Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
15 juin 1944, Normandie.
« Tiens-le, Brewer.
L'allemand n'était pas si vieux. Il avait presque l'air innocent. Il était tout blond, tout beau, mais plus si fiers que ça.
- Qu'est-ce que tu vas faire ?
- Tiens-le je te dis, il bouge cet enfant de pute. Et fais-le taire, je déteste cette putain de langue.
Mais l'allemand se tortillait comme un ver.
- Nein, bitte, bitte !
- Ta gueule.
- Ich kapituliere !
- Déshabillez-le.
On lui retira le pantalon, le casque, le manteau et tout le reste. Dépourvu de ce qui faisait son armure au milieu de cette débandage, il avait l'air d'un nouveau-né tout rouge.
- Hilfe !
La lame du couteau déchira la carotide du pauvre perdant qui mis quelques secondes à mourir, appelant à l'aide entre quelques glouglous écœurants. On admira son trépas en silence puis l'on peint sur son torse nu avec son sang :
fucking k r a u t
On laissa le corps sur le bord du chemin, peu importe qui le trouverait se verrai témoin de la folie du gentil libérateur américain, parce qu'il n'y avait pas de bon et de mauvais, seulement des hommes qui faisaient la guerre aux hommes.
