Sale con.

PARTIE 5.

NDA : JE PENSE QUE JE VAIS ÉCRIRE LES ACTIONS AU PASSE SIMPLE OU AU PASSÉ COMPOSÉ  MAINTENANT, C'EST PLUS SIMPLE.  CAR C'EST CHELOU DE DIRE :
"-ELLE MANGE SES SUSHIS"
COMPARÉE À :
"-ELLE MANGEA SES SUSHIS"
BREF VOILÀ, J'M'EN FOU DE TON AVIS, TANT QU'TU COMPRENDS, TCHIPP.
FIN SI, DIS MOI SI TU PRÉFÈRES QUE J'ÉCRIVE AU PRÉSENT OU AU PASSÉ, ET AUSSI, POUR LES ACTIONS, VOUS VOULEZ QUE JE PARLE À LA 3E OU À LA 1ERE PERSONNE DU SINGULIER ?

Pdv Li :

Attendez... c'est bien Suzuki qui vient d'apparaître là ? Je rêve ? Oui, je rêve sûrement, si c'est le cas, j'aimerai me réveiller putain.
Je me pinca le bras, mais rien.
C'était réel.

Jisung : Et vous ! Dégagez, il les poussa violemment et il se mit devant moi. Tu vas bien ? Si oui, tant mieux et si non, c'est pas mon problème.
Le regard de Suzuki se dirigea vers les 2 hommes, plutôt mal en point. Les 2 hommes étaient parti en courant.
Quels lâches. Ils osent s'attaquer à une femme et pas à un homme ?

Mon regard se dirigea vers Suzuki, qui lui, me regardait.

Moi : Je n'avais pas besoin de ton aide, tss. J'aurai très bien pu me débrouiller seu-

Il fit un sourire moqueur.

Jisung :  C'est toi qui dit ça ? Qui est-ce qui est au bord des larmes ? Toi ou moi ?

Étonnée, j'ai frotté mes yeux, gênée.

Moi :JE PLEURAIS PAS, CONNARD.

Jisung : C'est comme ça que tu me remercies ? Ah bah merci, franchement. Tu m'as brisé le coeur là.

Je m'étais relevée, et j'avais décidée d'essayer de changer de sujet, un peu gênée à cause de la situation.

Moi : Tu fais quoi ici ?dis-je d'un ton blasé

Jisung : J'étais en route pour aller à la boulangerie, mais quand j't'ai vu, j'ai pas pu m'empêcher de te suivre.

Moi : Sérieusement ? Je me demande si je devrais te remercier ou bien te donner UNE BONNE BAFFE DANS LA GUEULE PUTAIN DE STALKEUR DE MERDE QUI A TELLEMENT RIEN À FAIRE DE SA VIE QU'IL SUIT SA PUTAIN DE VOISINE.

Jisung :  Roh, tu sais faire que ça, insulter. Sinon, qu'est-ce qui t'ammènes ici ?

Moi :Ma mère m'a demandé d'acheter du riz et des oeufs, sauf que JE TROUVE PAS CES PUTAINS D'OEUFS.

Jisung : *face palm* Ils sont devant toi, gogole.

J'ai donc regardé derrière Jisung, et ils étaient bien là. Je me suis sentit tellement conne. Je les ai donc pris et les ai mis dans mon sac.

Jisung : Sinon, pourquoi t'es aussi bien habillée ? C'est parce que t'avais prédis que j'allais te suivre ? dit-il pour la taquiné

Moi :  Ferme la et marche en silence.

Je me suis dirigée vers la caisse, puis j'ai sourit à la caissière.

Moi : Je vous dois combien, madame ?

Caissière : 6€78 S'il-vous-plaît, elle nous a fixé un long moment puis elle reprit la parole, vous êtes le couple le plus mignon que j'ai vu aujourd'hui ! dit-elle souriant.