Second Degré

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Aucune parole n'a été échangée. Adrien ne supporte plus de se retenir avec elle, il veut passer à la vitesse supérieure, même si cela aura des répercussions pour plus tard. Mais comme c'est indiqué, c'est plus tard ...

PDV Adrien

Je ne veux plus répondre moi-même, je laisse mon désir guider mes gestes. De même pour la belle jeune fille face à moi. Rapidement, elle entoure ses bras autour de mon cou et j'enroule les miens autour de son corps et la serre fort contre moi.

Sa bouche s'emboîte si parfaitement avec la mienne que l'on pourrait croire qu'elles ont été créées pour être unies.

J'introduis ma langue dans sa bouche et elle rencontre la sienne qui se présente plus timidement.

J'aime la rendre frêle et innocente. C'est d'ailleurs cette innocence qui a éveillé mes plus bas instincts. Ceux que je refoulais depuis deux ans en me répétant que je ne devais pas ressentir ça pour une amie. Que ce n'était qu'un fantasme qui avec le temps finirait pas disparaître. Mais non. Il est présent, il n'attend plus qu'à exploser comme un volcan effusif.

Notre baiser s'arrête, elle recule sa tête, ce geste me fait lâcher un grognement. Nous étions bien, pourquoi l'arrêter ?

_ Qu'est-ce qui te... te... euh... Souffle-t-elle en relevant son regard vers moi.

_ Chuuut... Je souffle en plaquant à nouveau mes lèvres contre les siennes.

Je glisse mes mains sur ses cuisses et force ses jambes à s'enrouler autour de ma taille. Sans attendre, je l'emmène vers le lit et l'allonge délicatement dessus. Au-dessus d'elle, je glisse une main aventureuse sous son haut et rencontre la naissance de ses seins, je m'accoude avec l'autre en plongeant ma langue plus profondément dans sa bouche.

Tendrement, je descends mes baisers dans son cou et suçote cette partie fragile qui la fait soupirer de plaisir. Mes lèvres étirent un sourire fier contre son corps alors que j'aspire sa peau afin d'y laisser une marque.

Elle m'appartient pour cette nuit, peut-être la seule. Alors, je ne compte pas me retenir et même le refaire dix fois s'il le faut. Pour laisser mon empreinte autant dans son esprit que sur son corps. Elle reviendra vers moi si elle est suffisamment marquée. D'après Nino c'est le secret.

"Fais en sorte à ce que cette nuit soit inoubliable. Comme ça, t'es sûr de la revoir venir vers toi." M'avait-il conseillé.

J'espère que son conseil va marcher, je ne veux pas qu'elle m'oublie ou pire, qu'elle ne soit pas satisfaite et donc qu'elle parte voir ailleurs. Rien que de l'imaginer avec un autre me fait froncer les sourcils et serrer la mâchoire. Je suce plus intensément sa peau pour approfondir la sensation sans faire attention à ses gémissement mi douloureux et mi passionnés.

Plus des images de son corps contre un autre jaillit dans mon esprit et plus mes gestes sont rapides et brusques. Je glisse ma main vers son pantalon, je défais rapidement le bouton et la fermeture éclair, ma main franchit la barrière de l'élastique de sa culotte et retrouve ses lèvres génitales déjà trempées. Je vois que je lui fais de l'effet, intéressant. J'introduis sans prévenir un doigt dans son entre et elle se cambre en quittant mes lèvres de quelques millimètres, je sens à peine son souffle qu'elle balance sa tête en arrière pour ressentir un maximum mon doigt venir dans son vagin. Et pour intensifier son plaisir, je rajoute un deuxième doigt en accélérant les allers retours.

Sa bouche s'entrouvre et y soupire des souffles de plaisir qui ne font qu'exciter mon entrejambe déjà très douloureux. La fine couche de vêtements qui le recouvre semble déjà être de trop, je n'imagine pas le moment si exaltant que je vais ressentir par la suite.

Tendrement, ses doigts tirent sur la racine de mes cheveux ce qui encourage mon excitation déjà bien présente.

_ Tu aimes ça, hein ? Je lui demande d'une voix suave, trahissant mon désir trop présent.

_ Humm... Adrien... Gémit-elle.

Il ne m'en faut pas plus, je retire mes doigts et me redresse, je me débarrasse de mon boxer trop serré et lui retire son pantalon d'un geste, il emporte sa culotte à la volée et même ses chaussures se retirent. Marinette se charge, sans être rouge pivoine de retirer son haut et défaire son soutiens-gorge en se redressant.

J'écarquille à la vue de sa poitrine ronde, rebondit avec ses tétons rosées par la densité de ce moment premier.

Deux minutes plus tard, guidé par mon pénis, je l'introduis sans réfléchir. Marinette se cambre en posant ses mais sur sa bouche pour étouffer un cri douloureux. J'écarquille les yeux et me fige.

Attendez... Elle est encore vierge ? Je... Je viens de lui prendre sa virginité d'un coup... Comme ça ?...

_ Désolé, je t'ai fait mal ? Je demande d'une voix inquiète.

Elle hoche doucement la tête en essayant de se faire à ma présence. Puis, après quelques minutes d'attente elle rouvre les yeux et enroule ses bras autour de mon cou puis m'embrasse. Je prends ça pour un feu vert même si je suis encore sous le choc et mouve en elle lentement. Pour ne pas lui faire mal, j'essaye de ne pas trop approfondir mes coups de reins.

Contrainte à devoir supporter cette douleur, elle plante ses ongles dans mes épaules en m'embrassant avec plus d'intensité. Cette douleur lui coûte beaucoup, je le vois bien, c'est pour ça que je décide de me retirer malgré le plaisir qui me remplie, avant de jouir. De belles prunelles azur croisent mon regard en me fixant d'un air étonné.

De toute façon, je ne peux profiter de ce moment en sachant pertinemment qu'elle n'éprouve pas les mêmes sensations que moi. Chaleureusement, je lui souris et la prend dans mes bras. La lumière s'éteint et nous restons enlacés dans le silence pendant un moment. Son corps frêle à la peau d'une douceur de satin m'apaise. Dans ses bras, j'ai l'impression de revivre. J'adore.

_ Merci... Murmure-t-elle à mon oreille avant de s'endormir dans le noir, contre moi à mon plus grand bonheur.

Je dépose un délicat baiser sur sa joue puis me relève, laisse tous les vêtements gisant au sol et la porte pour ensuite la glisser sous la couette, dans mon mouvement la lumière se rallume. Après ça, je ne prends pas la peine de me rhabiller et me glisse sous la couette derrière elle. J'enroule mes bras autour d'elle et colle son fessier contre ma partie. Son dos se colle contre mon torse puis la lumière s'éteint à nouveau. Le sommeil vient me submerger même si je n'ai pas eu mon orgasme.

Tout cela n'a pas été sans effort.

Les bras de Morphée me récupèrent et je plonge dans un lourd sommeil avec celle que j'aime dans les bras.

🤡🤡🤡

Coucou ! 👻

Wouaw, on peut dire que la première fois n'a pas été aussi mémorable qu'on aurait pu le croire. La suite s'annonce compliquée pour nos deux amants.

J'espère que le chapitre vous aura plu ! 🤧

Gros bisous ! 😘😘😘

[ Chapitre corrigé ]

Voyage sexuel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant