Défoncé

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Pdv Izuku

Mais putain ce qu'il est bavard maintenant. Il ne pourrait pas ce la bouclé mais merde quoi t'es questions en s'en fou.

Oui j'habite ici, tu veux l'adresse ? J'ai même les coordonnées exacte si ça t'intéresse ?

BA NON DU CON !!! je vais pas me compromettre comme ça. Tu me prend pour le pire des bleus.

Je lui réponds ironiquement mais il continu. Je m'impatiente rapidement et m'arrête.

Tien il est deja l'heure ? Il est là ?
Tant mieux, je ne m'en plain pas tout. Je laisse échapper un rire franc et massif. Heureusement pour moi, dans sa réflexion, Katchan n'a rien entendu. Les role se sont échangé : il marmonne et je le tue ! Cool comme programme.

Je le tue ... Je vais le tuer. Enfin je vais ... Le tuer !!!

PUTAIN CE QUE J'AI HATE ! TU VAS SOUFFRIR ? TU VAS APPRENDRE A ME RESPECTER COMME UN CHIEN ET QUAND JE NE M'AMUSERAIS PLUS TU M'OURRA PAR MA MAIN ! OUI MES MAINS DANS T'ES TRIPPES !

J'AI HATE !!! J'AI HATE !!! J'AI HATE !!! J'AI HATE !!!

JE VEUX LE TUER ! MAINTENANT !

Mon sourire s'agrandit tranchant mon visage d'une expression malsaine et m'amusé, le rouge me monte aux joues et ma respiration accélère. Mon envi monte avec une excitation qui me fait trembler. Une pulsion meurtrière m'envahis.

Ma proix avance vers nous timing parfait !

Dès que le type passe derrière moi je lui donne un coup dans la nuque.

Avec le peu de force et la vitesse que j'y ai mis l'homme s'évanouit en crachotant du sang. Je tourne mon regard. Katsuki n'a rien vue. Bon c'est fait exprès mais j'aurai pensé ... ou plutôt apprécié qu'il ai vus l'attaque. S'il ne sait pas faire sa alors sa promet pour la suite. Je soupire lèrement déçus. Dans un claquement de langue je m'approche du future cadavre et lui met le coup de grâce avec le couteau du l'inconnu que j'ai bousculais.

Tien il pleure. Vraiment ?
Putain d'enfoiré maintenant tu pleures. C'est une blague !

Je me relève, serrant les poings. Et lui ... lui il appuis sur la plaie. Totalement inutiles ! Et crier l'est encore plus. Il attire l'attention ce débile mentale. Dans un grognement interne je me retiens de le frapper. Je vais lui faire comprendre alors ... mais avant on doit rentrer. Alors je prends un sourire mielleux qui est en opposition avec ma fureur.

«c'est trop tard Katchan, il est mort. Je t'expliquerais pourquoi lui et tout le reste comme promis mais comme je te l'ai dit : on est libre ici, plus que tout au monde et personne ne dois de compte à personne. Sauf en gage MS S ou AE, sa par contre c'est top secret pour les perturbateur extérieur. Tu ne sauras que le principal. Alors tu comprendras qu'un mort parmi tant d'autre ... ca ne pèse rien. Mais tu sais ... je te comprends ! Pour moi aussi c'était dur au début. Tu es secoué alors on va vite rentrer et je vais t'aider à te lever.»

Je finis par planter la seringue et le produit fit assez rapidement son effet.

Je le porte jusqu'à mon appartement. Et pour l'une des premières fois j'ouvris la pièce de droite. La petite porte près de la salle de bain. Ce devait être une chambre alors ce sera la tienne.

Je le pose et l'attache à une chaise. Prépare quelques outils sur une table puis repart.

Je me retrouve dans le salon. Je souhaite juste passé la soirée au calme. Et ces allongés dans mon canapé que je comptais fixer le plafond grisâtre.

Je m'engourdissais pris dans mes pensées, reprenant le fils de ma journée, de mes actions, tous au ralentis. Aucune erreur ne dois être commis, j'ai mis trop de temps pour l'avoir rien que pour moi.

Soudain, la porte s'ouvrit à la volé chassant toutes idée de réflexion.

Une jeune femme était dans l'encadrement de cette porte, encore accroché à la poignée. Elle avait de long cheveux noir ondulé qui tombé en cascade sur ses fine épaules. Ils encadraient parfaitement son visage, faisant ressortir ces yeux bleu claire presque gris qui faisait perdre la tête à tous ceux qui les croisait. Ce regard qui signifiait beaucoup de chose et qui pourtant était tellement vide, d'émotion, de son passé et de tout future.
Elle portait un top blanc qui laissait voir son ventre plat et un short en jean bleu claire. Ses chaussures de 18 cm faisait gémir les pauvres personne qui avait le vertige et pour ce couvrir du froid de la nuit d'hiver, elle portait un "manteau" long en mousseline, manche aux trois quart retroussé, kaki. Vu le temps n'importe qui aurait éternué par un simple coup d'œil. Mais elle et moi savions qu'il n'y avait rien de plus amusant que de défier les saisons.

Elle était essouffler et s'approcha d'Izuku un air colérique sur le visage. Elle s'arrêta devant le sofa se penchant pour croiser son regard à cinq centimètre à peine.

« - c'est une nouvelle couleur Chieko. Elle te va très bien. Cela étant dit pourrais-tu, s'il te plait, viré tes cheveux de mon visage, au risque de te les faire couper.
- tu ne devineras jamais ce qu'il a fait l'autre connard !
- non sûrement pas mais tu vas me le dire, je me trompe.
- non pas du tout. Je ne te dirais rien par ce que tu es un petit être méchant ! »

Elle éloigna son visage du mien et s'assit rageusement sur le canapé. Jambes et bras croisées , tête de profil avec ses yeux scrutant la porte béante avec colère inerte.
En une seonde elle se ravisa et fit une moue boudeuse volontairement sur jouer.
Lançant de temps en temps des regards au locataire pour qu'il pose des questions. Mais Izuku n'en fit rien. Il s'assit un peu plus normalement à son tour puis s'avachis dans les coussins, les pied s la table basse déjà fêlée. Il continuait son activité, c'est a dire laissé ses yeux se balader sur le vieux plafond, suivant du regard les lignes fissuré qui représentait son plafond. Son regard voyageais de l'une à l'autre pour y trouvé des réponses profonde à son plans. Il ne prêta, à partir de ce moment, plus aucune attention à sa voisine.

Énervé pas cette attitude, elle prit le visage de son ami dans ses mains le tourna vivement vers elle.

« - tu es sur de pas vouloir savoir ?
- pas pour l'instant. Je suis occupé.
- a quoi ?
- regarder le plafond
- c'est nul ton truc ...
- je sais, mais ça m'aide à réfléchir de suivre c'est fissure du regard.
- et tu ne t'ennuies pas au point de vouloir écouter une amie parler d'elle ?
- non.
- et si tu étais défoncé. ? »

Izuku ne fut pas surpris par cette tournure de situation. Il enleva enfin les mains de Chieko de ses joues.

« tu a quoi pour que je t'écoute
- j'avais rien en partant ...
- et maintenant
- j'ai pris sa cam a un ado qui ... je ne sais même pas s'il vendait ou s'il venait d'acheter en fait. Mais il avait que de l'herbe et un peu de coke.
- si c'est toi qui paye ça me suffit.
- merciii ~ »

Elle prit le sac qu'elle avait balancé à travers la pièce lors de son arrivée. Se posa dans un coin sortit un pochon, une feuille et un filtre. Et entrepris de les roulés.

Quelques instants plus tard, elle leva la tête «t'a un feu au moins». Le vert redressa la tête et acquiesce lentement. Puis la laissa retombée sur le dossier.

Elle reprit sa place, tendis l'un des deux joint à Izuku et alluma le sien.
Il en fit de même en se redressant et se mettant en tailleur. En fumant il commença à aligner la poudre de cocaïne devant lui.

Les deux amis commencèrent à parler longuement. Délirant à chaque fois qu'il ouvrait la bouche. 

« - je te jure c'est comme si c'était marqué sur son front !
- il est coupé ton truc.
- ouaiiiii. Ya autre chose d'aphrodisiaque, de déglinguant.
- je reconnais ... je te jure je l'ai sur le bout de la langue.
- vas-y tire la que je regarde ce qu'il y a marqué. Attend ... je rêve ou tu as utilisé le mot déglinguant...
- non mais j'aime bien ce mot. Comme sécateur !
- ouai ta raison, il est marrant le mot déglinguant»

Les deux se remirent a rire jusqu'à tomber par terre, les faisant rire de plus belle.

Et à ce moment où il était défoncé, la porte s'ouvrit. Et Katsuki tomba nez à nez avec les deux personnes étalées sur le sol du salon.

C'est vraiment lui ?!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant