Chapitre 7: Le smoothie de la défaite

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Auteure : Le titre est originellement "Le Smoothie de la défaite. Ou comment fonctionne la gravité sur les poutres en fer" mais il fait plus de 80 caractères. Snif...

Shiroi : Bref! On a remarqué l'auteure et moi que vous étiez beaucoup à suivre mon aventure improvisée! On en est à 500 Vues et quelques! C'est immense ! Alors dans ma grande bonté je vous accorde ces quelques remerciements!

Auteure : Merci beaucoup!



« Tu dis bien bonjour et n'hésite pas à aider si besoin ! Surtout soit polie ma chérie ... »

Bla bla bla. Je n'ai rien contre ma mère mais les leçons de comment se comporter pour ne pas faire honte à sa famille je connais merci !

Bref

Je me retourne vers la fenêtre de la voiture alors que nous parcourons Tokyo. Cela fait déjà trois quarts d'heure que nous sommes partis, et je commence à sérieusement m'ennuyer. Ils pouvaient choisir une maison plus près les copains de mes parents ?! Au moins ça m'aurait permis de passer faire coucou à Kidou ! Et non, je ne dis pas ça dans le but de m'alléger la conscience !

Ting ! J'ai reçu un message.

-> Salut. T'es où ?

Ce message m'aurait enchanté si son auteur m'était inconnu, car j'aurais eu l'espoir que ce soit Super-Lunettes. Mais en l'occurrence c'est plutôt mon ami à cheveux roses à cause de qui je ne peux pas assister à mon match qui vient de me répondre. Après un long moment d'hésitation, pour savoir s'il mérite une réponse quand je sais que lundi je me ferai allumer à cause de lui, je fini par déverrouiller mon portable.

Ah ah ! devine ! <-

Je suis dans Tokyo <-

->Très drôle !

->Je sais pas si t'es forte en géo mais sache que notre capitale est très grande !

« Une capitale c'est grand »<-

Merci Captain Obvious !<-

Tu veux une médaille en chocolat ?!<-

->Tu m'en veux ?

->Qu'est-ce que j'ai fait cette fois ?!

Je ne prends même pas la peine de répondre. A la place, je regarde mon père s'engager dans une allée avant d'arrêter la voiture devant une maison plutôt grande dans un jardin plutôt grand.

Ma mère me signale notre arrivée et je m'empresse de descendre. Respirer l'air frais fait toujours du bien. Au moins un point positif.

Pauvre Nosaka, je sens que je vais être d'humeur massacrante avec lui toute la journée...

Je me retourne alors pour voir les parents de ce dernier nous faire des grands signes avant de venir nous accueillir. Derrière eux, j'aperçois mon futur souffre-douleur s'avancer dans ma direction.

Rouge comme le sang des castors (?), tu ne le sais pas encore mais tu es déjà mort !

***

« Hé oh ! Dis ! Tu m'écoutes oui ?!

-... Pardon ? »

Je regarde cet idiot de Nosaka avec une tête blasée. Pourquoi est-ce qu'il éprouve le besoin de me secouer dans tous les sens ?!

« J'ai l'impression que t'es pas avec moi là. » Commente-t 'il.

Puis il se met à me fixer intensément. Ça et le fait qu'on est que tous les deux dans sa chambre, je devrais peut-être m'inquiéter ?


Le témoignage d'une banane, ou comment se passe ma fabuleuse et déroutante vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant