Tu t'en brûlera les yeux (En Cours)

Chapitre 8

Bonne lecture à vous jeunes padawane !

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Pdv de Lola

Engouffre dans un noir profond, qui peu à peu ce retrouva transpercer de rayons lumière, brisant ce sombre et triste décore pour laisse paraître ce lieu qui met malheureusement bien trop familier. Je me laissa donc traîner des pieds agace de cette routine, je traversais les longs couloir avec une lenteur démesure. Ce lycée était ma prison, ce lieu où clairement ma présence rebutai.

{ Encore un jour en enfer }

Les murmures, très vite devenu cris, insulte, et cracha , j'étais devenue la bête de foire, le spectacle de distraction. Je n'osais point détourner les yeux du sol, qui tout à coup me semblait fort intéressant.

?1- Ta prévu quoi aujourd'hui ?

?2- Rien qui te concerne ; et arrête de me suivre ! répondis celui-ci d'un ton froid.

?1- Mais tu m'as qu'on même répondu, heinvas-y avoue, je sais que tu m'adore ~

2 voix que je connaissais parfaitement me sortie de ma contemplation, mon regard ce dirigea instinctivement vers eux. Mon cœur s'arrêta nette, ratant quelque battement, avant de revenir au galop plus vivace que jamais. m'extirpant également quelque larme de joie et de soulagement. Je me m'y alors à courir vers eux comme si, vie en dépendait.

Lola – Léo ! Nathan ! ....Attendez moi s'il vous plait, hurlai-je de toute mes forces, sans pouvoir arrêter mes larmes.

Mais aucun d'eux ne semblaient m'entendre, je courais de toute mes force, les bras tendus vers l'avant en essayant de les attrapés, ne serai-ce que pour les touches. Ils étaient à peine à quelque mettre de moi, et marchaient à un rythme incroyablement lent.

Lola – Léo ! Léo ! Tu m'as tellement manquer si tu savais...

Pourtant rien n'y fessais la distance entre eux et moi ne se réduisant point. Si près, mais à la fois-ci loin de moi. Les autres étudient commençaient à rires, on les regardants je constata la noirceurs de leurs visages difforme et inhumaine où seul leurs large sourires et leurs yeux rouges et terrifiant étaient visible. L'atmosphère de ce lieux froid et inquiétant m'extirpa des frisants de peur, je regarda de nouveau vers mon frère et le bêta maladroit, qui peut à peut disparaissait, devenant de plus en plus translucide.

Lola – LEEOOOOOOO !!!!!!!!

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Je me réveilla en sursaut, couvert de transpiration, la respirations haletante, et complètement désorienté. Après quelque minute, je réussis à me calme et reconnue ma chambre plongé dans le noir. Je sentais de l'humidité sur mes yeux, signe que j'avais pleurée dans mon sommeil.

La remémoration de ce rêve continua à me faire verser des larmes. Je me tourna à droite pour regarder mon réveiller poser sur la table de chevet et constata avec effroi qu'il était 2h15 du matin. Je n'avais malheureusement plu envie de dormir, alors je me contenta de regarde vaguement le plafond blanc, savant déjà que ma journée risquerai d'être très longue.

{ Déjà 15 jours sans toi }

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Pdv de Léo :

Un mois était passé et nous venions à peine d'emménager dans une demeure confortable et rustique, à 15 minutes de mon lycée. Malgré les plaintes indigner de l'Alpha j'avais beaucoup insister pour celle-ci.

Kay- Putain je le savais elle est vraiment trop petite ? Dit-il on ronchonnant et en détaillant la petite maison sous toute c'est couture pour lui trouver le moindre petit défaut.

Léo- Si je n'avais pas insisté pour celle-ci, nous n'aurions jamais avance, un soupir de fatiguer m'échappa. Quoi tu réellement pouvoir trouver un manoir de 7 chambres accompagner d'un immense jardin dans le centre ville !

Kay- Rien n'est impossible ; ou je l'aurais fait construire....il vient ensuite enlacer ma taille, collant son énorme torse contre mon dos, sa tête contre ma nuque. Il nous faut beaucoup de placer pour nos futures enfants, chuchota-t-il amusé en collant son sexe dur contre mes fesses.

Tout les muscles de mon corps ce raidir sous le choque.

Léo- EHH ! J-j'ai mes règles, je me sens vraiment mal, réussi-je à dire en me dégageant de sa priser tout en me tenant le bas ventre pour accentuer mes dires... De plus je n'ai pas envie d'arriver en retard au lycée, je pourrais enfin revoir ma sœur tu comprends à quel point j'ai hâte,expliquai-je en fouillant dans le petit dressing........ J'ai pas de vêtement, finis-je enfin par remarqué.

Kay- Ton n'a pas besoins.

Il vient ensuite cherche un, je ne sais quoi dans un tiroirs, pour en ressortir un string blanc à dentelle, le sourire aux lèvres.

Léo- Hors de question ! Mes fesses soufrent déjà asses !

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.....Je ne sais comment, mais 5 minutes plus tard je m'étais retrouver habiller d'un jean slim noir, d'un énorme sweat blanc, m'arrivant à mi-genoux et d'une paires de chaussures neuves....Sans oublier le fameux string, qui malgré tout mes efforts retrouvais sa place entre mes deux montagnes de chaires. Je lança mon regard le plus accusateur et froid s'abattre sur ce salop.

Kay- Quoi ?! Je n'allais tout de même pas te laisse te défigure à ce point ! Tu es beau, et magnifique pourquoi le caché ? De plus Je n'es rien à craindre puisque t'es à moi.

Léo- C'est bien sa le problème..Ma beauté est une malédiction, lui dis-je en soupirant tristement tout en sortant de la demeure, de mauvais souvenir venais de réfère surface.

Un dès 2 gardes du corps que Kay avais emmener avec nous, m'ouvrit l'une dès portières de la Medersas rouge, ou je viens m'y glisser. Le conforts était tel que je m'endormis, rattrapant ainsi mes heures de sommeil de la nuit précédente.

Lorsque nous fûmes arrivent, le chauffeurs dont je ne connaissais toujours pas le nom me réveilla. Je sorti alors de la voiture plein d'euphorie tout en détaillant chaque étudiant, je m'avançais dans l'enceinte dès lieux le sourire au visage. Malgré tout les regards admiratifs et les odeurs de phéromones sexuelle qui avais pris possession dès lieux.

Après 20 minutes de recherche intensif, toujours aucune tracer de Lola.

?- Léo ? Ces bien toi ?, dit-il on posant sa main sur mon épaule droite m'extirpant un hoquet de surprise et de douleur, les morsures de ce salop ne voulait pas cicatrice.

Léo- Ah oui, c'est toi le gars bizarre de l'autre fois...Dis tu n'aurais pas vu ma sœur, enfin Lola, lui demandais-je désespère.

Nathan- ........ Elle a arrête les cours.....Elle ne vient plu au lycée.....

Léo- N-non !!! Sa ne pouvais pas être possible ! Répétai-je pour me convaincre du contraire, alors qu'une cascade de larme dévalais mon visage.

Je senti mon corps trépassé, m'effondrant sur mes genoux alors qu'une horrible migraine et diverses sensation douloureuse me submergeai. Très vite je remonta les manches de mon sweat et commença frénétiquement à griffé et déchiré ma peau me rappelant de ces choses sales que j'ai subit. Je me sentais souillé ; impur et tellement sale, au point de voulais m'arracher la peau, tout mon être tremblais, et hurlais de tristesse, je ne pouvais plus me calmé. Puis plu rien, a par du noir....Un noir froid, rempli de solitude, et de tristesse, qui nous confronter à nous-même, à nos pires cauchemars, à nos pires souvenirs, et à nos propres penses.