Chapitre 5

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Deux heures plus tard la porte s'entrouvrit et laissa passer la tête de Daël qui arborait un sourire tout excité. Je me demandais si c'était bon signe. Il me demanda de me lever et de le suivre en sautillant presque sur lui-même. Je me levai et hésitais, puis finalement, toujours inquiète, le suivis. Tout en suivant Daël, je rentrai à nouveau dans cette même salle toujours aussi lumineuse, mais observai plus attentivement les différentes machines et invention qui m'entourais. L'une d'entre elles attira mon regard, c'en est une qui je pense se plaçait sur la tête. Elle possédait trois branche métallique qui laissait dépassais de grand nombres de câble fin. La branche du milieu se terminait en un losange, quant aux deux autres elles se terminaient en une pointe suivie d'une sorte d'écouteur. De l'autre côté de cette machine se trouvait un gros tuyau qui s'étalait sur la table, relier à l'espèce de casque. Alors comme Daël voyait que j'observais ce "casque" il me dit :

– C'est un déterminateur usialotique, prototypé classe trois, de moyenne engendrationique ! C'est le seul modèle au monde, elle a une puissance équivalente à la vitesse lumière qui peut engendrer un trouble crânien bimensuel, c'est-à-dire deux fois par mois, sur une trop longue duré d'usage.

– ... D'accord... Mais à quoi ça sert ? Et simple cette fois !

– En fait ça sert à soustraire des infos du cerveau de la personne qui le porte.

– Tu pouvais pas dire ça avant. Dis-je en rigolant, quant à lui me répondis d'un sourire tout en adoptant un air scientifique.

– Si mademoiselle veut bien me suivre, pour que nous lui expliquions nos... pensées !

– Je vous suis de ce pas, cher scientifique.

Nous nous dirigions alors vers un grand escalier de verre, dissimulé derrière un mur. Je le montai, précédais par Daël. Nous débouchâmes dans un grand couloir, qui était très sombre, il me fallut donc quelle que minute pour m'y habituer. Pour enfin pouvoirs distinguer un couloir trop long pour la petite maison qui leur appartenais alors, Daël qui se trouvait beaucoup plus loin, me fit signe de le suivre. Il se trouvait devant une porte blanche alors il me regarda et me montra la poignée. D'un geste non assurer je posai ma main tremblante sur la poignée et ouvris. Derrière la porte se trouvait une sorte de salle d'hôpital. Au milieu de la pièce était placée une table d'opération raccroché à ce qui me faisait penser à une capsule de fusée, mais légèrement réduite. Car il n'y avait la place seulement pour une personne qui serrait contraint a se tenir parfaitement à l'horizontale. De plus à côté de cette machine se trouvait une sorte d'aquarium en forme de tube, lui placé en position verticale, on pouvait voir au-dessus et en dessous de petite plate-forme en métal noir, qui permettait de maintenir l'objet fermer. Il mesurait environ 1m80 et me dépasser donc de quelque tête. Des bulles d'air remontaient à la surface du liquide transparent que contenait le tube en verre. Je fis quelque pas dans la pièce et la lumière aveuglante me transperça.

Après que mes yeux se soient habitués je pus enfin voir Edwin plongé sur son bureau rempli de feuille, de livre et d'écran fixé au mur. Daël se racla la gorge et dit :

– Grand-père ! Edwin sursauta puis se tourna et me fixa longuement de ses yeux bleus pour enfin se retourner.

– Heuuu... oui oui, cinq petites seconde. Il rassembla quelque feuille avec ses livres et emboîta un écran dans le mur. Il s'approcha ensuite des machines que j'avais remarquées.

– Arwen ! Me dit-il en me priant d'avancer dans la pièce.

– Oui ?

– Je crois que tu ne comprends pas tous ce qu'il se passe et tu mérites des explications. Mais malheureusement je ne peux rien t'expliquer !

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