Prologue

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Salut à tous avant de commencer l'histoire on voulait juste vous dire qu'on esperait que ça vous plaira et vous demandez de commenter avec vos avis et vos conseils et de voter.

Merci ! Et bonne lecture !


TUE !... tue, tue. Tuer, tuer, tuer,...

Je dois tuer, je vais tuer ! Je sais c'est fou mais je vais le faire. Je descends l'escalier, me dirige vers la cuisine et ouvre la porte. Je prends un couteau dans le tiroir de gauche puis remonte dans ma chambre. je m'avance doucement vers elle, le parquet craque. Je lève mon bras droit, en main, le couteau, je l'abaiss...

– Aïe ! Mais t'es folle Edithe !

Edithe vient de me lancer un livre en pleine figure. Elle me dévisage d'un air affolé. Je ne comprends pas. Je ne me souviens de rien. Pourquoi a-t-elle fait ça ?

– Ah oui je suis folle !?

Lou se réveille.

– Arwen, qu'est ce qui se passe ?

– Ce qui se passe c'est qu'Arwen est une grosse cinglée ! Dit Edithe d'une voix pleine de colère.

– Mais c'est toi qui viens de me balancer un livre sur la gueule !

– D'accord... en fait non ! C'est pas toi qui viens d'essayer de me tuer !?

– Mais...

– Attends une seconde Arwen ! J'ai pas raté quelque chose ?

– Bien vu Lou !... Mais t'as pas le cerveau engourdi ? Ça fait dix

minutes qu'on s'engueule !

– Bon je peux finir ma phrase ?

– ...

– Merci... donc je voulais dire... Je ne tuerai jamais personne !

Surtout une de mes meilleures amies !

– Alors tu peux m'expliquer pourquoi tu tiens un couteau dans TA main !? Pour faire de la charcuterie peut être ? Ou découper un roast-beef ? En pleine nuit ? Dans une chambre ? Bien sûr.

– De quel couteau tu parles ? Je descends le regard sur ma main.

Un couteau y est bien. Je commence à paniquer. Que s'est-il passé

pendant mon sommeil ?

Lou me regarde d'un air effrayé et dit :

– Arwen, ça va ?

– Je, je... Je sais pas...

Mes mains se crispent sur le couteau, je tremble. J'ai peur. Mes amies aussi ; oui mais moi je sais que je ne l'aurais jamais fait de mon plein gré. Je lâche le couteau, il tombe. J'entends lointainement le bruit sourd du couteau qui heurte le sol ; je me sens tombée en arrière. Puis ensuite, c'est le néant.

Une voix, la voix, toujours la même toujours, elle me hante, me harcèle, elle répète toujours la même chose : « tuer, tuer... tue ».

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