prendrais plein le cul.

Mon intestin me poussa à regarder les issus de secours au cas ou la situation dégénérait, mais je fus malheureusement surprit de voir un groupe d'une dizaine de garde du corps armés jusqu'aux dents. Positionné devant celui-ci.

{ Mais dans quoi me suis-je encore embarqué ? }

Tu t'en brûlera les yeux (En Cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant