Tu t'en brûlera les yeux (En Cours)

Chapitre 5

Désoler du retard, j'ai écrit plusieurs version de ce chapitre j'espère vous transmettre beaucoup d'émotions. bonne lecture !

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Pdv de Léo :

Panique je me mis à cherche mère, afin de pouvoir comprendre la situation, mais celle-ci ne ce trouvais plus dans la salle. Mon regard ce porta alors vers le jeune homme, dont un large sourire amuser bordait c'est lèvres pulpeuse. Sa carrure était plus imposante que la mienne, du haut de met 1m69 je regardais ce colosse ce rapprocher de moi.

Alors que je tournais les talons pour essaye de fuir l'Alpha, 3 de hommes de main me barrer la route. Je me mordit la lèvre avec rage, tandis que des perle de sueur froide dégoulinait de mon front.

Léo- Qui êtes-vous ?! Sortez immédiatement d'ici ?! Hurlai-je en espèrent pouvoir me faire obéir.

Alors que mes poumons ce vidais sous mes crie, l'Alpha me pris sur son épaule gauche nécessitant point à poser son autre main sur mon fessier. Fous de rage je me mis à griffe le dos de sa chemise, qui céda sous mes assaut me permettant maintenant de m'attaquer a sa peau couleur basanée.

Léo- Retire t'es sale et misérable doigt sur moi ! Sale Alpha de mes deux couilles ! Dis-je alors que mes ongles découpais ses chairs, laissant abondamment coule son sang jusqu'au creux de ces hanches muscles.

J'entendis mon agresseur grogner de douleur, il finis par me jeter avec violence contre un sofa. En scrutant la salle, je reconnu ma loge, mon regard s'abattait avec haine sur le mystérieux salopard qui venais de s'asseoir à mes cotes avec nonchalance.

Léo- Vas-y connard fait comme chez...débutai-je alors qu'un raclement de gorge, m'interrompue.

Provenant d'un homme âgé aux cheveux blanc vêtis d'un costume blanc luxueux, et d'une cane en bois d'ébène paré de rubis, il nous tournait le dos, admirant le paysage panoramique que nous fournissais la baie vitrée.

L'homme âgé – Ta mère a des choses à te dire petit.

C'est alors que je remarqua ma mère assis juste en face de nous, voulant sûrement ce faire le plus minuscule du monde.

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Pdv de la mère ( Katrine):

Pourquoi ai-je fais ça ? Si seulement, si seulement je n'avais pas été si conne ! Cette haine voué aux Omégas ma poussée à te haïr dès ta naissance.

Les larmes ne s'arrentaient pas de coulé ; je n'es point la force pour regarde mon fils, pour tout lui dire. Mes poumons et ma forge se serres torde par la douleur et le regret.

Katrine – J..Je suis vraiment vraiment désolée, si tu savais a quelle point je regrette mon fils.

L'homme âgé – Dépêchez-vous ! , dit-il froidement en regardant sa monter.

Katrine – O-Oui monsieur ....je pris une énorme bouffé d'oxygéner avant de démarrée mon histoire. Lors de ma premier grosse, ton père et moi n'avions pas les moyens de t'élève... Malgré tout Marc, ton père.. A insiste pour que je te garde... Quel ne fut pas mon étonnement et ma déception lord de la première échographie de savoir que tu était un Oméga suprême (Normalement l'espèce est déterminer à l'age de 5 ans). J'ai voué une énorme haine pour toi, maudissant la vie pour chaque seconde ou tu respirais en moi.

Mes mains viennent par inadvertance ce poser sur mon ventre comme si mon petit Léo y était encore avant de serre avec rage et dégoût mon chemisier.

Katrine – Nous n'avions rien, à l'époque, rien....Alors j'avais entrepris de te ventre dès ta mise au monde....Sans que ton père ne le sache, je t'aurais fais passé pour mort auprès de lui.... C'est alors que j'ai rencontré Monsieur Jean HEROP ( J'avais pas d'inspiration ).. Un riche homme d'affaire international, possédant de nombreuse compagnie, et magasin de luxe...Comprenant... m'a situation il avais accepté de t'acheter pour son fils..Un Oméga suprême était une très rare. Malgré tout le contrat était de t'élève jusqu'à ta majorité d'Oméga....Chaque mois nous recevions des sommes astronomiques pour que j'aimais tu ne manque de rien....

Je repris ma respiration pour continuer mon récit.

Katrine – Il ce trouvais que... Tu avais des caractère intellectuelle et physique surpassant tout les Alphas ... Et très vite tu fus repère pour ta beauté... Devenant vite célèbre.... Si tu savais à quelle point je regrette.. Je n'es pas su t'aime à ta juste valeur,mes larmes recommencent à couler abondamment, me brûlant les yeux... Tu as tellement apporter de joie dans nos vie.. Et nous a permis une vie luxueuse .... Comme le dis le dicton c'est quand l'on perd quelqu'un que l'on ce rend compte de son importance, dis-je en me levant, mon sac à la main tout en me dirigeant vers la sortie...

Léo - Mère !...mère ! Ne me laisse pas ! Hurlait-il désespéré alors que je m'éloignais.

Katrine – Pardonne moi, dis-je une dernière fois alors que mon cœur meurtrie me hurlais de faire demi-tour pour l'arracher de leurs griffes...Mais tout ceci est impossible, je risquerais sois de finir en prison ou assassine.

Chaque pas loin de lui, mettait douloureux. Arriver au parking je me glisser dans la limousine ; tout au long du retours mes larmes ne voulais point s'arrête.

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Pdv de Lola :

Ayant pour habitude d'attendre le retour de mon frère et de ma mère à chaque shooting ou événement, dans le salon. Lorsque j'entendis le clic de la porte d'entrée ; signe que celui-ci était actionné je me précipitèrent vers celle-ci, pour sauter sur la première personne venu. Je fus tout d'abord surpris de découvrir que pour une fois mère était la première à traverse la porter.

Voyant le sale état dans le quel mère ce trouvais et ne voyant toujours pas la venus de Léo. Je fronce les sourcils d'incompréhension.

Lola – Maman où est Léo ?

Katrine - Pardonne moi ma puce, pardonne moi... Nous avons tout perdu... dit-elle on ce remettant à pleurer de plus belle, avant de perdre connaissance dans mes bras, m'emportant également dans sa chute.